Christianophobie : Sainte-Sophie : les mosaïques toujours occultées pour les visiteurs

sainte-sophie-a-copie

Le coup de force provocateur des autorités turques offrant au culte musulman la vénérable basilique Sainte-Sophie de Constantinople, s’était accompagné d’un engagement du gouvernement d’Erdogan de n’occulter l’iconographie chrétienne que lors des cultes mahométans et de la rendre de nouveau visible pour les visiteurs. Depuis le 24 juillet dernier, cet engagement n’a pas été suivi d’effets et, pour les touristes qui visitent la basilique, les mosaïques demeurent invisibles. Le monument est juridiquement passé du ministère de la Culture et du tourisme à la direction des Affaires religieuses, même si des fonctionnaires du ministère de la Culture et du tourisme continuent à s’y affairer : « Les mosaïques sont totalement occultées et nous ne savons pas quand elles seront dévoilées », commentent des fonctionnaires du ministère, « les mosaïques ne sont pas visibles en dehors des heures de prière. Il avait été dit qu’un système de voiles rétractables allait être mis en place, mais nous n’avons aucune information sur la date à laquelle cela sera fait ».

Source : AsiaNews, 14 août 2020.

sainte-sophie-2

sainte-sophie-a

sainte sophie

Syrie : Une attaque menée par 250 radicaux repoussée par l’armée syrienne à Idlib

Des militaires syriens à Idlib

Une attaque lancée par 250 radicaux a été repoussée par l’armée syrienne à Idlib, huit d’entre eux ont été neutralisés, a annoncé le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie.

L’armée syrienne a repoussé une attaque menée par deux groupes radicaux de près de 250 hommes dans le gouvernorat d’Idlib, a déclaré ce samedi 11 juillet Alexandre Chtcherbitski, chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie.

«Deux groupes armés illégaux totalisant jusqu’à 250 personnes ont attaqué des positions des troupes gouvernementales le 10 juillet, vers 09h30», rapporte M.Chtcherbitski.

Les militaires syriens ont neutralisé huit radicaux en repoussant l’attaque.

Les forces gouvernementales ne déplorent aucune perte.

Le 8 juillet, le ministère russe de la Défense a annoncé que des djihadistes du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham* préparaient une provocation impliquant des substances chimiques dans le gouvernorat d’Idlib en vue d’accuser les forces de Damas d’utilisation d’armes chimiques. Début mars, la Défense russe a fait état de l’échec d’une tentative des terroristes visant à faire exploser des munitions et des réservoirs remplis de produits chimiques toxiques près de Saraqeb, dans la zone de désescalade d’Idlib.

*Organisation terroriste interdite en Russie

Turquie : Sainte Sophie la Chrétienne sera transformée en mosquée…

sainte Sophie

Sainte Sophie ou Ayasofya en turc, est une grande basilique chrétienne de Constantinople. Sa construction remonte au VI e siècle. Elle devient une mosquée lors de la reconquête en 1453. Suite à la création de la république turque en 1923, Mustafa Kamal Ataturk décide de la transformer en musée en 1935.

Le conseil d’Etat a annulé le 8 juillet le statut de musée pour redéfinir Ayasofya en tant que mosquée. Selon Selim Agrun, directeur des affaires religieuses en Turquie, la redéfinition de la Ayasofya comme une mosquée est un acte « symbolique de notre reconnaissance et loyauté envers Sultan Fatih, le conquistador. »

[…]

Ajib.fr / Aa.com.tr

 

Fribourg : Ado harcelée, menacée et frappée par un Afghan «J’ai constamment peur qu’il soit là à m’attendre»

migrants-448x293

L’accusé a déploré s’être ennuyé lors de son procès, au Tribunal de la Sarine.

Keystone

Son mépris des autorités et de la gent féminine n’a d’égal que son arrogance. Mercredi, c’est escorté par les forces de l’ordre que le prévenu, un jeune Afghan de 19 ans, est arrivé au Tribunal de la Sarine, car il ne s’est pas présenté de lui-même. D’ailleurs, lorsque le directeur du foyer où il réside lui a fait remarquer qu’il était attendu pour une audience, il aurait répondu: «J’en ai rien à foutre». Pourtant la liste des infractions qu’on lui reproche est interminable, allant de la violation de domicile à la contrainte en passant par des lésions corporelles simples.

