Angleterre : un gang de pédophiles pakistanais reçoit 1 million de Livres sterling d’aide financière pour contester leur expulsion

pédophiles

Bien sûr leurs victimes sont toutes blanches.
« Un groupe de pédophiles de Rochdale a bénéficié de 1 million de Livres sterling d’aide financière au titre de l’aide juridique pour lutter contre leur expulsion.
Le meneur Shabir Ahmed, âgé de 65 ans, Abdul Aziz, âgé de 42 ans, Adil Khan, âgé de 43 ans, et Qari Abdul Rauf, âgé de 44 ans, ont affirmé que la privation de leur citoyenneté, dans le but de les expulser, était une violation de leurs droits humains. […] » Source The Sun

Les Algériens vent debout contre un cinquième mandat de Bouteflika…

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Les étudiants, les lycéens, les enseignants universitaires, les avocats, les intellectuels et même, c’est bien la première fois, les journalistes, qui dénoncent la censure dont ils sont victimes, manifestent, se révoltent pacifiquement, dans toutes les villes d’Algérie.

Des sympathisants et partisans du FLN s’éloignent et rejoignent d’autres dissidents et c’est le cas également de très nombreux chefs d’entreprise.

Et le 8 mars ce seront les femmes qui se rassembleront.

Toute l’Algérie est dans la rue et c’est, on peut l’affirmer, une première depuis l’Indépendance et, également pour la toute première fois on a pu assister, dans les mosquées, à la protestation des fidèles qui ont cessé de prier quand les imams ont prêché les « vertus de l’obéissance au pouvoir ».

Si ce prochain vendredi 1er mars les manifestants sont aussi nombreux que le précédent vendredi, il pourrait s’agir alors d’une véritable révolte populaire.

Révolte toute pacifique d’ailleurs, tout au moins pour le moment, car parmi ce soulèvement spontané on perçoit la manipulation insidieuse des Frères Musulmans, de ce FIS (Front islamique du salut), souterrain actuellement, mais qui envisagerait peut-être de remettre le pays à feu et à sang, comme dans les années 90 et les centaines de milliers de morts.

Et c’est cette peur que le début de ce XXIe siècle voit réapparaître le spectre terrifiant de la fin du vingtième, qui ferme la porte à ceux qui pourraient prétendre diriger une Algérie nouvelle, moderne, compétitive et peut-être même laïque (Mais ce n’est qu’un rêve !).

Un rêve qu’avait fait la Tunisie et qui s’est transformé en cauchemar.

Rien ne peut se bâtir de constructif quand une religion impose ses propres lois, ses châtiments, sa haine des autres.

C’est sans aucun doute la peur de perdre ce semblant de stabilité, acquis dans le sang et le crime, qui permettra à l’entourage de Bouteflika de continuer à gouverner le pays.

N’est-ce pas d’ailleurs ce que prouve le pacifisme de ces manifestations : pas d’affrontement, pas de casseurs, pas de véhicules brûlés, de boutiques saccagées ! La population algérienne rejette toute violence… en Algérie.

Et, pour le moment, même en France.

Avez-vous constaté la présence de « casseurs », de violence, d’incendies, de magasins défoncés, lors de la première et récente manifestation des « Algériens de Paris » contre le 5e mandat ? Non, n’est-ce pas ! Même les forces de l’ordre n’ont pas eu à intervenir, les armes sont restées muettes !

Un constat s’impose tout de même : la majorité des Algériens, surtout les jeunes qui composent 40 % de la population, ne veulent pas d’un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika.

Mais est-ce que lui-même le veut ?

Il préférerait, oh ! combien, finir sa vieillesse en toute quiétude, dans le calme, la sérénité et la réflexion, qui sont désormais ses seuls complices fiables.

Mais qui, parmi ses proches et les leaders de son parti, serait susceptible de le remplacer ? Si une personnalité s’imposait, cela se saurait ; elle serait la garantie de la poursuite d’une politique, certes de corruption, mais également de paix religieuse, sous la surveillance et le soutien de l’armée populaire algérienne.

La très grande majorité des Algériens est pour le changement mais sans révolution et cela aussi bien l’armée que les forces de l’ordre, et les services de sécurité en sont conscients et se montrent aussi disciplinés que les contestataires.

