Etats-Unis : des militants  » antiracistes  » demandent aux Blancs d’abandonner leurs maisons

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Des militants du mouvement Black Lives Matter ont manifesté cette semaine dans un quartier résidentiel de Seattle. Ils ont exigé des habitants qu’ils abandonnent leurs maisons.

Les tensions raciales ne s’apaisent pas outre-Atlantique. Selon une information rapportée par plusieurs médias américains, dont le New York Post et le Washington Times, des manifestants du mouvement Black Lives Matter ont protesté dans un quartier résidentiel de la ville de Seattle, dans le nord-ouest des États-Unis, mercredi 14 août. Vidéos à l’appui, on voit les militants prendre leurs aises… et demander aux habitants du quartier d’abandonner leurs maisons.

 

 

Abandonner leur chez soi pour se faire pardonner de vivre là

[…]

Valeurs Actuelles

Pays-Bas : 3ème nuit d’émeute à La Haye (Vidéos)

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La police a arrêté 27 jeunes après des émeutes dans un quartier de la ville néerlandaise de La Haye.

Ils sont accusés d’actes de violence, d’émeutes et de comportement menaçant, a indiqué samedi la police. Leurs motivations ne sont pas connues à ce stade.

 

 

 

C’est la troisième nuit d’affilée que des troubles ont lieu dans le quartier de Schilderswijk, au sud du centre-ville.

Dans la soirée de vendredi, des dizaines de jeunes se sont réunis dans le quartier malgré une interdiction de rassemblement. Ils ont jeté des pierres et des feux d’artifice sur des policiers et ont déclenché des incendies. Un bâtiment dans lequel étaient stockés des jeux et des équipements sportifs a ainsi complètement brûlé.

Le quartier a souvent été le théâtre d’émeutes par le passé.

Sudinfo.be / Hartvannederland.nl / Ad.nl / Dumpert.nl

Nos remerciements à Victoria Valentini


 

Note : A l’heure actuelle, nous n’avons rien trouvé dans les médias romands. Mais visiblement, ce sujet n’est pas assez important pour ces journalistes qui préfèrent se focaliser sur les TOC d’un chanteur français.

Racisme anti-blancs : Les recommandations de lecture de Sciences Po : « Fragilité Blanche », « Comment être un antiraciste », « Pourquoi je ne parle plus aux Blancs de race »…

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Entrer à Sciences Po en tant que blanc à l’été 2020, c’est tendre les bras pour recevoir 10 bouquins dont 5 vous expliquent à quel point vous êtes raciste, fragile, l’horreur, quasiment le nazisme…

 

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U.S.A : Des ancêtres de Kamala Devi Harris étaient de très grands propriétaires d’esclaves

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Kamala Devi Harris, – son nom complet – , mais Devi, ça fait trop indien, est membre du Parti démocrate et sénatrice pour la Californie, au Congrès depuis 2017

Elle se porte candidate à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle de 2020 mais se retire avant le début officiel des primaires. Le 11 août 2020, Joe Biden la désigne pour être sa colistière et la candidate démocrate à la vice-présidence des États-Unis.

Un des ancêtres de Kamala Harris, Hamilton Brown, était l’un des plus grands propriétaires d’esclaves de Jamaïque. Potentiellement, cette grande féministe pourrait également avoir des ancêtres violeurs, ce qui ferait d’elle une fausse représentante des victimes noires du racisme systémique que seraient les afro-américaines…

L’année dernière, des sites de fact-checking avaient contesté cette information, affirmant qu’il n’existait pas de preuve de cette filiation. Cette preuve est maintenant apportée : dans un article de 2018, le père de Kamala Harris écrivait lui-même que sa grand-mère paternelle était descendante de ce Hamiton Brown, propriétaire de plantations et d’esclaves.

Source en anglais : Great Game India

Encore un petit supplément à  ne pas louper!

Forum, 14.08.2020, RTS – Le grand débat – Biden-Harris: ticket gagnant?

Un nouveau « Grand Débat » de la RTS, entre Daniel Warner, politologue américano-suisse et fervent Démocrate, Nicole Bacharan, historienne férocement anti-Trump, politologue, spécialiste patentée à la RTS pour les États-Unis et Raphaël Grand, un gauchiste qui a fait ses preuves et, par conséquent, est monté en grade pour devenir le correspondant de la RTS à Washington pour les présidentielles.