Quand le juge lui a posé des questions en lien avec une amende d’ordre pour avoir consommé du cannabis, l’accusé s’est plaint qu’«ici, il faut payer pour tout». Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il avait violé à quatre reprises une interdiction de se rendre au centre-ville de Fribourg, il a répondu qu’il voulait acheter du yogourt et qu’il ne savait pas qu’on pouvait en trouver ailleurs. Vu son attitude, le juge, agacé, a fini par dire: «Vous ne seriez pas en train de me prendre pour un imbécile?» Réponse: «Je ne sais pas.»

Il l’a frappée, menacée et insultée

Cela dit, c’est surtout ce qu’il a fait subir à son ex-copine, une adolescente aujourd’hui âgée de 17 ans, qui lui a valu de se retrouver devant un juge. Il l’a suivie au CO (cycle d’orientation), il s’est introduit à l’École de culture générale, et fait un scandale derrière la porte de son logement. De plus, il l’a frappée, menacée et insultée. «J’ai constamment peur. Je me retourne sans cesse dans la rue, je prends d’autres bus, et je sors de l’ascenseur à d’autres étages, de crainte qu’il soit là à m’attendre», décrit la jeune femme, qui est suivie par un psychiatre. Pour sa part, le jeune homme a expliqué: «Je voulais juste lui faire du bien.» Si les faits pour lesquels sa victime a porté plainte se sont produits en début d’année, son avocat a souligné, durant sa plaidoirie, qu’elle avait subi ces différentes formes de harcèlement durant trois ans.

De plus, un soir de février dernier, il a coincé une autre femme qui se trouvait seule dans un parking. Il lui a fait des avances sexuelles et l’a tripotée de force. Finalement, elle a réussi à le repousser, mais elle est désormais traumatisée. À l’exposé des faits, le jeune homme a rétorqué: «Ben quoi? C’est pas un crime de toucher une femme et de l’inviter à danser. C’est la vie.» Pour l’ensemble de son œuvre, le Ministère public a requis 5 mois de prison et une amende de 500 francs. Verdict la semaine prochaine.

Autriche : Conflits violents entre Kurdes et Turcs à Vienne

Kurdes-turcs-448x293

Jeudi, des scènes de violences entre Turcs et Kurdes ont eu lieu à Wien-Favoriten. Les extrémistes Antifa ont pris part aux événements aux côtés des Kurdes. Lorsque les Kurdes et  les Antifas se sont barricadés dans la maison communiste Ernst-Kirchweger-Haus (EKH), celle-ci a été attaquée et assiégée par des centaines d’assaillants à coups de projectiles. Un balcon a également été incendié. Finalement, la police, détestée et souvent agressée par les extrémistes de gauche, a dû escorter les Antifas en lieu sûr.

 

 

Mercredi déjà, des actes violents ont été commis lors d’une manifestation kurde. Selon les médias, cette manifestation aurait été attaquée par les « Loups gris turcs ». Ce groupe est fidèle à Erdogan et combat en principe tout ce qui n’est pas du ressort d’une ligne conservatrice turco-islamique. La presse grand public veut fabriquer une lutte « gauche contre droite » à partir de ce conflit. En réalité, il s’agit probablement d’un autre conflit importé de l’étranger, qui se déroule actuellement sur le sol autrichien.

[…]

Gauche et Kurdes liés depuis des décennies

En Autriche, des groupes de gauche et d’extrême gauche sont solidaires depuis des décennies des préoccupations du Parti des travailleurs kurdes (PKK). Ce parti est également considéré comme une organisation terroriste dans l’UE. Cela explique également la proximité entre les groupes d’extrême gauche comme les Antifas et les groupes kurdes communistes de Vienne qui sont prêts à recourir à la violence.

[…]

Traduction libre Schwarze Rose

Wochenblick.at

Grèce : des milliers de migrants expulsés de leur logement, les centres d’accueil dans lesquels ils vivent ne les tolèrent plus

grèce migrants 1

En Grèce, plus de 11.000 réfugiés risquent de se retrouver à la rue très prochainement. Les centres d’accueil dans lesquels ils vivent ne les tolèrent plus.

Les autorités grecques ont sommé des milliers de réfugiés de quitter leur logement. Depuis les 1er juin, ceux qui ont obtenu une protection internationale avant le 1er mai 2020 ne sont plus éligibles à un hébergement dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile.

(…) Au total, 11.237 personnes sont susceptibles d’être expulsées de leur logement actuel, qu’elles vivent dans des centres d’accueil, des camps de migrants ou encore des hôtels. Parmi elles, des personnes dont l’hébergement est assuré par le programme ESTIA,  (European Emergency Support to Integration and Accommodation), qui est soutenu par l’Union européenne et le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés.