Certes la crise pointe dans un proche horizon, dans les cinq prochaines années paraît-il !

Mais que toute cette population prenne bien garde, d’une part de la résurgence d’un fanatisme islamique et, d’autre part, des fallacieuses promesses de certains candidats possibles.

Je pense notamment à ce « Roi de la com. » Rachid Nekkaz, que nous connaissons bien chez nous, et pour cause, ne payait-il pas les amendes de toutes les femmes qui portaient le voile, malgré la loi, bafouant nos magistrats, notre justice, jusque devant les portes des « Trésoreries » ? Ne prônait-il pas le port du « burkini » dans les piscines et sur les plages ?

Femmes algériennes, vous qui vous battez pour votre liberté, celle de vous baigner en maillot de bain, celle de n’être plus obligées de vous « couvrir » d’un voile, celle de vous exprimer librement, « barrez la route » à ce bonimenteur, si votre justice l’autorise à pratiquer, comme la nôtre s’est laissé berner !

Manuel Gomez

Décathlon, la marque de la honte !

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« L’extrême droite » aurait gagné la bataille contre Decathlon, cette marque de sport populaire, en retirant son « hijab sportif » de la vente.

Les marques n’ont qu’un seul objectif, gagner des parts de marché, et de l’argent. Elles se fichent des conséquences, de celui qui va passer la ligne d’arrivée le premier et qui sera perdant au final ! En clair, les marques n’ont aucune âme, aucun sentiment, aucune compassion autre que le tiroir-caisse, la valeur des actions, et ne craignent que le boycott éventuel de leurs produits.

Decathlon se moque des femmes obligées de se voiler. Les marques se fichent de savoir que derrière leurs produits proposés à la vente, il y a des drames qui se jouent.

Decathlon dit que son « hijab sportif » est fait pour que les femmes puissent « enfin » faire du sport ! De qui cette marque se moque-t-elle ? Qui interdit à une femme de revêtir une tenue de sport, des chaussures de sport et de sortir courir dans un parc, ou un bois. Qui ? Si ce n’est des hommes au nom d’une religion !

Que pense Decathlon des interrogations d’une gamine de 15 ans totalement formatée, islamisée jusqu’au trognon, qui pose des questions à un imam, sur un site islamiste, pour savoir si elle peut sortir en groupe, avec des animateurs sportifs, d’autres garçons, pour disputer un match dans une ville voisine !(Source)

« Je suis une lycienne de 15 ans. Comme vous le savez, on nous enseigne à l’école l’éducation physique, comme les autres matières. Dans ce cours, nous pratiquons de nombreux sports comme le basket bal , le volley bal, le hand bal, le marathon, et le saut en hauteur.(…) Quand  il faut prendre un bus pour une sortie sportive, « Nous, les filles, nous occupons l’arrière du bus et les garçons la partie avant, aux côtés du professeur et du chauffeur, M’est-il permis de rester dans ce club? (…) Faites-moi parvenir votre réponse dans les meilleurs délais car je tiens à exécuter les ordres de la religion (…) ! »

Les ordres de la religion ? Voilà le genre de questions que se pose une enfant islamisée ! Se conformer à la religion ! Quelle est la réponse ? La femme peut faire du sport mais elle doit religieusement respecter des critères ! Quels sont-ils ?

Exercer le sport aussi loin que possible des regards des hommes y compris l’entraîneur, le professeur, les élèves, les administratifs et les spectateurs (…)

Il serait préférable, meilleur, plus prudent et plus discret pour la femme de pratiquer le sport chez elle, loin des clubs, des salles et des écoles, même si ces endroits sont exempts de la mixité.

Quand les endroits où elle pratique le sport sont mixtes, l’interdiction de la pratique est évidente. Il faut attirer l’attention ici sur le non-respect de cette condition dans bon nombre de sports féminins et masculins comme c’est connu à travers les tenues portées par les nageurs, les lutteurs, les basketteurs, les volleyeurs, les athlètes.

Pratiquer le sport dans un temps limité car il n’est pas permis à la femme de se laisser distraire de ses obligations religieuses.

