Toulouse: Un «rempart» s’effondre en plein centre-ville et ensevelit des voitures

rempart toulouse

Les dégâts ne sont que matériels mais le résultat est spectaculaire. Mardi soir, un mur de soutènement de dix mètres de haut s’est brutalement effondré sur les allées Jules-Guesde, en plein centre-ville de Toulouse. Les pompiers ont été appelés à 22 heures et se sont immédiatement rendus sur place avec une équipe cynophile pour s’assurer qu’aucune victime n’était prisonnière sous les gravats.

Plusieurs véhicules garés sur la contre-allée ont été totalement détruits par l’éboulement long d’une vingtaine de mètres.

Le mur effondré longeait les allées Jules-Guesde, entre le Palais de Justice et la maison de retraite Plénitude Saint-Michel.
Le mur effondré longeait les allées Jules-Guesde, entre le Palais de Justice et la maison de retraite Plénitude Saint-Michel. – Map4News

Le mur en question, en brique, doublait le rempart historique entre le Palais de Justice et la Maison de retraite Plénitude Saint-Michel. Un périmètre de sécurité a été mis en place. Météo, fragilisation due à un chantier à proximité, ravages du temps ? Pour l’heure, les causes de l’éboulement ne sont pas connues.

L’Office de lutte contre la cybercriminalité exige le retrait d’un photomontage sur l’exécutif

Un organisme de police se révèle en fait un service de police politique pur et simple, qui se bat pour l’image du président. Scandaleux. De plus, ce photomontage est surtout insultant pour le général Pinochet et les serviteurs de l’Etat chilien qui l’entourent : ils ont été bien moins nocifs à leur pays que Macron et les autres au leur.
pinochet
L’office central de la lutte contre la criminalité informatique a réclamé le retrait sur Google+ d’un photomontage visant le président de la République à la place de Pinochet avec, derrière lui, Édouard Philippe, Premier ministre et Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur. Contacté, l’organisme s’est refusé à nous livrer la moindre explication. Et c’est exactement cette « caricature » qui a été ciblée par l’OCLCTIC, comme on peut le constater sur Lumen DataBase. Ce site répertorie l’ensemble des demandes de retraits, qu’elles proviennent d’ayants droit, de personnes physiques ou d’institutions gouvernementales, notamment. Source NextInpact

Convertir l’Amérique à l’islam et en faire une nation islamique…

calligraphie

elle fut l’idée génialement perverse de l’activiste islamique Sharifa Alkhateeb exprimée dans un vidéo clip de 1989, devenu récemment viral sur le Net : faire du prosélytisme dans les écoles publiques afin de transformer les jeunes Américains en de bons musulmans.

Nous sommes en train de développer l’éducation islamique pour nos enfants. Et oui, nous avons tous l’espoir et le rêve… de créer non seulement des écoles islamiques coopérant les unes avec les autres, mais également des systèmes scolaires islamiques couvrant l’ensemble du pays, c’est notre objectif ultime », expliqua Alkhateeb. « Donc, lorsque nous nous abordons le système scolaire public, nous devons le faire en gardant le credo suivant à l’esprit: en nous impliquant dans cette mission par tous les moyens, nous adorons Allah.

Si nous sommes des musulmans et si nous parvenons à établir une relation avec le système scolaire public en tant qu’individus musulmans, dès lors nous ne ferons pas partie de ce qu’ils appellent le grand « melting pot américain ».

Nous ne voulons pas nous diluer dans la Société américaine et disparaître. Nous voulons entrer dans la Société américaine avec nos idéaux islamiques et remodeler leur façon de penser. Nous voulons les réformer. Nous voulons en faire des musulmans.

Cette vidéo fut réalisée il y a trente ans lors d’une conférence de sensibilisation politique des musulmans américains. (Muslim Americans Political Awareness Conference)

Alkahateeb, ayant depuis rejoint le paradis d’Allah ou son enfer – ce dernier étant majoritairement peuplé de femmes, selon la douce vision de son prophète bien aimé – était la directrice générale du Journal américain des Sciences sociales islamiques édité par l’Institut de la pensée musulmane. Elle était aussi un membre éminent de l’Association des Etudiants musulmans, une organisation liée aux Frères musulmans. Elle exerça la fonction de Présidente du Conseil nord-américain des femmes musulmanes associé au Hamas. Elle fut aussi employée comme consultante pour la Diversité dans les écoles publiques du comté de Fairfax en Virgine.