Afrique du Sud : 3 noirs armés attaquent une ferme, frappent le propriétaire blanc de 73 ans, et violent sa femme et ses filles

Triste Afrique du Sud ou les meurtres et les agressions des fermiers blancs et de leurs familles se poursuit dans l’indifférence de la communauté internationale… triste nation arc en ciel… sans avenir…

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Afrique du Sud – Un fermier a été ligoté et battu chez lui, sa femme et ses deux jeunes filles ont été violées lors d’un cambriolage à leur domicile de Muldersdrift, au nord de Johannesburg.

Selon le porte-parole de la police, trois hommes, dont deux armés d’armes de poing, se sont introduits de force dans une maison, ont ordonné à l’homme de 73 ans de s’allonger et lui ont attaché les mains et les jambes.

« Ils ont demandé de l’argent et, lorsqu’ils n’en ont pas trouvé, ils l’ont agressé, l’ont fouillé et ont pris son téléphone portable. Les suspects ont emmené la femme de la victime, 46 ans, et ses filles, âgées de 15 et 11 ans, dans une autre pièce et les ont violées », déclare le chef de la police.

Les suspects sont âgés de 21 à 35 ans et sont toujours en fuite.

Il a ajouté qu’un groupe d’hommes armés terrorisait les habitants de Muldersdrift et les environs, des incidents ayant également été signalés à Zwartkop, Nooitgedacht et Beyers Naudé.

« Ces crimes sont commis par trois à six suspects armés. Dans tous les incidents signalés, les suspects ont pénétré de force les maisons des victimes. Dans certains cas de cambriolage, les victimes ont été agressées sexuellement.

(…) News 24

Affrontements intra-communautaires à Mayotte

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Deux bandes rivales issues des deux villes à fort taux d’immigration clandestine s’affrontent depuis bientôt une semaine. La dégradation du climat d’insécurité a même favorisé l’exode de tout un quartier de Kaweni.
C’est en fin d’après-midi qu’ont lieu les démonstrations de forces. Des jeunes cagoulés et armés de pierres, de coupe-coupe, de machettes et de bâtons déambulent sur la Route Nationale de Kaweni, dans la commune chef-lieu, sous les regards effrayés des automobilistes. Mais leurs actions sont ciblées : incendier des cases et en découdre avec des jeunes de la bande rivale.

Des jeunes issus de quartiers informels de kaweni et d’autres de Majicavo s’affrontent ainsi tous les soirs depuis le jeudi 13 août, créant beaucoup d’agitations dans les alentours.

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rassemblement de jeunes ©capture d’écran

L’élément déclencheur de ces affrontements quotidiens serait une violente agression d’un jeune de Majicavo sur un autre de Kaweni qui aurait rechigné à « payer un droit de passage » dans leur quartier Massimoni, tampon aux communes de Mamoudzou et de Koungou.
Le jeune agressé serait originaire de Hadda Dawéni à Anjouan, un village réputé viril et solidaire. Son agression ne pourrait alors être impuni pour sa communauté.
Si à Kaweni, à contre bas, on déambule armés, les forces de l’ordre arrivent à empêcher leur progression et éviter la confrontation des deux bandes, comme jeudi dans la nuit dans le quartier des hauts-vallons.

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Intervention des forces de l’ordre jeudi soir, hauts-vallons ©Capture d’écran FB

Samedi matin les élus de Mamoudzou et de Koungou ont organisé une médiation en présence des riverains, responsables associatifs et religieux, mais sans succès.

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Médiation ©Sony Chamsidine

Samedi soir c’est, armés de cocktails Molotov et de pneus brulés et projettés des hauteurs que les jeunes de Majicavo ont attaqué le quartier de Massakini. Le bilan est lourd. Outre des habitations brulées, on déplore aussi un mort et 4 blessés graves, dont un amputé de la main. Le quartier s’est vidé de ses habitants, qui se sont refugiés ailleurs avec le strict minimum.

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Habitations brûlées et désertées ©Fahar Ousseni

Au lendemain de ces faits, les élus municipaux et départementaux de Mamoudzou et Koungou, la préfecture et le conseil départemental de Mayotte se sont réunis d’urgence à l’hôtel de ville de Mamoudzou pour appeler au calme et tenter de trouver une solution à ces actes violents.