Ne pas écouter de la musique pendant les entraînements et le jeu. Ne pas chercher à ressembler aux mécréantes dans leur coiffure et leur tenue, et éviter d’adopter leurs noms puisqu’il nous est interdit d’imiter les mécréants en général. (Idem Source)

Une fois ces conditions remplies, il est permis à la femme de pratiquer le sport. Toutefois, nous conseillons à nos sœurs de se protéger, de veiller à bien utiliser leur temps et de ne pas les consacrer à ces activités. Le fait pour une femme de se protéger consiste à se conformer aux ordres d’Allah dont l’un des plus importants est de rester au foyer et de ne le quitter qu’en cas de besoin en application de la parole du Très-haut : Demeurez dans vos foyers. (Coran, 33:33)

Comme dit plus haut, Decathlon, comme toutes les autres marques, tente de se défendre en assurant que c’est dans l’intérêt des musulmanes, que le but essentiel est de permettre aux femmes musulmanes de sortir de chez elles, et de pratiquer un sport en toute liberté !  Cette gamine de 15 ans prouve le contraire ! Elle prouve que l’islamisation fait des ravages et que ces marques y contribuent largement !

En Algérie, mais aussi en Iran, en Arabie saoudite, en Égypte, en Afghanistan, Pakistan, des femmes luttent pour se libérer d’un signe de soumission aux hommes, d’un refus d’êtres des humaines inférieures par nature, (S4v34) puisque le dieu des musulmans dit qu’elles sont des champs de labour (S2v223), qu’elles doivent être disponibles aux hommes, quand ils le veulent sinon, les djins les hanteront toute la nuit si elles se refusent !  Sans compter qu’elles peuvent être battues par leurs maris en toute légalité islamique !

Que penser de cet imam Abdoul Karim al-Khoudayr qui affirme tranquillement que réclamer l’introduction de l’éducation physique dans les écoles de filles revient à suivre les pas de Satan. Ce qui nous est interdit ! Qu’en pense Marlène Schiappa ?

En Algérie, le hashtag «Prisonnières du hijab en Algérie» a fleuri sur les réseaux sociaux depuis le début du mois de février. Derrière ce slogan, des femmes dénoncent le voile comme un « instrument d’oppression ». Qu’en pensent les marques comme Decathlon ?

La campagne en Algérie s’est également répandue en réponse à un phénomène alarmant depuis le début de l’année 2019 dans l’est de l’Algérie : le suicide par pendaison avec leur voile d’une dizaine de femmes. Inutile de demander à l’islamiste Yasmine Bellatar, grand ami d’Emmanuel Macron, minable humoriste, il est dit-il, furieux de la reculade de Decathlon !

Si le voile islamique est une liberté, pourquoi des millions de femmes musulmanes dans des pays musulmans rêvent de la liberté qu’ont les femmes occidentales de ne pas porter ce foulard de la honte ?

En fait, utiliser comme argument « la liberté des femmes » d’avoir des chaînes, c’est cracher à la figure de celles qui sont obligées de les porter en silence parce que contraintes !

Gérard Brazon (Libre Expression)

Déchristianisation, prénoms arabo-musulmans, sécession des élites : la France, au stade ultime de la fragmentation

part dépenses publiques

Dans un livre-événement, « L’Archipel français », Jérôme Fourquet analyse de nombreuses données qui dessinent une société française au stade ultime de la fragmentation.

Dislocation des références culturelles communes, fin de la matrice catholique, instauration d’une société multiculturelle, sécession des élites, éclatement du clivage gauche-droite… Notre société est, comme jamais, en voie d’« archipelisation ».

Premier enseignement : la déchristianisation de la société. De nombreux d’éléments, allant de la disparition du prénom Marie à la baisse du nombre de prêtres en passant par la diminution du nombre de baptêmes, prouvent que la France est entrée dans une « ère post-chrétienne », comme le décrit le politologue.

Le livre expose également les résultats d’une anthroponymie. L’auteur a utilisé la base de données de l’Insee recensant l’ensemble des prénoms donnés en France depuis 1900 ainsi que diverses listes électorales. «em> Nous avons mobilisé cette gigantesque base (…) afin de mettre en évidence différents phénomènes comme la montée en puissance d’un individualisme de masse, l’affranchissement idéologique et culturel des catégories populaires et le regain identitaire », écrit le politologue. La forte hausse de la part des nouveau-nés en 2016 en France portant un prénom arabo-musulman (18 %) risque d’être la plus commentée. Ce chiffre n’est pas isolé. Des hausses similaires sont à noter à propos des prénoms hébraïques et régionaux.

