(2019) Affaire de pédophilie : Anges et démons , Bibbiano , ITALIE…

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Lavages de cerveaux par électrochocs sur des enfants pour les voler à leurs parents, et les vendre à des familles d’accueil qui les violaient : Série CHOC d’arrestations de notables en Italie

 Les carabiniers de Reggio Emilia, dans le nord de l’Italie, ont interpellé 18 personnes dont un maire et des médecins soupçonnés d’avoir procédé à des manipulations psychologiques sur des enfants pour les soustraire à leurs parents et les «vendre» à des familles d’accueil.

L’affaire révélée jeudi par les médias italiens, et confirmée à l’AFP par les carabiniers, implique des personnalités politiques, des médecins, ainsi que des psychothérapeutes d’une association d’aide sociale de Moncalieri, près de Turin, perquisitionnée jeudi matin par les forces de l’ordre.

Le maire de la commune de Bibbiano, près de Reggio Emilia, a également été arrêté et assigné à résidence.

Poursuivis notamment pour «violences sur mineurs» et «tentative d’extorsion», ils sont soupçonnés d’avoir pris part à une vaste organisation visant à manipuler des enfants via des séances de «lavage de cerveau», utilisant parfois des électrochocs présentés comme une «petite machine aux souvenirs» auprès des jeunes victimes.

L’enquête démarrée en 2018 et baptisée «Anges et démons» a permis de mettre au jour une ruse visant à «faire passer pour un modèle en matière de sauvegarde de mineurs victimes d’abus ce qui était en réalité un business illicite au détriment d’enfants», selon le quotidien La Repubblica.

«Selon le parquet, l’objectif du groupe de personnes poursuivies était de soustraire des enfants à des familles dans des situations sociales difficiles et de les confier, moyennant rétribution, à d’autres parents», selon le journal Il Corriere della Sera.

Parmi les stratagèmes utilisés figurent des dessins d’enfants falsifiés auxquels étaient ajoutés des connotations sexuelles, des thérapeutes déguisés en «méchants» personnages de contes de fées et se faisant passer pour des parents malveillants ainsi que de faux souvenirs d’abus sexuels générés via des stimulations électriques.

Des cas d’agressions sexuelles auraient été signalés au sein des familles d’accueil, parmi lesquelles figurent les gérants d’un sex-shop ainsi des personnes présentant des troubles psychologiques, selon La Repubblica.

Les faits ont été jugés suffisamment graves pour que le chef du gouvernement Giuseppe Conte, actuellement en déplacement au Japon pour le G20, exprime sa stupéfaction : «Si elles étaient confirmées, ces accusations seraient effrayantes et bouleversantes», a-t-il réagi jeudi depuis Osaka en marge du G20.

Le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a quant à lui aussitôt réclamé l’ouverture d’une commission d’enquête sur le dispositif des maisons d’accueil en Italie.

Italie : le scandale “Anges et démons” – Journal du jeudi 18 juillet 2019 TV Libertés

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Italie : le scandale “Anges et démons”

C’est un véritable scandale dont les médias ne semblent pas vouloir parler. En Italie, 18 personnes dont des médecins, des travailleurs sociaux et des politiques du Parti Démocrate ont été interpellées. Elles sont soupçonnées d’avoir manipulé des enfants pour les soustraire à leurs parents et les vendre à des familles d’accueil dont certaines les auraient abusés sexuellement.

Ces Algériens qui transforment la France en champ de guerre après les matches…

supporters algériens

Faudrait-il interdire l’Algérie de compétitions footballistiques internationales, pour en finir avec le déferlement de violence prenant les allures d’une véritable guérilla urbaine en France ?

Une question certes irréaliste et saugrenue mais qui se justifie amplement par elle-même au regard des atteintes graves à l’ordre public apparentées à des pogroms antifrançais.

Ils sont les seuls au monde à libérer leurs pulsions haineuses et bestiales en marge des matches de leur équipe nationale.

 

Sous le voile du football se dissimule le visage hideux et arrogant de ces supporteurs qui sont en réalité des meutes de loups sortis de leurs réserves indigénistes drapés dans le drapeau algérien pour marquer leur appartenance nationale avec force et fracas.