Un CV des plus remarquables pour cette pieuse militante d’Allah, qui eut la franchise de dévoiler publiquement le merveilleux projet islamique de conquête de l’Amérique, celui des Frères musulmans, via l’endoctrinement des enfants américains à l’islam avec évidemment le soutien et la bénédiction de la Gauche. Et ce pour le bonheur des Américains, il va de soi!

Et d’affirmer avec force et conviction que les musulmans d’Amérique ne doivent pas se fondre dans la masse. Les Américains, par contre, sont priés de se diluer dans l’islam, source vivifiante d’amour, de tolérance , de paix, de fraternité et de félicité.

Les chaînes de vidéo gauchistes ont rejeté le clip comme étant du réchauffé et se sont moqués de la Droite pour avoir ajouté foi à une vidéo vielle de trois décennies. Mais une grande partie de ce que préconisait Alkhateeb dans sa vidéo est en train de se réaliser dans l’Amérique contemporaine où l’influence de l’islam dans les écoles publiques est devenue une triste et dangereuse banalité.

Le prosélytisme islamique dans les écoles occidentales est conforme à l’objectif premier du fondateur des Frères musulmans : l’éducation des jeunes dans la tradition islamique et la propagation de la « da’wa salafi » (« prédication salafie ») et de « l’islam sunnite purifié » à travers le monde.

Pour ne citer que quelques exemples :

  • Les élèves du lycée de Newton dans le Massachussets ont reçu des cours d’histoire tirés du livre « The Arab World Studies Notebook » sponsorisé par une compagnie pétrolière saoudienne, qui soutient également financièrement les groupes terroristes du Hamas et d’al-Qaïda. Ce livre enseigne qu’il existe une « conspiration juive » à Hollywood qui représente les musulmans de manière négative dans les films et que Jérusalem est la « capitale de la Palestine ».

(Nul besoin de fictions pour cela, ils s’en chargent d’ailleurs eux-mêmes avec beaucoup d’ardeur souvent explosive et un zèle rouge sang. En outre, la réalité quotidienne du « vivre ensemble » avec les musulmans suffit amplement à donner une image des plus négatives à la « meilleure communauté qui soit ». Quand à Jérusalem, capitale du futur état palestinien, là c’est de la pure science fiction. Les Arabo-musulmans excellent dans l’appropriation de l’histoire d’autres peuples et sa réécriture à la lumière de l’islam.)

  • Les étudiants de l’école secondaire La Plata dans le Maryland furent priés de copier le credo islamique la «Shahada», qui affirme: «Il n’y a pas de Dieu en dehors d’Allah et Mahomet est son messager.»
    Une autre feuille d’exervice fut aussi distribuée aux élèves par l’école. On pouvait y lire que « La foi de la plupart des musulmans est plus forte que celle du chrétien moyen ».
  • Au collège de Mountain Ridge en Virginie occidentale, les leçons comprenaient des cours sur l’islam et encourageaient les élèves à étudier et à s’identifier aux principales croyances religieuses de la religion d’Allah. Les devoirs donnés en classe incluaient également la réécriture en arabe de la profession de foi islamique, la « Chahada », la lecture de versets coraniques et un jeûne de 24 heures dans le but de partager pendant un bref moment le ramadan (quatrième pilier de l’islam) avec les pieux musulmans. Le jeûne du ramadan vise à atteindre la piété en se détachant des plaisirs terrestre pendant la journée … ( et les retrouver avec gourmandise dès le coucher du soleil…) Encore une hypocrisie islamique, qui séduit pourtant tellement d’Occidentaux, émerveillés par la « grande piété » musulmane !
    Les élèves étaient priés d’offrir la nourriture et /ou l’argent du déjeuner à une banque alimentaire.
  • The Council on American-Islamic Relations (CAIR, Conseil des relations américano-islamiques), un groupe ayant des liens très étroits avec des organisations islamistes, entretient des relations avec des écoles publiques dans au moins trois états incluant la Californie, Washington et le Minnesota.
    Le CAIR accuse les écoles publiques de ne pas prévenir «l’islamophobie» nécessitant ainsi la mise en application d’une initiative anti-islamophobie, anti-harcèlement élaborée par ses soins. La ficelle est grosse, mais ne semble pas faire tilt auprès de la direction et des professeurs des écoles publiques, qui se réjouissent au contraire du partage des cultures dans leur établissement.