Enfin, en cette période de Gilets jaunes où la France d’en bas se révolte contre celle d’en haut, Jérôme Fourquet produit de nombreux graphiques montrant une réelle sécession des élites, qui se détachent du reste de la société. « Les occasions de contacts et d’interactions entre les catégories supérieures et le reste de la population se raréfient », écrit le politologue dans une enquête qui paraîtra le 7 mars.

En couverture de Valeurs actuelles : Les islamo-gauchistes

Valeurs actuelles

Je ne sais pas si vous achetez régulièrement Valeurs actuelles, seul magazine de droite en France. Dans tous les cas, achetez ce numéro, c’est un collector : mine de rien, on n’avait pas vu les photos des collaborateurs d’une puissance ennemie depuis la Seconde guerre mondiale.

Cette semaine, Valeurs actuelles consacre sa une aux islamo-gauchistes. Plongée chez les anti-Finkielkraut, au coeur d’une dérive française.

Les réactions aux injures proférées à l’encontre du philosophe Alain Finkielkraut viennent rappeler l’existence d’une alliance objective entre islamisme et gauchisme. Retrouvez également l’entretien de Georges Bensoussan, historien spécialiste des mondes juifs et auteur des Territoires perdus de la République, et notre enquête sur la famille d’Adama Traoré.

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Syrie : Proche de la défaite, l’Etat islamique décapite encore 50 esclaves sexuelles yézidi

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  • Les djihadistes ont décapité des dizaines de femmes yazidi et jeté les têtes dans des poubelles.
  • Les forces spéciales britanniques ont fait la sombre découverte à Baghuz, dans l’est de la Syrie.
  • Il fut un temps où IS contrôlait une bande de territoire de plus d’un quart de la taille de l’Angleterre.
  • Mais la nuit dernière, seulement 200 militants étaient confinés à un cinquième de mile carré.

 

Les troupes d’élite du SAS ont trouvé les têtes coupées de 50 esclaves sexuels assassinés par des combattants impitoyables de l’État islamique alors qu’ils menaient l’assaut contre le dernier bastion du groupe terroriste, révèle The Mail on Sunday.

Les djihadistes barbares avaient décapité des dizaines de femmes yazidi avant de jeter leur tête dans des poubelles.

Les forces spéciales britanniques ont fait cette horrible découverte lorsqu’elles sont entrées dans Baghuz, la ville assiégée sur les rives de l’Euphrate, dans l’est de la Syrie, où IS est en train de prendre sa dernière position désespérée.

Elle a fait suite à une bataille acharnée au début du mois, au cours de laquelle les soldats du SAS ont tiré 600 obus de mortier et des dizaines de milliers de mitrailleuses, forçant l’ennemi à s’engager dans un réseau de tunnels sous la ville en ruines.

Plus de 100 djihadistes ont été tués pendant la bataille. Deux soldats britanniques ont été blessés, mais ni l’un ni l’autre n’ont subi de blessures mortelles.

Une source a déclaré au The Mail on Sunday  :  » À l’heure de la défaite, la cruauté des djihadistes n’avait pas de limites. Ils ont lâchement massacré ces femmes désespérément malheureuses comme dernier acte de dépravation et ont laissé leurs têtes coupées derrière eux pour que nous les trouvions. La motivation d’un tel acte écœurant dépasse l’entendement de tout être humain un peu normal.

 

Aucune des troupes du SAS qui sont entrées à Baghuz n’oubliera ce qu’elles ont vu, que certains soldats ont comparé à une scène du film Apocalypse Now. Leur seule consolation est d’avoir contribué à mettre fin au règne de terreur de l’État islamique ».

Traduit : dailymail

Eurovision 2019: De l’Ukraine à l’Islande, ça polémique de partout

 

chanteuse

La chanteuse Maruv ne représentera finalement pas son pays, l’Ukraine, à l’Eurovision 2019. — Vladimir Donsov/AP/SIPA
  • La finale de l’Eurovision aura lieu le 18 mai 2019 à Tel Aviv (Israël).
  • A un peu plus de deux mois de l’événement, des polémiques ont déjà surgi dans plusieurs pays comme l’Ukraine, l’Italie ou la France.
  • Si le groupe Hatari est désigné pour représenter l’Islande à l’Eurovision, un nouveau couac diplomatique pourrait s’ajouter à la liste.