(…) Selon les dernières données du HCR de janvier, on estime à 115.600 le nombre de migrants, demandeurs d’asile et réfugiés vivant actuellement en Grèce. Ce chiffre dépasse largement les capacités d’hébergement du pays, ce qui contraint beaucoup de personnes à vivre dans la rue ou dans des camps surpeuplés.

En expulsant des réfugiés, la Grèce espère ainsi libérer des places pour loger des demandeurs d’asile qui vivent actuellement dans des camps saturés comme celui de Moria sur l’île de Lesbos.

(…) Info Migrants

Le plan secret de l’Union Européenne pour l’adhésion de la Turquie à l’Europe…

turquie-erdogan-dictature-1200x642-1

Cela fait des années que nous signalons le grave péril qui nous menace, et qui se nomme la Turquie, ou, plus exactement, Recep Tayyip Erdogan, le grand manipulateur, le maître-chanteur.

Déjà dès juin 2015, nous vous informions, preuves irréfutables à l’appui, que la Turquie livrait des armes aux rebelles islamistes en Syrie et cela depuis 2014, alors que le gouvernement d’Erdogan le démentait formellement. Armement dissimulé dans des caisses de médicaments destinées à une organisation humanitaire.

Personne ne pouvait douter un seul instant du soutien, par Recep Erdogan, de l’état islamique et du Front Al-Nostra.

Et, déjà, la question se posait : Comment un pays pro-islamique et anti-européen pouvait-il être membre de l’OTAN ?

Quelques semaines plus tard, le 13 août, nous alertions sur l’attaque menée par l’armée turque contre les Kurdes, qui étaient le seul rempart contre l’avancée des forces de l’Etat Islamique.

Toujours en 2015, le 10 novembre, nous rappelions les déclarations d’Erdogan : « Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants notre armée. » et notre conclusion : « Gardons-nous de la Turquie. Ne la laissons jamais « envahir » l’Europe. »

Quelques jours plus tard, en novembre, nous vous informions sur l’attaque menée, par l’aviation russe, contre un convoi de plusieurs dizaines de camions, qui transportaient du pétrole acheté à Daesh par la Turquie, et cela contre les ordres de l’OTAN.

En mars 2016, de nouvelles preuves dénonçaient le soutien logistique et financier apporté à Daesh par Recep Tayyip Erdogan, et sa responsabilité sur le massacre de dizaines de milliers de syriens et de kurdes.

A la même époque, l’Union Européenne s’engageait à lui verser 6 milliards pour que la Turquie conserve les migrants et lui permettre ainsi de poursuivre son chantage, sachant que cela n’empêcherait pas les turcs d’ouvrir les vannes quand ils le décideraient.

Quand on cède à un chantage on se trouve devant l’obligation de poursuivre les paiements et le maître-chanteur le sait parfaitement.

On peut se demander si cela ne fait pas partie d’un plan secret décidé par l’Union Européenne, y compris l’adhésion, un jour prochain, de la Turquie à l’Europe ?

L’objectif poursuivi par Erdogan est, d’une part, l’élimination totale des Kurdes : un second génocide, après celui des Arméniens.

La réponse de l’Occident serait non seulement d’aider ce peuple mais également de lui permettre de posséder le territoire propre, qu’ils occupent déjà, même si des « arrangements » seront nécessaires concernant les immenses réserves de pétrole.

Aujourd’hui la Turquie s’implante militairement en Libye, et menace verbalement la Grèce. Grâce à son chantage, toujours présent, Erdogan se moque des « Européens ».

Le rêve secret de Recep Erdogan est de « refonder » l’empire ottoman, tel qu’il existait à la fin du 19° siècle et fut « démembré » en 1920, à la fin de la première guerre mondiale.

Quand l’OTAN prendra-t-elle la décision de « sortir » ces islamistes de son sein ? A notre avis pas tant que les Etats-Unis considèreront la Russie comme l’ennemi principal, avant même la Corée du Nord, l’Iran, ou même la Chine, alors que c’est loin d’être le cas.

C’est la raison principale pour laquelle ils ont besoin de la Turquie, comme de la Pologne, pour, selon eux, maintenir une « barrière » contre la menace russe.

Le rôle de l’Union Européenne ne serait-il pas de s’éloigner de l’OTAN et d’accueillir la Russie, afin que la France ne reste pas l’unique armée européenne, aujourd’hui que les Britanniques l’ont quitté ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez

Turquie : Erdogan désigne injurieusement les survivants des massacres turcs de chrétiens !