(Il n’y a rien de phobique ou de raciste à ressentir de la peur et de la nausée face aux atrocités, aux massacres, aux décapitations, aux lapidations, aux amputations, aux viols, commis par les Musulmans au nom d’Allah, pour la cause d’Allah et ce, sans interruption, depuis 14 siècles. Avoir envie de vomir, face aux horreurs perpétrées par les islamistes, est la réaction naturelle de tout être humain normal et nul ne peut la condamner, comme étant xénophobe, islamophobe, fasciste…)

Si le machiavélisme des organisations islamiques, à commencer par celui du CAIR, ne semble guère effleurer l’esprit des dirigeants bien pensant de ces écoles, ce n’est pas le cas du « Freedom of Conscience Defense Fund (FCDF) ».

Le FCDF a accusé le CAIR d’avoir établi un rapport étroit avec le Secteur scolaire unifié de San Diego afin de créer un « système » subtil et discriminatoire visant à faire des étudiants musulmans un groupe religieux privilégié et il a porté plainte.

De nombreux autres exemples de l’endoctrinement islamique dans les écoles publiques américaines sont détaillées dans le nouveau pamphlet « Readin’, Writin’, and Jihadin’: The Islamization of American Public Schools » de Robert Spencer.

Le prosélytisme islamique se poursuit en dépit de plusieurs décisions prises par la Cour Suprême ces dernières décennies rendant obligatoire la séparation constitutionnelle de l’Eglise et de l’Etat, s’appliquant notamment à la prière et aux enseignements religieux dans les écoles publiques.

Sans surprise, ces décisions furent soutenues par la Gauche, trop heureuse de les appliquer aux seuls discours et prières chrétiennes dans les écoles publiques. Par contre, quand il s’agit de l’islam, la chanson est différente : ces mêmes règles ne s’appliquent pas et la Gauche s’érige en championne de l’inclusion de l’islam dans l’école publique dans l’intérêt bien sûr de la diversité, de la cohésion sociale et du vivre ensemble.

L’avenir à la gloire de l’islam envisagé par Alkhateeb il y a trois décennies est en train de se réaliser. Les Américains, qui se sont engagés à veiller à ce que les écoles demeurent des lieux d’un enseignement objectif et non biaisé, doivent en prendre rapidement conscience et mettre un terme à ce prosélytisme islamique des plus perfides.

Ne jamais oublier : le but de l’islam est la domination du monde et l’un des principaux devoirs religieux de chaque musulman est de propager sa foi, peu importe la manière, que ce soit par la douceur mielleuse de la tromperie ou par la violence du djihad guerrier, et ce jusqu’à ce que toute la terre soit islamisée et adore la divinité lunaire

Depuis le 7è siècle, quand Mahomet, fondateur de l’islam et prophète autoproclamé, décida de conquérir les villes voisines par le meurtre, la mutilation, le viol et l’esclavage, l’islam n’a cessé de répandre sa doctrine destructrice et oppressive. Les pays à majorité chrétienne, juive, hindoue, bouddhiste et leur culture furent écrasés par des vagues incessantes de djihadistes (mujahideens en arabe) laissant des centaines de millions de morts non musulmans, massacrés de différentes manières, extrêmement barbares.

Le monde dont rêvent les adeptes de l’islam est une planète conforme aux souhaits d’Allah et de son prophète. Dans un tel monde, il n’y a pas de liberté d’expression, car la moindre critique du système est puni de mort. Aucune liberté de pensée, car chaque individu doit croire en Allah et en son prophète, prier cinq fois par jour, manger halal et tuer quiconque ne respecte pas les lois islamiques, y compris les membres de sa famille. Bref, un monde parfait sous le joug de la charia… Le «rêve» cauchemardesque dans toute sa «splendeur létale» islamique !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly

Seigneurs de la guerre : les plus gros exportateurs d’armes au monde…

Vendre des armes à d’autres pays, c’est du très gros business. C’est aussi un business sur lequel les principaux acteurs aiment rester très discrets, certains se sentent même honteux de montrer leurs capacités.

C’est pourquoi nous pensons intéressant de le faire. Quelle est la taille du marché international ? Quel est le réseau mondial du commerce des armes ? A la fin de cet article, vous saurez tout.