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Réunion à la mairie de Mamoudzou ©Sony Chamsidine

Un communiqué de presse a été publié à l’issu de la réunion, et parmi les solutions annoncées, il y a le déploiement de forces de sécurité, l’organisation des assises de la sécurité, ainsi que des réunions plus régulières du Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD).

L’objectif est de trouver des solutions pérennes et globales avec les parents, les jeunes, les associations, visant notamment la formation, l’éducation et l’insertion

ont déclaré les villes de Mamoudzou, Koungou, le département et la préfecture de Mayotte dans le communiqué commun.

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Communiqué de presse ©A.R

La guerre des masques a commencé

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Un internaute tweete : « Que va-t-il se passer lorsque les gens vont réaliser MASSIVEMENT que les masques ne protègent pas contre le virus et quand, en même temps, ils vont réaliser qu’ils n’ont aucune autre solution de protection à leur portée ? »

Le masque, censé protégé les autres de nos postillons, n’est-il pas, en définitive, qu’une parade psychologique que nos gouvernants espèrent ainsi pouvoir maîtriser en nous faisant peur ? Le virus peut s’attraper par les yeux. Qui le dit ? Le virus ne circule pas à l’air libre. Qui ose encore l’affirmer ?

Et quand on voit, sur LCI,ce médecin urgentiste débattre bêtement avec un masque sur le nez qu’il n’arrête pas de toucher pour le remettre en place, lorsqu’on voit notre Président mettre un masque qu’il tenait enroulé dans sa main, ne se moque-t-on pas de nous, cher M. Jean Castex, lorsque vous souhaitiez voir tous vos administrés masqués dans les rues de nos villes et villages ?

La mascarade qui nous a été jouée, au début de l’apparition de ce virus, semble donc avoir pris un autre aspect. Des masques, nous en avons aujourd’hui à profusion. J’ai entendu, dans « Les Grande Gueules », que chaque mois, la France en achèterait à la Chine pour un milliard d’euros. Il faut bien les utiliser. Alors, on nous l’impose et on nous fait croire que si nous refusons de cacher nos visages, nous sommes d’épouvantables égoïstes, peut-être même des criminels, et, en tous cas, des rebelles…

Hier, dans une petite rue vide de Boulogne, j’ai croisé une dame dont je n’ai pu apercevoir que les yeux. Je tenais mon masque chirurgical à la main pour respecter les consignes du bureau de Poste vers lequel je me rendais. Cette personne m’a jeté un regard de haine : ses yeux m’accusaient d’être un criminel !

Un ami me dit que, ce matin, sur le marché du Bois-Plage-en-Ré, un inconnu l’a pratiquement injurié car il ne portait pas le masque devenu obligatoire par le miracle d’un décret : « Vous devriez payer 135 euros ! » Et voilà la guerre des masques bien partie, car ces regards, ces altercations sont autant de signaux comme quoi nous sommes entrés en un pays où peur et délation font bon ménage. Comme, selon la formule consacrée, aux pires heures de notre Histoire. Sur Google, amusez-vous à taper « bagarre pour un masque » et vous aurez les exemples de ce qui nous attend. Bagarre dans un avion, bagarre dans une laverie, assassinat d’un chauffeur de bus qui demandait gentiment à de méchants passagers de bien vouloir mettre leur masque, bagarre dans un bar de Pontarlier, etc.

Comme dirait l’autre, avec ce masque, si on le manipule ou si on le conserve sans précaution, et si, en même temps, on ne peut pas se protéger les yeux, nous ne sommes par sortis de l’auberge. Et quand on voit ces Français devenus moutons qui ont choisi de se masquer en voiture, sur la plage, on se demande s’il ne s’agit pas là d’une nouvelle mode importée de Chine. Encore elle.

Australie : Arrestation des organisateurs d’une manifestation contre le confinement et le masque obligatoires

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En Australie aussi, des opposants à la dictature sanitaire tentent de s’organiser… mais doivent faire face à une répression immédiate. La police australienne a ainsi arrêté deux hommes accusés de préparer une manifestation contre le confinement à Melbourne, où viennent d’entrer en vigueur les restrictions les plus strictes prises au nom de la lutte contre l’épidémie de coronavirus. Les deux quadragénaires seraient présentés ce vendredi pour être inculpés pour incitation à commettre une infraction. Une telle manifestation enfreindrait les mesures prises pour tenter de contenir la propagation du Covid-19.