« Eurodrama » : nom masculin – et néologisme – désignant une polémique liée à l’Eurovision. Généralement, le terme concerne des faits purement anecdotiques telles que des chamailleries entre artistes ou des questions vestimentaires… Le cru 2019 s’annonce riche en « Eurodramas » sérieux, où la politique et la diplomatie s’invitent entre deux couplets. A un peu plus de deux mois de la finale qui se déroulera en mai à Tel-Aviv (Israël), voici les exemples les plus marquants que l’on a déjà récoltés…

  • L’Ukraine se retire (après s’être tiré une balle dans le pied)

Le feuilleton a commencé ce week-end et s’est achevé mercredi. L’Ukraine ne participera pas à l’Eurovision. Maruv a remporté samedi la finale de la sélection ukrainienne pour l’Eurovision. Les téléspectateurs l’ont plébiscité, mais du côté de la chaîne UA : PBC qui devait diffuser le concours, sa victoire avait été accueillie par une soupe à la grimace.

Non parce qu’elle n’appréciait pas sa chanson à la chorégraphie très distinguée, mais parce que la jeune femme, star dans son pays, est aussi très populaire en Russie, le pays voisin et ennemi. Le contrat que la télévision publique ukrainienne a soumis à Maruv contenait des clauses strictes : la chanteuse devait annuler ses concerts prévus prochainement au pays de Poutine, avait interdiction de répondre aux médias sans l’aval d’UA : PBC et devait renoncer à toute improvisation sur scène. Des exigences habituelles pour tout représentant ukrainien à l’Eurovision, assure la chaîne. Mais l’artiste, elle, a refusé et dit adieu à la compétition. « Je ne suis pas prête à me produire avec des slogans, faisant de mon spectacle au concours une promotion de nos politiciens. Je suis une musicienne, pas un outil dans le jeu politique », a-t-elle expliqué sur Instagram.

La chaîne a proposé au trio Freedom Jazz, arrivé deuxième de la sélection nationale, de représenter l’Ukraine au concours de chansons. Le trio a refusé. Le ticket pour Tel-Aviv a ensuite été proposé au groupe Kazka, classé troisième… Le groupe a décliné l’offre. Il devait en être de même pour les suivants, les groupes Yuko (venu… de Russie !), Brunette Shoot Blondes (qui avait déjà fait savoir qu’il ne comptait pas y aller) et Anna Maria. Sélectionner des candidats pour ensuite refuser leur participation semble absurde. Dans le cas ukrainien, cela s’explique par le fait que c’est la chaîne privée STB qui organise la sélection, et que la chaîne publique UA : PBC prend le relais pour l’Eurovision. Comme si, chez nous, M6 s’occupait de Destination Eurovision avant de laisser France 2 se débrouiller avec le candidat gagnant.

« Il se peut que personne ne représente l’Ukraine à l’Eurovision, avait prophétisé Oleksandra Koltsova, membre du conseil d’administration d’UA : PBC. Nous sommes confrontés à une crise à laquelle il n’y a pas de réponse définitive ou correcte. La société est divisée. » L’édition 2019 se fera donc finalement sans pays organisateur de l’édition 2017.

 

  • Les fausses notes populistes en Italie

A côté du drama ukrainien, la polémique italienne est une bluette. Nos voisins transalpins auront bien un candidat à Tel Aviv, en l’occurrence Mahmood qui a décroché son ticket pour l’Eurovision en remportant le mythique Festival de la chanson italienne de Sanremo début février. Sa victoire a elle aussi fait grincer des dents dans les hautes sphères du pouvoir. Matteo Salvini, vice-président du Conseil, s’est empressé de tweeter pour faire savoir que Mahmood n’était pas sa tasse de thé. Il aurait préféré l’un des autres finalistes : Ultimo. Ultimo était d’ailleurs arrivé en tête des votes des téléspectateurs en recueillant 46.50 % des suffrages, devant le trio Il Volo (39.40 %) et surtout loin devant Mahmood qui bénéficiait de seulement 14.10 % des voix. Ce sont les journalistes et le jury d’expert qui, en votant massivement pour Mahmood, lui ont permis de s’imposer. « Je remercie Sanremo parce que, cette année, il a fait prendre conscience à des millions d’Italiens de l’écart abyssal entre le peuple et l’« élite ». Entre l’identité des citoyens lambda et celle des bobos (« radical chic ») », a cinglé Luigi di Maio, le vice-président du Conseil des ministres entonnant lui aussi un refrain populiste.