N’en déplaise à leurs frères restés là-bas qui rêvent pourtant eux-mêmes de venir grossir leur rang qui voient en eux des Français d’origine algérienne comme s’ils avaient honte d’eux et qu’ils préfèrent faire endosser la responsabilité de leur comportement ultra-violent à la France.

Ils ne sont plus des Algériens, ils sont des Français qui illustrent l’échec de la politique d’intégration de la France selon les bonnes âmes algériennes reines de la défausse. Un Français ne crache pas sur son drapeau national et n’exhibe pas un drapeau étranger pour se démarquer de sa communauté nationale.

À ce jour on ne connaît rien du profil sociologique des casseurs des soirs des matches de football de l’équipe nationale algérienne pour pouvoir affirmer avec certitudes s’ils sont des Algériens d’ici ou de là-bas. La vérité est par l’image, ils ne sont pas des Maoris lls sont autant Algériens que leurs frères restés au pays. On ne saurait séparer le bon grain de l’ivraie. Il n’y a pas de bons Algériens que l’Algérie a jalousement gardés chez elle et qui travaillent d’arrache-pieds pour l’aider à rejoindre le peloton de tête des pays développés et ceux qu’elle a jetés dans les bras de la France qui n’a pas su en faire des citoyens à part entière.

Après le pas d’amalgame de l’islam avec l’islamisme, on veut nous jouer une nouvelle et indécente rengaine des Algériens d’Algérie et des Algériens de France. Ils sont les deux faces du miroir algérien.

Les loups lâchés dans l’arène après les matches de l’équipe d’Algérie portent une seule et unique nationalité, celle de l’Algérie dont ils arborent les couleurs avec une violence inouïe.

Les actes de vandalisme et de pillage auxquels ils se livrent sont les faits d’individus qui ne font aucun mystère de leur nationalité. Qu’importe si certains d’entre eux sont porteurs de la nationalité française, ils sont avant tout et surtout algériens et leur attachement à la France ne dépasse pas la surface de leur CNI.

Il faut être atteint de cécité mentale pour ne pas percevoir dans ces scènes de guérilla urbaine une démonstration de force, une intifada à la Hamas.

 

On ne met pas la France à feu et à sang, ni on n’ envahit pas les Champs-Élysées, ni on ne brûle pas son drapeau national, ni on le remplace pas sur le mat de ses mairies par le drapeau algérien comme à Tours, ni on incendie pas les voitures par centaines si on était pas mu par des intentions hostiles et bellicistes.

Les Algériens qui transforment la France en champ de guerre se servent de ces matches comme moyen pour affirmer leur toute-puissance hégémonique territoriale et leur mépris des lois de la République. Ils font comprendre à la France entière que la France est à eux et la loi ne s’applique pas à eux. Ils sont au-dessus de tout. Ils sont ses nouveaux colonisateurs.

Leur comportement dépasse largement le cadre du sport et les résultats de leur équipe nationale quels qu’en soient l’issue. Pour eux c’est l’occasion de mener des offensives velléitaires contre la France histoire de tâter le terrain et de jauger les capacités réactionnelles de ses forces de l’ordre en attendant le grand soir. Celui où toutes les meutes de loups s’agrégeront entre elles pour partir à l’assaut de l’ensemble du territoire français au nom du djihad dans le sentier d’Allah.

Les émeutiers des soirs des matches de l’Algérie se comportent comme des picadors qui sont là pour porter des coups de pique au taureau en attendant de lui porter le coup fatal.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar

Allemagne : Un potentiel attentat islamiste déjoué à Cologne, 6 suspects interpellés …

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La police de Cologne (Allemagne) a mené une importante opération ce jeudi matin dans laquelle six hommes ont été interpellés. Les forces de l’ordre ont indiqué avoir déjoué une potentielle attaque terroriste.

« Nous avons appris qu’une attaque était imminente« , a déclaré Klaus-Stephan Becker, un responsable de la police de Cologne. Une opération de police s’est déroulée simultanément à Cologne et à Düren, plusieurs appartements ont été perquisitionnés et six suspects ont été interpellés explique le média allemand Der Spiegel.

