Une collégienne insultée de « sale p***, sale Française » car elle ne pratique pas l’islam…

L’islam n’est pas une religion de paix de tolérance et d’amour et le prouve tous les jours…

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Une collégienne insultée chaque jour de « sale pute », « sale Française » est menacée d’être « brûlée vive » pour ne pas pratiquer l’islam.

 

Le comité international de la croix rouge pense que les pays d’Europe sont responsables de leurs djihadistes… Aucune remise en question de l’islam!

Aucune remise en question de l’islam!

70 % des actions de la croix rouge se passent dans des pays musulmans… faut il encore donner de l’argent à cette ONG ?

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Le retour des jihadistes est une question de responsabilité des pays d’origine, affirme le président du CICR (Comité international de la Croix-Rouge), Peter Maurer. Et «si on veut juger les jihadistes dans d’autres pays, il faut mettre en place des systèmes qui permettent de le faire».

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Difficulté «d’obtenir les preuves»

Il y a un an, la ministre de la justice Karin Keller-Sutter s’était justement opposée au retour des jihadistes suisses pour des raisons de sécurité. La France a évoqué l’idée d’un rapatriement, un sujet abordé lors de la récente visite de la ministre de la défense Viola Amherd à Paris. «Probablement que la Suisse s’alignera sur certains pays de l’Union européenne», a indiqué la semaine dernière le patron du Service de renseignement de la Confédération (SRC) Jean-Philippe Gaudin.

Et, expliquait-il, les juger en Suisse pose aussi problème, car «c’est très compliqué d’obtenir des preuves de leurs véritables activités au sein du mouvement terroriste. Même une fois en prison ou après avoir purgé leur peine, ces personnes doivent être surveillées. Selon Jean-Philippe Gaudin la déradicalisation est quasi impossible.

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20min.ch

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Lille : Une femme refuse de donner 5€ pour rentrer chez elle et reçoit un coup de poing au visage

L’agresseuse cas social déjà condamnée 18 fois…

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Une femme de 36 ans, bien connue de la justice, a été placée en détention provisoire en l’attente de son jugement. Elle est accusée d’avoir commis trois agressions, dont une où elle a exigé de l’argent à une jeune femme à Lille, pour la laisser accéder à son logement.

Cette habitante de Lille (Nord) rentrait chez elle ce mardi 28 janvier lorsqu’elle est tombée sur une femme à l’entrée de son immeuble. Cette dernière, ivre et agressive, lui a barré la route et a exigé cinq euros pour la laisser passer raconte La Voix du Nord.

La victime a refusé et a reçu un violent coup de poing au visage, malgré l’intervention de son compagnon. La victime a eu une dent cassée.

Une agression similaire en décembre

Interpellée puis présentée au tribunal correctionnel ce jeudi dans le cadre de son jugement en comparution immédiate, Mina B., 36 ans, a demandé le renvoi de son procès afin de préparer sa défense. La prévenue est accusée d’avoir commis au total, trois agressions différentes.

Le 14 décembre dernier, elle avait commis une agression similaire sur une autre victime. Mina B. est également soupçonnée d’avoir volé avec violences le téléphone portable d’une femme âgée, en bousculant celle qui l’accompagnait.

Déjà condamnée 18 fois

Au cours de cette audience, le procureur de la République a réclamé le placement en détention provisoire de la prévenue jusqu’à son jugement, cette dernière ayant parmi ses 18 mentions inscrites sur son casier judiciaire « de nombreux faits de violence ».

L’avocate de la mise en cause a plaidé pour un placement sous contrôle judiciaire, rappelant que sa cliente vit en foyer, qu’elle est une ancienne toxicomane et qu’elle a un rendez-vous à venir pour sa cure pour lutter contre son alcoolisme. Son avocate a également rappelé que la prévenue avait quatre enfants placés en foyer ou en famille d’accueil.

Le tribunal a décidé de placer Mina B. en détention provisoire. Elle sera jugée le 21 février prochain.

 

Lyon : 2 hommes agressés par une dizaine de racailles pour leurs téléphones, 7 mineurs interpellés

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Deux hommes ont été agressés par une dizaine d’individus en pleine rue, dans le 7e arrondissement de Lyon ce vendredi soir.

Ils se trouvaient sur le quai Claude-Bernard vers 20 heures lorsque dix individus ont surgi et les ont agressés avec la ferme intention de leur dérober leurs téléphones portables raconte Le Progrès.

Une bagarre a alors éclaté et les policiers municipaux ont aperçu ce qu’il se passait sur les vidéosurveillances de la ville. Le Centre de supervision urbain (CSU) a donné l’alerte et un équipage du groupe opérationnel mobile (GOM) de la police municipale s’est rapidement rendu sur place.