Les chiffres détaillés du marché mondial des armes, des missiles, des avions militaires et des systèmes radars sont comptabilisés par le Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) et la Banque mondiale (1) (2).

Les plus gros vendeurs d’armes

les plus gros marchands d'armes

  1. Les États-Unis sont de loin le chef de file mondial, avec plus de 12 milliards de dollars d’exportations d’armes. Pour comprendre à quel point les Américains dominent le marché international des armes, ils représentent à eux seuls la taille des 5 pays suivants.
  2. Le deuxième exportateur, la Russie, vend moitié moins que les Etats-Unis (6,15 M$).
  3. La France (2,16 M$) est le seul autre pays à dépasser les 2 M$.
  4. Suit l’Allemagne, avec 1,65M$.

La taille d’un pays est sans rapport avec sa capacité d’exportation

  • Israël, tout petit pays, se place au 4e rang mondial, avec 1,26 milliard de dollars d’exportations (contre 528 millions de dollars d’importations)
  • Les Pays Bas, avec 17 millions d’habitants et une surface 13 fois inférieure à la France, exporte pour 1,17M$, tandis que
  • La Chine, bien qu’elle soit la deuxième plus grande économie du monde, n’exporte qu’environ 1,13 milliard de dollars.
  • Un seul pays d’Afrique (l’Afrique du Sud à 74 millions de dollars), et seulement quelques pays d’Amérique latine sont des exportateurs d’armes. Cela signifie que les pays développés occidentaux sont, de loin, les plus gros exportateurs d’armes dans le monde.
  • Qui achète le plus d’armes

  • les plus gros acheteurs d'armes
  • La carte des importateurs est radicalement différente de celle des exportateurs. Pour commencer,
    • l’Arabie saoudite et l’Inde sont des acteurs majeurs, absorbant respectivement 4,11 G$ et 3,36 G$ du marché, l’un en raison de conflit avec l’Iran et le Yémen pour le premier, et le Pakistan pour l’Inde.
    • Chacun de ces deux pays est entouré d’un petit nombre d’autres pays qui font aussi de gros achats.

    Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles certains pays sont de grands importateurs, car un pays peut simplement trouver plus intéressant d’acheter des armes au lieu de tout fabriquer chez lui. Pourquoi l’Australie, par exemple, essaierait-elle de construire des avions militaires alors qu’elle peut simplement les acheter aux États-Unis avec qui elle a historiquement d’excellentes relations ?

    Il y a aussi beaucoup de conflits régionaux qui poussent les pays à dépenser le plus d’argent possible pour les dernières technologies militaires, comme l’Inde et le Pakistan.

    Et puis il y a un certain nombre de pays totalitaires et agressifs, peu recommandables, dirigés par des dictateurs et des « hommes forts » ou des oligarchies. Ils ont leur propre programme militaire, et il est clair qu’ils sont prêts à dépenser beaucoup d’argent pour les meilleures armes.

    Enfin, un aspect peu évoqué est celui des pièces détachées. Le choix d’un pays fournisseur dépend de la confiance dans le temps que le pays acheteur lui porte, afin de s’assurer qu’il continuera à lui livrer les pièces de maintenance dont il aura besoin, sans quoi ses armements seront inutilisables.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet

«La police a moins réprimé les émeutes en banlieue en 2005 que les “gilets jaunes”»

maire de montfermeil

Pour Xavier Lemoine, maire de Montfermeil* (Seine-Saint-Denis), en première ligne pendant les émeutes de 2005, la retenue des forces de l’ordre à l’époque contraste avec les consignes de sévérité excessives qu’elles appliquent aujourd’hui face aux «gilets jaunes».

LE FIGARO. – En qualité de maire  de Montfermeil, vous avez vécu les émeutes de 2005 en banlieue. Voyez-vous des similitudes avec les violences  qui accompagnent aujourd’hui  le mouvement des «gilets jaunes»? 

Xavier LEMOINE. – Certes, en 2005 comme en 2019, un pavé reste un pavé, un cocktail Molotov ou une voiture qui brûle également. Et il peut y avoir, par la manière dont les médias rendent compte des événements, une similitude de forme entre les émeutes urbaines de 2005 et la crise des «gilets jaunes». En revanche, sur le fond, il n’y a rien de commun, rien de comparable entre les deux événements. Le nombre des manifestants ou des émeutiers, leurs motivations, le jugement de l’opinion publique à leur égard sont très différents.