L’un des mis en cause est un homme âgé de 30 ans, un germano-libanais originaire de Berlin converti à l’islam et bien connu des services de police. Ce dernier avait récemment déménagé à Düren et avait affirmé lors d’une conversation téléphonique qu’il était prêt à commettre une attaque.

Des liens avec Anis Amri, le tueur de Berlin

Le mis en cause qui entretient des liens très étroits avec les cercles djihadistes à Berlin avait assuré le rôle d’imam substitut dans l’association Fussilet 33, qui s’occupait d’une mosquée dans la capitale germanique. Une mosquée qui a depuis été fermée et que Anis Amri, le tueur du marché de Noël de Berlin en 2016, avait fréquenté.

Un second suspect de 21 ans ayant prêté allégeance à l’EI

Un autre suspect interpellé est âgé de 21 ans, décrit comme « très violent », il est accusé d’avoir prêté allégeance au groupe État islamique (EI). Deux autres suspects sont eux aussi des convertis, âgés de 20 et 21 ans. Les six interpellés ont été placés en garde à vue et deux d’entre-eux ont été remis en liberté au cours de la journée.

Les perquisitions n’ont pas permis aux enquêteurs de découvrir des explosifs. Les policiers ont également inspecté un chantier sur lequel plusieurs des mis en cause ont travaillé, notamment à l’aide de chiens détecteurs d’explosifs. En outre, aucun plan détaillé indiquant le lieu ou la date d’un attentat n’a été découvert lors des fouilles, mais les enquêteurs ont saisi de nombreux téléphones et du matériel informatique.

Allier : Un pédophile a tenté d’enlever des fillettes à plusieurs reprises mis en examen…

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Un homme de 35 ans soupçonné d’avoir tenté d’enlever plusieurs enfants entre juillet 2015 et juin 2019 à Bellerive-sur-Allier (Allier) a été interpellé ce mardi. Le suspect a été mis en examen.

Le premier fait que la police le soupçonne d’avoir commis remonte à la nuit du 30 juin au 1er juillet 2015. Un homme s’était introduit au domicile familial d’une fillette en utilisant une échelle. La fenêtre par laquelle il s’est introduit était restée ouverte à cause de la chaleur raconte Le Parisien.

Le mis en cause avait alors enroulé la petite fille dans une couverture et l’avait jeté par la fenêtre, d’une hauteur de 3,50 mètres. La victime avait hurlé, mettant en fuite l’agresseur. Cette dernière n’avait souffert que d’un simple hématome à la tête et n’avait pas subi d’agression sexuelle. Elle avait toutefois été très choquée. Une enquête avait alors été ouverte et confiée aux enquêteurs de la police judiciaire de Clermont-Ferrand et de l’office central de répression de la violence aux personnes (OCRVP).

Plus tard, les policiers ont relié le suspect à cinq autres tentatives similaires et la justice a retenu une tentative de viol à son encontre.

Une nouvelle tentative le 30 juin qui a permis aux policiers de l’identifier

C’est lors de sa dernière tentative le 30 juin dernier que les policiers sont parvenus à l’identifier. Ce jour-là, l’homme a essayé de pénétrer dans un logement, toujours à Bellerive-sur-Allier, avant de prendre la fuite. Les enquêteurs se sont appuyés sur des témoignages mais également un prélèvement ADN qui a permis de confondre cet homme de 35 ans. Ce même ADN avait été retrouvé lors de la tentative d’enlèvement le 1er juillet 2015.

Interpellé et placé en garde à vue ce mardi, le suspect a été déféré et mis en examen pour tentative de viol, enlèvement de mineur de 15 ans, violation de domicile et tentatives de violation de domicile.

Une bouteille à la mer retrouvée 50 ans après avoir été jetée par un enfant de 13 ans…

bouteille à la mer

Paul Gilmore, âgé à l’époque de 13 ans, a jeté une bouteille à la mer contenant ce message en 1969. (DR)

C’est une très belle histoire qui est en passe de connaître son épilogue… Cinquante ans après avoir commencé.

L’auteur du message a été identifié. Mardi, un petit garçon de 9 ans a découvert une bouteille contenant un mot, sur une plage Australienne. Il s’avère que cette bouteille à la mer a attendu cinquante ans avant d’être découverte.