Les policiers ont procédé à l’interpellation de sept suspects mineurs, âgés de 16 à 17 ans. Ils ont tous été placés en garde à vue. Les victimes n’ont pas été blessées.

Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat du 7e arrondissement.

À Nantes, une réunion publique contre l’insécurité

Une réunion avec la municipalité, la police et la préfecture a lieu ce lundi après que 200 personnes se sont réunies pour dénoncer l’insécurité nocturne.

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« Je suis contente d’aller au travail, mais pas d’en partir. » Debout sur le bord de la fontaine de la place Royale, Romane, barmaid à Nantes, s’adresse aux quelque 200 personnes rassemblées en milieu de semaine dernière pour dénoncer l’insécurité croissante, la nuit, dans les rues de la ville.

« Il se passe des choses quand on débauche, raconte-t-elle. Ce sont des agressions à répétition. Moi, j’ai toujours ma lacrymo dans une main, mes clés dans l’autre. J’ai eu quatre fois un œil au beurre noir, j’ai été agressée à l’arme blanche… C’est mon quotidien », soupire-t-elle.

« Ça touche tout le monde, assure Cyril, responsable d’établissement, l’une des trois personnes à l’origine du mouvement. Tous les professionnels s’en rendent compte, mais aussi les clients. Il y en a qui partent plus tôt ou ne viennent plus. On ne peut plus continuer comme ça », explique-t-il, alors que la litanie des témoignages continue sur la place.

« Il faut déposer plainte », encourage un patron de bar. Certains proposent de mutualiser les agents de sécurité privés pour pouvoir intervenir en cas de problème. « La sécurité privée existe et a sa place. Mais il ne s’agit pas qu’elle sorte du rôle qui lui est imparti par la loi, estime Johann Mougenot, directeur de cabinet du préfet de Loire-Atlantique. Il faut qu’on en discute avec eux. »

« Un rattrapage brutal »

Cet après-midi, les services de l’Etat vont rencontrer, avec la mairie de Nantes et la police nationale, le collectif à l’origine du rassemblement. Les chiffres sont préoccupants en Loire-Atlantique. Les vols avec violence y ont augmenté de 22,2 % l’année dernière, après deux années consécutives de hausse. Plusieurs facteurs expliquent cette augmentation de l’insécurité : l’intensification du trafic de stupéfiants, qui génère une délinquance associée, mais aussi l’augmentation de la population de la ville.

« Nantes est l’une des villes de France qui ont connu la plus forte croissance, pointe Johann Mougenot. C’est vrai que, pendant très longtemps, les violences aux personnes à Nantes étaient moins importantes que dans d’autres grandes villes de France. Depuis quelques années, il y a un rattrapage brutal. Le taux de criminalité se rapproche de celui des autres villes. »

Un plan Action Sécurité a été mis en place en février 2019 dans le centre-ville pour lutter contre ce phénomène. Vingt-huit policiers supplémentaires ont été déployés. « On constate une forte augmentation des interpellations et des élucidations, notamment pour trafic de stupéfiants ou port d’arme prohibée. Il y a des résultats, mais, pour l’instant, il n’y a pas d’inversement de la tendance », admet Johann Mougenot. L’Etat entend donc « poursuivre et amplifier l’action ». Et écouter les propositions des professionnels.

Attaque au couteau à Londres : des perquisitions et une revendication de Daech

Sudesh Amman, 20 ans, a poignardé deux personnes dimanche dans une rue commerçante du quartier londonien de Streatham, avant d’être abattu par la police. Il sortait de prison…

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Malheureusement, c’est un schéma désormais classique. Au lendemain de l’attaque au couteau dans le sud de Londres qui a fait trois blessés, Daech a revendiqué cette action lundi à la mi-journée via son organe de propagande, sans plus de précision.

« L’assaillant dans le quartier de Streatham dans le sud de Londres hier (dimanche) fait partie des combattants de l’Etat islamique », a indiqué Amaq dans un communiqué. « Il a mené l’attaque en réponse aux appels à cibler les ressortissants des pays de la coalition » internationale antijihadistes, souligne le texte partagé sur les chaînes Telegram du groupe djihadiste.

« L’enquête se poursuit à un rythme soutenu »

Un peu plus tôt, la police britannique avait annoncé mener des perquisitions pour tenter d’en savoir plus sur Sudesh Amman, un condamné pour terrorisme en liberté conditionnelle, qui a poussé le gouvernement à promettre des mesures supplémentaires contre les auteurs de tels délits.