A Melbourne, un couvre-feu nocturne, de 20h00 à 05h00, a été imposé en début de semaine et seuls les commerces dits “essentiels” sont depuis jeudi autorisés à ouvrir. Les habitants n’ont plus le droit de sortir de chez eux en journée que pour faire du sport, aller faire les courses ou travailler, si leur métier est considéré “essentiel”.

La police de l’Etat a déjà distribué 196 amendes au cours de ces dernières 24 heures pour diverses raisons, allant de personnes qui n’avaient pas de masque à d’autres qui avaient enfreint le couvre-feu pour aller acheter une pizza. Mais l’arrestation des deux hommes annoncée vendredi constitue indéniablement une escalade, au moment où des voix s’élèvent pour affirmer que les restrictions ordonnées contre le coronavirus violent la liberté de parole et le droit à manifester.

Au Brésil, Soros indésirable

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Au Brésil , un mouvement conservateur a récemment lancé une pétition pour contrer l’influence dans le pays du financier George Soros et de son réseau « philanthropique ».

La campagne promue par le Mouvement conservateur brésilien (Mbc) compte déjà le soutien de plus de 25 000 signatures, qui seront officiellement remises au Congrès national le 13 août. Comme l’expliquent les promoteurs, l’initiative vise à freiner l’activité et l’influence de George Soros, fondateur de l’Open Society Foundations (OSF), l’un des « principaux financiers des cliniques d’avortement dans le monde ».

La mobilisation, soulignent les représentants du mouvement conservateur brésilien, vise à devenir une campagne mondiale afin de faire du 12 août la Journée internationale contre l’influence encombrante du magnat libéral, l’un des plus importants sponsors du Parti démocrate américain et de nombreuses ONG progressistes dans le monde. Pour le mouvement conservateur brésilien, « Soros est le plus grand financier de gauche au monde, qui œuvre en coulisse à la chute des gouvernements et à l’instabilité des nations, avec des propositions allant de la destruction de la culture judéo-chrétienne, à la légalisation de l’avortement, à la théorie de genre, jusqu’à la censure d’Internet. Le moment est venu de lutter solidairement contre la personnification du mondialisme ».

Le titre de la campagne est Ne laissez pas George Soros penser à votre place. Selon le mouvement conservateur brésilien, Soros finance des mouvements tels que Black Lives Matter, alimentant les divisions raciales. D’après une analyse du Washington Times, « l’Open Society Foundations a alloué au moins 33 millions de dollars en un an au mouvement ».

Récemment, un groupe de jeunes du Mouvement conservateur brésilien s’est réuni à Brasilia pour faire connaître la campagne avec une série d’affiches postées dans des points stratégiques de la capitale.

Francesca de Villasmundo

Brest. L’agent de sécurité lui demande de porter un masque, il refuse et lui plante un couteau dans l’œil

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À Brest, dans la nuit de vendredi à samedi, un homme a planté un couteau dans l’oeil d’un agent de sécurité d’un bar. Il lui avait demandé de porter un masque avant d’entrer dans l’établissement.

Dans la nuit de vendredi à samedi, un peu avant minuit, un homme se présente devant le Greenwich Café, dans le centre-ville de Brest (Finistère). Il ne porte pas de masque alors l’agent de sécurité lui demande de se couvrir le visage. Le Brestois de 43 ans refuse, insiste pour entrer mais se fait repousser. Déçu, il fait demi-tour et repart.

Deux coups de couteau

Trente minutes plus tard, il revient sur ses pas, sort un couteau et assène un coup au visage de l’agent de sécurité. La lame atteint l’œil de la victime. Celle-ci s’effondre et l’assaillant se couche sur lui pour le frapper à nouveau. Il lui assène au total deux coups de couteau. Très vite, les clients du bar sortent pour venir en aide à la victime. Une patrouille de police à proximité est alertée et se rend sur place.

Un profil schizophrène

L’agent de sécurité est emmené dans un état grave à l’hôpital. Il a été opéré d’urgence samedi matin et son pronostic vital n’est plus engagé. L’agresseur, lui, a été interpellé dans la foulée. Il reconnait les faits mais dit ne plus s’en souvenir. Il était alcoolisé et présente un profil schizophrène. Il est déjà connu des services de police.

Sa garde à vue au commissariat de Brest est prolongée jusqu’au lendemain. Il devrait ensuite être présenté devant le parquet de Brest dimanche soir.