Screenshot_2020-06-03 Modifier l’article ‹ Résistances et Libertés — WordPress com

Le 4 mai, lors d’une réunion d’information sur le coronavirus, le président turc Recep Erdogan a utilisé l’expression de « rescapés de l’épée », dans une rhétorique paranoïaque dont il est familier.
Ce terme très péjoratif désigne de façon assez inhumaine les survivants des grands massacres commis envers les minorités chrétiennes spécialement, par les Turcs entre 1894 et 1924…
L’utilisation de cette expression par le conquérant et vindicatif Erdogan, qui semble se prendre pour un nouveau sultan, est scandaleuse mais aussi inquiétante…

 

De Uzay Bulut, journaliste turc, sur Gatestoneinstitut :

« « Nous ne permettrons pas à des rescapés de l’épée de mener des activités dans notre pays », a-t-il dit. « Leur nombre a beaucoup diminué mais il en existe toujours ».

« Rescapés de l’épée » (kılıç artığı en turc) est une insulte courante à l’encontre des survivants des massacres perpétrés contre les chrétiens – Arméniens, Grecs et Assyriens – dans l’ex-Empire ottoman puis en Turquie.

Qu’un chef d’Etat comme Erdogan emploie publiquement cette expression a de quoi alarmer. Non seulement parce qu’il insulte les victimes et les survivants de massacres, mais parce qu’il met également en danger l’actuelle communauté chrétienne turque déjà en butte à des « pressions » ou les attaques physiques sont monnaie courante.

Garo Paylan, député arménien au Parlement turc, a protesté sur Facebook :

« Dans son discours haineux d’hier soir, Erdoğan a une fois de plus utilisé l’expression « rescapés de l’épée ».

« Ces mots, « rescapés de l’épée » désignent les orphelins comme ma grand-mère qui ont survécu au génocide arménien de [1915]. Chaque fois que nous entendons cette phrase, nos blessures saignent. »

D’autres militants et écrivains arméniens ont également critiqué Erdoğan sur les réseaux sociaux. La journaliste Aline Ozinian a écrit :

« Pour ceux qui l’ignorent, l’expression « terroristes rescapés de l’épée » pointe du doigt les « terroristes » arméniens qui ont survécu au génocide et n’ont pas pu être embrochés ou égorgés. Que signifie « terroriste » ? Eh bien, cela change tous les jours : journaliste, représentant de la société civile, écrivain, médecin ou mère d’un bel enfant. »

« Ils ne font pas honte à ceux qui ont tenu l’épée », a-t-elle poursuivi, « mais aux petits-enfants des survivants d’un peuple et d’une culture qui ont été passés au fil de l’épée. »

Le chroniqueur Ohannes Kılıçdağı a écrit :

« Voilà un pays qui fait de l’expression « rescapés de l’épée » un outil de culture et de langage politique. Cette expression est utilisée par les plus hautes autorités politiques du pays, lesquelles affirment que « l’histoire de notre pays ne compte aucun massacre ». S’il n’y a jamais eu de massacres, d’où vient cette phrase ? À quoi se réfère-t-elle ? »

Les crimes que la Turquie tente de cacher en accusant les victimes sont des faits historiques aujourd’hui bien documentés. En 2019, par exemple, les historiens Benny Morris et Dror Ze’evi ont publié, The Thirty-Year Genocide: Turkey’s Destruction of Its Christian Minorities, 1894-1924, (Un génocide de trente ans : la destruction des minorités chrétiennes en Turquie, 1894-1924), qui décrit « les massacres de masse perpétrés par l’Empire ottoman, puis par la République turque, contre les minorités chrétiennes ». Leur recherche a établi que :

« Entre 1894 et 1924, trois vagues de violences ont balayé les minorités chrétiennes d’Anatolie. En 1894, les Arméniens, les Assyriens et les Grecs représentaient 20% de la population ; en 1924, ils n’en représentaient plus que 2% ».

Les politiques exterminationnistes se composaient « de meurtres de masse prémédités, de déportations meurtrières, des conversions forcées, de viols de masse et d’enlèvements brutaux. Chaque meurtre a été exécuté au cri de ralliement du djihad ».