Parce que sa chanson, Soldi, compte trois mots d’arabe et qu’il est né d’une mère italienne et d’un père égyptien, Mahmood n’a pas été non plus épargné par les couplets racistes. Ermal Meta, qui a représenté l’Italie à l’Eurovision l’an passé avec Fabrizio Mauro – ils avaient fini 5e – est intervenu. « A tous ceux qui disent que la victoire de Mahmood est politique : ne trempez pas ce qui est beau dans la merde. La musique n’a pas de passeports mais si vous voulez vraiment « vérifier », [il] a un passeport italien. Et même si ce n’est pas le cas, #QuiÇaEmmerde », a-t-il tweeté.

Le public, lui, semble s’être rallié à la cause du chanteur : Soldi est en tête des meilleures ventes de single, a été écouté plus de 18 millions de fois sur Spotify en trois semaines et le clip a cumulé plus de 32 millions de vues en moins d’un mois.

  • La polémique-fiction de la France

Et la France dans tout ça ? La semaine passée, des médias israéliens assuraient que France 2 menaçait de boycotter l’Eurovision 2019. En cause : la série israélienne Douze points appelée à être diffusée en mai et qui met en scène un chanteur français gay et d’origine maghrébine qui, tout en participant au concours de chansons, se retrouve mêlé malgré lui à un projet terroriste.

https://player.vimeo.com/video/318544277

« Si on dépeint mon personnage comme « un terroriste qui se déguise en homosexuel pour faire exploser une bombe à l’Eurovision », je peux comprendre qu’il y ait de l’émotion (…) ou des craintes sur le sujet. Je pourrais comprendre que la France craigne l’amalgame entre Bilal Hassani et mon personnage dans la série », affirmait l’acteur Adel Djemai à 20 Minutes vendredi. Or, le projet a été lancé l’été dernier, bien avant que la candidature de Bilal Hassani soit officielle, et est à prendre au « cinquantième degré ». Mercredi, France Télévisions avait déjà désamorcé le drama : « Pas de fausse polémique. L’ensemble de la délégation française est au travail au côté de Bilal Hassani pour la finale à Tel Aviv du 18 mai, a assuré le groupe audiovisuel. Dans le cadre de ces échanges [réguliers] entre l’UER [Union européenne de radio-télévision, qui chapeaute l’Eurovision] et [la chaîne israélienne] KAN, le projet de fiction Douze Points, dont nous avons appris l’existence la semaine dernière, est évoqué. »

 

  • Le groupe islandais qui veut se battre contre Netanyahou

Pour la prochaine polémique bien costaude, il faut plutôt se tourner vers l’Islande qui désignera samedi son représentant pour l’Eurovision à l’issue de la finale du concours Söngvakeppnin.

Le groupe Hatari, grand favori, ferait assurément beaucoup parler de lui s’il l’emportait et moins pour sa chanson versant dans l’electronicore que pour ses prises de position explicites contre la politique de l’État hébreu. Les membres du groupe ont déclaré dans une interview que s’ils participaient au concours, ils en profiteraient pour s’exprimer sur ce que vivent les Palestiniens.

Les Hatari ont récemment proposé d’affronter Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, dans un combat de Glima, la lutte traditionnelle islandaise, le lendemain de la finale de l’Eurovision. S’ils gagnent, ils entendent créer une colonie BDSM (bondage, discipline, sadomasochisme) en Israël… S’ils perdent, ils lui livreraient les îles Vestmann pour qu’il en prenne le contrôle politique et économique… Les Islandais pourraient plébisciter cet esprit de provocation : une pétition pour que leur pays boycott l’Eurovision à Tel-Aviv avait recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures au printemps dernier.