Dès le lendemain de la découverte, le petit Jyah a envoyé un courrier à l’adresse australienne figurant dans le message. «  Il était si content  », a témoigné sa mère à ABC.

Jetée d’un bateau par un enfant

C’est un petit Anglais âgé de 13 ans qui l’avait jetée – ainsi que cinq autres – d’un bateau qui reliait le Royaume-Uni à l’Australie. Ce navire transportait des migrants britanniques.

La message indique que le navire se trouve à « 1 000 miles à l’est de Fremantle, en Australie-Occidentale » et demande à son découvreur de « répondre, s’il vous plaît ».

L’auteur a aujourd’hui 63 ans

L’auteur du message, Paul Gilmore aujourd’hui âgé de 63 ans, a été identifié. Sa soeur a répondu à sa place, car il se trouve actuellement à bord d’un bateau de croisière. Elle a affirmé qu’à son retour, « il sera super content  » d’apprendre la nouvelle, qualifiant cette découverte d’« extraordinaire » et d’« absolument incroyable  ».

Elle a ajouté que sa famille avait déménagé depuis bien longtemps de l’adresse figurant sur le message. Une belle rencontre est surement à venir…

L’Élysée a dépassé son budget de 103 millions d’euros en 2018… Merci les petits Français…

macron la folie des grandeurs

L’Élysée un peu juste dans ses finances ? En 2018, l’institution a dépassé son budget initial, en prélevant cinq millions d’euros sur ses réserves, selon le rapport annuel de la Cour des comptes. En cause, une augmentation de l’activité de la présidence.

En 2018, les produits (ressources) du compte de la présidence se sont élevés à 105,07 millions d’euros et les charges à 108,88 millions, indique la Cour, soit un « résultat déficitaire à hauteur de -3,81 millions d’euros ». La hausse des charges (+6,6 % par rapport à 2017) « s’explique principalement par celle des charges de personnel et de fonctionnement courant, en raison d’un accroissement de l’activité de la présidence », durant cette première année complète du quinquennat d’Emmanuel Macron, note-t-elle.

La masse salariale en augmentation

« La dotation budgétaire initiale, de 103 millions d’euros, s’étant révélée insuffisante pour couvrir les dépenses, un prélèvement sur la réserve d’un montant de 5,67 millions a dû être effectué pour contribuer à rétablir l’équilibre budgétaire », précisent les magistrats. Concernant le personnel, au 31 décembre 2018, la présidence disposait de 816 agents, dont 333 militaires et 483 civils, contre 822 fin 2017, et le commandement militaire représentait à lui seul 30 % des effectifs.

La masse salariale a augmenté de 4,2 % en 2018, « ses facteurs d’évolution n’étant que partiellement maîtrisés par la présidence », les agents « mis à disposition » par d’autres services de l’Etat dépendant de leur administration d’origine. Des dispositions qui, selon la Cour, « devraient être revues grâce au plan de transformation de l’Élysée mis en place en 2019 ». Le recours aux heures supplémentaires a diminué, mais il « reste élevé » au sein du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR).

Une réorganisation pour 2019

L’Élysée souligne pour sa part que le rythme plus soutenu de l’activité des services de la présidence en 2018 par rapport à 2017 entraîne mécaniquement une hausse des dépenses de fonctionnement. La réorganisation engagée par la présidence, mise en place en 2019, doit par ailleurs permettre « à la fois d’améliorer l’efficience des services, les conditions de travail des agents et d’assurer la maîtrise des dépenses », fait-on valoir.

La Cour des comptes note par ailleurs que le nouveau logiciel de gestion mis en place début 2017 « apparaît répondre aux besoins de la présidence ». Un contrôle spécifique porte enfin sur les dépenses relatives à l’activité de Brigitte Macron, « qui viennent pour l’essentiel de dépenses de personnel », souligne l’institution.

L’épouse du chef de l’Etat dispose d’un directeur de cabinet et d’un chef de cabinet, qui préparent ses rendez-vous, et de deux secrétaires. Sept agents du service de la correspondance présidentielle sont affectés « au traitement des 19.500 courriers qu’elle a reçus en 2018 » et elle ne bénéficie d’« aucun budget de représentation ».

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