Les émeutes de 2005 ont été, en premier lieu, un événement strictement local à Clichy-sous-Bois et Montfermeil. Dès la quatrième nuit, elles diminuaient considérablement d’intensité, jusqu’à l’explosion d’une grenade lacrymogène lors de la sortie des fidèles d’un hangar servant de …

Des trafiquants d’être humains soupçonnés d’organiser des noyades de migrants pour gagner la sympathie de l’Occident

esclavage

Les services secrets italiens pensent que les passeurs ont pu organiser des noyades massives pour faire ouvrir grand les frontières de l’immigration et s’enrichir encore plus sur le dos de la misère humaine.

Selon le journal italien Il Giornale (1), les services secrets italiens mettent en garde contre la possibilité que des passeurs de clandestins provoquent délibérément des catastrophes en mer afin de gagner la sympathie des politiciens et ainsi reprendre le très lucratif flux migratoire.

 

Une telle révélation pourrait expliquer certaines catastrophes humanitaires majeures, telles qu’un naufrage qui a tué environ 700 migrants le 18 avril 2015, et qui a conduit au lancement de l’Opération Sophia et à une vague de soutien aux ONG de ferries de migrants opérant dans la mer Méditerranée.

Selon certains des rares migrants qui ont survécu à l’incident, les passeurs les avaient forcés à partir en sachant très bien que le temps ne s’y prêtait pas, ce qui a conduit certains à penser que la catastrophe avait été recherchée ou même causée intentionnellement par les passeurs.

Le navire a fini par couler, tuant la plupart des migrants à bord après avoir heurté le porte-conteneurs portugais, le roi Jacob.

Le quotidien italien a également révélé ces derniers jours des incohérences de la part de l’organisation Alarm Phone, qui fait office de ligne directe pour les navires en détresse en Méditerranée, affirmant que l’ONG a affirmé qu’un navire prenait l’eau (2) alors que d’autres preuves indiquaient qu’il n’était pas en danger de couler (3).

Il a également été allégué que l’homme qui dirigeait le navire, qui a été secouru dimanche dernier, était un passeur connu, mais l’ONG a nié tout contact ou coopération avec des trafiquants d’êtres humains.

Ce n’est pas la première fois que l’on accuse des ONG de sauvetage de migrants de travailler avec la lie de l’humanité, les passeurs de clandestins (4). Les procureurs italiens ont également allégué une coopération entre les deux groupes et, dans un cas, ont même rendu publics des éléments de preuve (5)

En août 2017, L’Italie a saisi un bateau d’une ONG allemande pour « immigration clandestine » et contact avec des passeurs de clandestins. (6)

Je n’ai pas trouvé de journalistes francophones qui enquêtent sur ce grave sujet. C’est comme s’ils militaient pour l’immigration, et étaient prêts à sacrifier des vies humaines pour cette cause, au lieu de lancer des alertes aux autorités afin qu’elles réagissent.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg

Terrorisme : Près de 130 djihadistes se trouvant en Syrie vont être rapatriés en France.

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Dans les prochaines semaines, près de 130 individus considérés comme étant des djihadistes vont être rapatriés en France.

Ils sont actuellement détenus dans des camps en Syrie sous la surveillance des Kurdes. Près de 130 djihadistes vont être rapatriés en France dans les prochaines semaines révèle ce mardi matin BFMTV.

Une mesure liée au retrait des troupes américaines de Syrie et à l’instabilité dans le pays. Paris craint en effet que ces 130 individus s’échappent et a choisi de les faire revenir en France, afin qu’ils soient jugés.

Les rapatriements se feront par avion précise la chaîne d’informations. L’ensemble de ces djihadistes feront l’objet d’une procédure judiciaire dès leur arrivée.

Hautes-Alpes: Après leur opération «anti-migrants», des militants de Génération identitaire en garde à vue

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Près d’un an après leurs actions « anti-migrants » dans les Hautes-Alpes, plusieurs membres du groupuscule d’extrême droite Génération Identitaire ont été placés en garde à vue mardi, a-t-on appris de sources concordantes. Contacté par l’AFP, le président de ce mouvement, Clément Galant indiquait peu avant 11h entrer en garde à vue avec Romain Espino à Lyon.