Au même titre que les chrétiens, la communauté Alévie turque est également dans le collimateur de ceux qui utilisent l’expression « les rescapés de l’épée ». Ainsi, en 2017, l’allié d’Erdoğan, Devlet Bahçeli, chef du Parti du mouvement nationaliste (MHP), a qualifié le journaliste Abdülkadir Selvi de « rescapé de l’épée ». Sans doute faisait-il référence à ses supposées racines alévies. Le journaliste progouvernemental Ahmet Taşgetiren a ensuite analysé la phrase comme suit :

« Vous éliminez une entité (une société, une communauté religieuse, une armée) qui, pour vous, représente « l’ennemi ». A la fin, seul un petit groupe de personnes survit à l’épée et se rend. Ce sont les rescapés de l’épée. »

Selvi s’est défendu d’être un « rescapé de l’épée » :

« Je voudrais rappeler à Bahçeli que mon grand-père, Osman, était un patriote qui a combattu sur plusieurs fronts et a été fait prisonnier dans la guerre russo-ottomane. Je suis un petit-fils de Turcs d’Oghuz ; mes ancêtres, Hasan et Hüseyin sont morts en martyrs au Yémen. Cet honneur me suffit. »

La réponse de Selvi accrédite l’idée qu’avoir des racines chrétiennes, alévies ou non musulmanes est une insulte ou une offense honteuse. Au lieu d’expliquer pourquoi « rescapé de l’épée » est une expression inacceptable, Selvi a brandi ses origines turques, la « pureté de sa race » et sa foi musulmane sunnite.

« Aujourd’hui, moins d’un demi pour cent de la population turque est chrétienne – un chiffre qui est la conséquence des persécutions turques contre les chrétiens indigènes de la région», a écrit l’historien Dr. Vasileios Meichanetsidis.

« De nombreux Turcs revendiquent fièrement cette histoire, sans chercher à y faire face honnêtement, ni garantir le respect dû aux victimes. En fait, ils traitent les victimes en agresseurs, insultent leur mémoire et celle de leurs descendants puis félicitent chaleureusement les assassins. »

L’expression « rescapés de l’épée » n’a pas ici une fonction de déni des meurtres ou des génocides qui ont été commis. Elle signale au contraire un sentiment de fierté de la part des assassins. Leur message est le suivant : « Oui, nous avons massacré des chrétiens et des non-musulmans et ils le méritaient ! » »

 

Christianophobie , Grèce : une église transformée en latrines par des migrants illégaux

église-orthodoxe-Sainte-Catherine-de-Moria-448x293

L’église orthodoxe Sainte-Catherine de Moria, une petite ville de l’île de Lesbos, fut vandalisée au début du mois de mai par des migrants illégaux. Cette ville abrite un camp de migrants illégaux de près de 25 000 individus sur les 50 000 qui se trouvent à Lesbos.

Non content de ce vandalisme qui a touché tant d’églises dans l’île, les migrants ont transformé Saint-Catherine en latrines improvisées voici deux semaines. La Hongrie vient d’allouer 30 000 US$ à la restauration des églises détruites à Lesbos. Un geste qui mérite s’être signalé et souligné…

Source : Greek City Times, 16 mai 2020.

Via Christianophobie.fr

Suisse : Fraude aux «crédits Covid» : des millions détournés par des individus d’origine turque, naturalisés suisses…

Entreprises perquisitionnées, un homme placé en détention: les autorités ont ouvert l’enquête sur une arnaque qui se monte en millions et dont une partie a été transférée en Turquie.

police vaudoise

Informé de fraudes présumées portant sur plusieurs millions, le Parquet a conduit mardi dernier une vaste opération tendant à interpeller plusieurs individus, annonce-t-il lundi.

Une instruction a été ouverte pour escroquerie, abus de confiance, gestion déloyale aggravée, faux dans les titres, blanchiment d’argent et contravention à l’ordonnance sur les cautionnements solidaires liés au Covid-19. Un des suspects a été placé en détention préventive.

Les locaux de plusieurs entreprises ont été perquisitionnés. De nombreux comptes ont été bloqués. Les auteurs présumés sont des ressortissants suisses, originaires de Turquie. Ils sont suspectés d’avoir obtenu des aides totales de plusieurs millions de francs auprès de diverses banques sur la base de déclarations mensongères.

 

Il leur est notamment reproché d’avoir induit les banques en erreur sur les chiffres d’affaires réalisés par les entreprises en profitant des contrôles limités prévus par le système en place. Plus d’un million et demi de francs semblent avoir été transférés à l’étranger, précise le communiqué. Des mesures ont été prises afin d’en permettre le rapatriement.