« Des perquisitions sont menées à deux adresses résidentielles dans le sud de Londres et dans la zone de Bishop’s Stortford », petite ville au nord de la capitale, a indiqué la police dans un communiqué. « Aucune arrestation n’a été effectuée et l’enquête se poursuit à un rythme soutenu », a-t-elle ajouté.

Sudesh Amman, 20 ans, a poignardé deux personnes dimanche peu avant 14 heures dans une rue commerçante du quartier londonien de Streatham, avant d’être abattu par la police.

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Cette attaque « de nature islamiste », selon la police, a conduit le Premier ministre Boris Johnson à promettre dès lundi « des changements fondamentaux » dans le traitement des auteurs d’actes terroristes.

Durcissement législatif

Son gouvernement avait déjà annoncé un durcissement législatif à la suite de l’attaque qui avait fait deux morts fin novembre à London Bridge, en plein centre de Londres, perpétrée par un djihadiste également en liberté conditionnelle.

Le projet de loi, qui prévoit notamment d’alourdir les peines pour les auteurs d’actes terroristes et d’interdire leur libération anticipée, doit être déposé prochainement au Parlement, où les conservateurs disposent d’une très large majorité.

Une troisième personne a été blessée dimanche par un éclat de verre provoqué par un tir des forces de l’ordre.

Savez-vous que Dimanche était un jour palindrome ?

2 février 2020… 02/02/2020, une suite de chiffres qui fait beaucoup parler en ce 33e jour de l’année qui en compte donc encore 333.

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Les puristes diront que cela n’arrive qu’une fois par millénaire. Ce dimanche 2 février 2020 est une date palindrome si on l’écrit en chiffres. À condition d’inscrire un zéro devant le deux du jour, 02 02 2020 peut se lire de manière identique dans les deux sens.

En didactique, un palindrome est un mot ou un groupe de mots qui peut être lu indifféremment de gauche à droite ou de droite à gauche. Les exemples classiques sont les villes de Laval et Noyon, le verbe « ressasser » ou la phrase « Esope reste ici et se repose ».

La dernière fois qu’une journée palindrome a eu lieu, c’était il y a huit ans, le 21 février 2012 (21022012). Le prochain sera en revanche bien plus proche, le 12 février 2021.

Le dernier jour palindrome parfait était en… 1111

Mais si l’on cherche un palindrome parfait, c’est-à-dire valable quel que soit le système calendaire (les Anglo-saxons utilisent la formule mois/jour/année), dans le monde entier, le phénomène est plus rare. Il faut en effet remonter au 11 novembre 1111 pour le trouver. Que s’est-il passé dans le monde ce jour-là ? Bien malin qui pourrait être aussi précis.

Sur les réseaux sociaux, cette curiosité amuse en tout cas beaucoup, et dans de nombreuses langues. Certains ont même pris soin de noter que ce dimanche est aussi le 33e jour de l’année, et qu’il en reste donc 333 pour boucler l’année bissextile.

Kevin, 27 ans, s’est fait lyncher par un groupe en marge d’une soirée de carnaval, samedi soir dans le Nord.

Dunkerque : un pompier volontaire entre la vie et la mort après avoir voulu mettre fin à une agression

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Il a voulu porter secours et se retrouve entre la vie et la mort. Un pompier volontaire âgé de 27 ans a été agressé dans la nuit de samedi à dimanche, à Dunkerque (Nord), par un groupe de personnes, rapporte La Voix du Nord ce lundi.

Les faits se sont produits en marge du bal du Chat noir, un événement qui ouvre la saison des carnavals dans la région. A la sortie d’un bar, Kévin, qui n’était pas en service, remarque une personne en train de se faire agresser par un groupe. Avec trois amis, il tente de s’interposer, mais il se fait lyncher.

Grièvement blessé, le jeune professeur de sport est transporté à l’hôpital de Lille.

«Kevin se bat actuellement pour vivre»

La police compte sur la vidéosurveillance pour parvenir à identifier ceux qui l’ont frappé. Sur Facebook, l’amicale des pompiers de Malo-les-Bains, de la caserne où est attaché le jeune homme, avance qu’une première interpellation a eu lieu.

« Nous sommes sous le choc du drame qu’est en train de vivre notre collègue Kevin, victime d’une agression gratuite ce samedi […] Depuis, nous recevons des messages par centaines, et nous souhaitons sincèrement remercier chacune et chacun d’entre vous pour votre soutien, qui nous réconforte », postent ses collègues, indiquant que « Kevin se bat actuellement pour vivre ».

France 3 précise que le jeune homme n’a « plus de fonctions cérébrales » à cause de l’agression dont il a été victime. Le parquet indique de son côté qu’aucune arme n’aurait été utilisée.