Le parquet de Gap a confirmé que plusieurs membres du groupuscule ont été placés en garde à vue en lien avec les opérations menées au col de l’Échelle près de Briançon (Hautes-Alpes), sans plus de détail.

Première enquête classée sans suite

Au printemps dernier, des militants identitaires avaient multiplié les démonstrations d’hostilité aux migrants, participant au contrôle de la frontière aux côtés des forces de l’ordre, sous la bannière de « Defend Europe ». Ils s’étaient notamment félicités de la remise de quatre « clandestins » à la police et de l’arrestation de sept migrants « repérés et signalés » par leurs soins.

Aucune poursuite n’avait jusqu’à maintenant été engagée contre eux, au grand dam des militants pro migrants dont sept d’entre eux ont été poursuivis et condamnés pour avoir facilité l’entrée de migrants en France au même moment.

Une première enquête ouverte en avril 2018 avait été classée sans suite faute d’infraction ou de plainte. Puis le procureur de Gap, Raphaël Balland, avait ouvert une enquête préliminaire plus globale au motif d »immixtion dans une fonction publique, confiée à la gendarmerie de Briançon.

Les musulmans, rois de la défausse et de la mauvaise foi…

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C’est connu, les musulmans ne sont jamais responsables de leurs actes et encore moins coupables. Leur faire reconnaître leurs torts, autant juger un avatar. Allah les dédouane de tous leurs faits et méfaits.

Verset 8.17. Sourate 8 : AL-ANFAL (LE BUTIN) 75 versets – Post-Hégire

Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais : mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de Sa part! Allah est audient et omniscient.

Ainsi n’est pas la faute du Coran si de jeunes musulmans français et belges basculent dans le radicalisme, qui est en réalité un renouement strict avec les vraies valeurs de l’islam débarrassées de toutes les scories extérieures, en l’occurrence occidentales, un retour aux sources, pour les musulmans ; c’est la faute à l’ostracisme dont ils sont victimes en Occident, ne cessent de le répéter en boucle les musulmans et leurs idiots utiles.

Une thèse qui tiendrait la route si le phénomène de radicalisation n’était pas le propre d’une bonne partie de la jeunesse musulmane dans les pays arabes et qui devrait les inciter à revoir leur système de défense. Les auteurs des attentats-suicides en Tunisie en 2015 ne souffraient pas du racisme, ils étaient surtout nourris aux sourates diaboliques et de la haine du juif et de l’Occidental.

Des musulmans qui font leur examen de conscience et se livrent à un travail d’introspection ne sont plus musulmans, d’où leur besoin pathologique de s’inventer un bouc émissaire pour ne pas assumer la responsabilité de leurs échecs et admettre que les racines du mal sont dans leur modèle culturel et éducatif occulté, sculpté dans le moule de leur religion.

L’Occident n’est pas responsable des dérives ultraviolentes de leurs jeunes, il n’est pour rien dans leur embrigadement et endoctrinement religieux littéraliste ; comme si c’était lui qui exaltait et sanctifiait le djihad dans la voie d’Allah et ordonnait de tuer à son nom ! C’est peut-être l’Occident aussi qui avait écrit le Coran qui n’est pas plus révélé que Mein Kampf, à l’origine de la propagation des germes de la destruction de l’humanité, du racisme et de l’antisémitisme, c’est l’islam lui-même qui est la cause de tous les maux de l’humanité et dont les musulmans sont les premiers complices.

Plutôt que de se faire violence et d’affronter la réalité en face, et surtout de se comporter en adultes responsables de leurs actes, ce que les musulmans sont incapables de faire, car tout ce qu’ils font c’est Allah qui le fait pour eux, ils préfèrent se murer dans leurs dénégations fantaisistes et mensongères.

Tant qu’ils persistent dans la voie de la déresponsabilisation et se conduisent comme des enfants dans une cour de récréation et se cachent derrière leurs petits doigts, il y a peu de chance pour qu’un jour les musulmans fassent leur mea-culpa et puissent apporter leur pierre à l’édification d’un monde apaisé et pacifié

Jamais les musulmans ne se poseront les bonnes questions sur les causes de l’image déplorable de leur religion ni chercheront à identifier et à s’expliquer les vraies raisons de leur rejet partout dans le monde. Ils sont convaincus qu’ils n’y sont pour rien ; c’est la faute des autres qui leur mettent des bâtons dans les roues pour les empêcher de se relever et de retrouver leur lustre d’antan. Alors que s’ils en sont là, c’est la faute de l’islam, de leurs dirigeants politiques, des plaies endémiques qui gangrènent les sociétés musulmanes et de leurs comportements fatalistes et défaitistes.