Allemagne : Un rat trop gros reste coincé dans une plaque d’égouts, 7 pompiers et un sauveteur viennent le secourir.

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Un rat resté bloqué dans une plaque d’égouts a provoqué une véritable intervention…

C’est une histoire dont les pompiers de Bensheim, en Allemagne, se souviendront. Un rat trop dodu a probablement pensé être capable de passer à travers l’un des trous de cette bouche d’égouts, mais il est resté bloqué rapporte le journal Die Presse.

Les secours ont été prévenus par des habitants et l’intervention a été filmée par les services de sauvetage animalier. Sept sapeurs-pompiers ont également été appelés sur place afin de soulever cette plaque.

Le rat a été remis en liberté

Le rat a ensuite été « vissé » hors de son trou pour en être extrait explique le quotidien allemand Bild. Une histoire qui a fait le tour des médias allemands.

Bourgoin-Jallieu: Un accident mortel implique un gendarme alcoolisé et placé en garde à vue

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Six voitures ont été prises dans un grave accident de la route, mardi vers 19h15, sur la route départementale 1006 entre Bourgoin-Jallieu et L’Isle-d’Abeau (Isère). D’après Le Dauphiné Libéré, un couple de septuagénaires de Rochetoirin (Isère) est décédé dans ce carambolage.

Un automobiliste impliqué dans cet accident, et dépisté positif à l’alcool, a été placé en garde à vue. Selon Le Dauphiné Libéré, il s’agit d’un gendarme d’une brigade iséroise. Agé de 35 ans, il n’était pas en service au moment où son véhicule a mortellement percuté par l’arrière la voiture des deux victimes.

L’agresseur musulman d’Alain Finkielkraut s’appelle Benjamin W.

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Benjamin W., alias Souleyman, âgé de 36 ans et vendeur de téléphones dans une boutique située à Mulhouse, dans le Bas-Rhin, a été interpellé mardi soir et placé en garde à vue.

Vous savez, c’est ce «salafiste » à barbe rousse et keffieh autour du cou qui a gravement insulté Alain Finkielkraut samedi à Paris, dans le XIVe arrondissement.

Né d’un père algérien et d’une mère française, père lui-même de cinq enfants, il s’est converti à l’islam radical, et il serait le seul car, paraît-il, dans sa famille personne ne pratique la religion musulmane.

Faut-il être absolument « français » pour que notre identité soit publiée par tous les médias à la moindre interpellation ? Nous avons connu immédiatement l’identité du boxeur Christian Dettinger, qui avait boxé deux CRS sur un pont de Paris, et il n’a pas tardé à être condamné lourdement (12 mois de prison). Il est aujourd’hui remis en liberté mais avec obligation de revenir tous les soirs retrouver sa cellule pour dormir, loin des siens, de sa famille, de ses enfants.

Pour nos forces de police et notre justice, est-il plus grave de « boxer » deux policiers que d’insulter, d’injurier, tous les Juifs de France – et du monde – à travers le philosophe ?

« La France elle est à nous ! Espèce de raciste, espèce de haineux. T’es un haineux et tu vas mourir. Tu vas aller en enfer ».

Non, espèce de « déséquilibré », la France n’est pas à toi, n’est pas à vous, en tous les cas pas encore, pas pour le moment et sans doute auras-tu rejoint tes « cent mille vierges » dans ton paradis d’Allah, avant qu’elle ne le soit !

Membre de l’association des Palestiniens de Mulhouse, comme en témoignent des photos prises au Liban, lors d’une manifestation anti-israélienne, Benjamin W. n’était pas le seul à injurier le philosophe, d’autres gauchistes l’accompagnaient ; ils n’ont, à ce jour, toujours pas été appréhendés et pourtant ils sont également connus et reconnus des services du ministère de l’Intérieur.

Comme l’a fort justement fait remarquer Alain Finkielkraut « ce ne sont pas des « petits Blancs » qui accompagnaient cet islamiste et l’on peut se demander pourquoi aucune équipe de policiers n’était présente lors de cette altercation verbale, qui aurait pu très mal se terminer. Ils se trouvaient où ? À encadrer des Gilets jaunes pacifiques qui défilaient paisiblement ?

Manuel Gomez