Le vrai responsable c’est soi ; la courbe de la violence n’est pas près de s’infléchir et les sergents-recruteurs d’Allah auront tout le loisir de puiser dans le vivier d’une jeunesse plus éprise de la mort que de la vie.

Salem Benammar

La dérive financière du RN sous Marine Le Pen…

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Conseiller régional dans les Hauts-de-France, André Murawski a claqué la porte du Rassemblement national en septembre dernier. Cet intendant dans un collège déplore la dégradation des comptes du parti qui a conduit à « une spirale folle de l’endettement ». « Si Marine Le Pen n’est même pas capable de gérer un parti, on la voit mal s’occuper du budget de la France », assène-t-il.

Challenges – Vous avez ausculté l’évolution des comptes du Front national, devenu Rassemblement national, depuis que Marine Le Pen en a pris les rênes, quelle conclusion en tirez-vous ?

André Murawski – Il existe une véritable dérive de la gestion financière du FN depuis que Marine Le Pen en est la présidente. Depuis 2012, le parti est en effet en déficit permanent alors même que ses recettes ont sensiblement augmenté. En six ans, les recettes ont progressé de 26% et, si l’on retire des rentrées financières exceptionnelles de 2011, la hausse atteint même 136% ! Les financements publics payés par les contribuables sont par exemple passés de 1,8 million d’euros en 2011 à 5 millions d’euros en 2017. Les dons ont grimpé de 262.600 euros en 2011 à 960.000 euros en 2017 (+265%) et les contributions des élus de 577.760 euros en 2011 à un million en 2017.

Avec de telles augmentations de recettes, comment le parti de Marine Le Pen peut-il être en déficit permanent depuis six ans ?

Tout simplement parce que les dépenses ont progressé encore plus vite et de manière continue. Entre 2011 et 2017, leur montant a explosé de 284%, passant de 5,9 millions à près de 23 millions d’euros ! Marine Le Pen a laissé filer les dépenses sans mesure. Exemple : la masse salariale du FN représentait la moitié de la subvention publique annuelle en 2011 et en pèse plus de 90% aujourd’hui, alors même que cette subvention a été multipliée par 2,7… D’après mes calculs, les cinquante permanents du parti bénéficiaient en 2017 d’un salaire moyen de 7.693 euros par mois, charges sociales comprises [soit 3.900 euros net, NDLR]. La ligne budgétaire incluant les déplacements, voyages et frais de bouche a, elle, bondi de 230 % en six ans, de 2,2 millions d’euros à 7,3 millions d’euros.

Dès lors, le parti a été contraint d’emprunter…

Avec des dépenses qui progressent plus vite que les recettes, le Front national, devenu Rassemblement national, a en effet été obligé d’emprunter tous azimuts. En 2017, la dette du parti a ainsi atteint la somme record de 24 millions d’euros, soit le double de la dette de 2016. Outre le fameux emprunt de 9,4 millions à une banque tchéco-russe, le Rassemblement national avait emprunté un million d’euros auprès de Cotelec, le micro-parti de Jean-Marie Le Pen, et pas moins de 12,6 millions d’euros auprès de particuliers, dont 7,7 millions auprès d’une seule personne. En comparaison, les prêts de particuliers représentaient à peine 1,8 million d’euros en 2016.

Le Rassemblement national ne risque-t-il pas la banqueroute ?

Le parti est pris dans une spirale folle de l’endettement. En sept ans, sa dette a explosé de + 785% ! Au vu des comptes du parti, je ne vois pas comment le prêt russe de 9,4 millions d’euros pourrait être remboursé dans sa totalité en septembre 2019 sans remettre en cause gravement le fonctionnement du parti. Le Rassemblement national paraît en situation de grande difficulté financière et la fermeture de ses comptes bancaires par la Société générale il y a un an semble presque logique. Quand on pense que Marine Le Pen promettait durant la campagne présidentielle de « remettre de l’ordre dans les finances publiques », cela prête à sourire. Si elle n’est même pas capable de gérer les comptes d’un parti, on la voit mal s’occuper du budget de la France.