Archeologist of the Wasteland : tout plaquer pour vivre comme Mad Max – un documentaire passionnant

Notre avis 8 10 On pensait que Melvin Zed, le réalisateur du documentaire Archeologist of the Wasteland était le plus grand fan de Mad Max au monde. Force est de constater qu’il a trouvé plus dingue que lui. Dans ce film, vu à la soirée d’ouverture de l’édition 2019 du PIFFF, on découvre Adrian Benett : un anglais qui a décidé de vivre sa passion pour Mad Max à 1000% en allant s’installer en Australie avec femme et enfants pour y créer un musée dédié à Max Rockatansky. De collectionneur, l’homme est ainsi devenu archéologue, ratissant chaque centimètre carré de sable rouge pour y dénicher le moindre boulon ayant figuré dans les films de George Miller. Le résultat ? Un reportage passionnant à destiner en priorité à celles et ceux qui sont familiers de cet univers post apocalyptique.
Source : FilmsActu https://cinema.jeuxactu.com/critique-cinema-archeologist-of-the-wasteland-tout-plaquer-pour-vivre-comme-mad-max-32509.htm
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Qui est Melvin Zed ? C’est, de loin, le plus grand fan de Mad Max de France, et peut-être même d’Europe. Lui préfère se décrire en tant qu’historien de Mad Max plutôt que fan de Mad Max. Depuis 2008, cet illustrateur de talent prépare un ouvrage encyclopédique dédié aux trois premiers Mad Max, et s’est rendu de nombreuses fois en Australie pour y mener près d’une centaine d’interviews, découvrir les lieux de tournage de Mad Max et assister à des conventions de fans. C’est là qu’il a fait la connaissance d’Adrian Benett, créateur du musée Mad Max 2.
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Les deux loustics se sont progressivement liés d’amitié, et ce qui ne devait être qu’une simple interview est finalement devenu un documentaire : Archeologist of the Wasteland. Tourné en totale indépendance, ce docu a été filmé par Melvin seul. Pourtant, grâce à son ingéniosité, il est parvenu à transcender son absence de budget et à donner à son film de passionné l’aspect d’un documentaire à gros budget.
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Les images sont belles, les plans réalisés au drone magnifient le désert australien, et les intervenants sont tous attachants. On y suit une quête d’artefacts, et on est immédiatement captivé.e.s par cette folle aventure. Qu’on soit archi fan de Mad Max ou pas, l’aventure est belle et on se passionne pour le travail titanesque mené par Adrian pour raconter de la meilleure manière possible l’aventure de Mad Max 2 et de son tournage.
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Fans de Mad Max, on vous recommande donc de voir au plus vite le beau docu de Melvin. De quoi patienter en attendant que George Miller s’attèle à Mad Max : The Wasteland, qui devrait, selon certaines sources bien informées, être une préquelle de Fury Road racontant les événements qui ont conduit Max et l’Interceptor jusqu’au début de Mad Max 4. George Miller a récemment confirmé la mise en chantier prochaine de ce nouvel opus, qui devrait également voir le retour du guitariste aveugle lanceur de flammes aperçu dans Fury Road. Et le spin-off sur Furiosa ? C’est toujours au programme, mais ce sera pour plus tard.
Source : FilmsActu https://cinema.jeuxactu.com/critique-cinema-archeologist-of-the-wasteland-tout-plaquer-pour-vivre-comme-mad-max-32509.htm
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Pédophilie : Accusé de viols, Gilles Beyer mis à l’écart par le club de patinage des Français Volants

Le club parisien a annoncé par communiqué la mise à l’écart de son délégué général accusé de viols et d’agressions sexuelles par l’ancienne patineuse Sarah Abitbol.

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Gilles Beyer , agresseur sexuel , pédophile….

Gilles Beyer n’est plus délégué général des Français Volants. Le club parisien de patinage a publié un communiqué ce vendredi pour préciser que l’homme mis en cause par l’ancienne patineuse Sarah Abitbol pour des viols et des agressions sexuelles entre 1990 et 1992 quand il était son entraîneur, avait été écarté de toute fonction.

« Avec effet immédiat et sans limite de temps, est-il écrit. Cette décision résulte des graves accusations portées à l’encontre de ce dernier par un grand nombre de médias… Le club tient à exprimer à ses adhérentes et adhérents toute son émotion et s’engage à déployer la plus grande attention et la plus grande énergie pour conserver la confiance que les pratiquantes, pratiquants et leur famille lui accordent depuis de nombreuses années en termes d’accueil et d’encadrement…

Le comité directeur se réunira, dès le début de la semaine prochaine, pour affirmer au nom du club une prise de position officielle. »

Un proche de Didier Gailhaguet

Jusque-là, Gilles Beyer, qui a reconnu ce vendredi avoir des «relations inappropriées» avec Sarah Abitbol, avait toujours trouvé refuge au sein de son sport. Ancien patineur, entraîneur national, directeur des équipes de France, il avait été démis de ses fonctions de conseiller technique sportif en mars 2001 après une enquête de l’Inspection du ministère des Sports.

Mais il était resté responsable des tournées de gala de l’équipe de France et avait retrouvé un poste au sein des Français Volants. Il était même devenu membre du bureau exécutif de la Fédération française des sports de glace de 2014 à 2018, sous la présidence de Didier Gailhaguet, cet ami qu’il connaît depuis les années 1970 et qui va devoir s’expliquer lundi devant la ministre des Sports, Roxana Maracineanu.

Démarchage téléphonique abusif : l’Assemblée nationale durcit les sanctions

L’Assemblée nationale a donné son feu vert, jeudi 30 janvier 2020, pour durcir les sanctions prévues par la loi contre le démarchage téléphonique abusif.

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L’Assemblée nationale vient de durcir, en seconde lecture, jeudi 30 janvier 2020, les sanctions prévues par la loi contre le démarchage téléphonique abusif. Une pratique qui excède plus d’un usager. À tel point, que la pétition lancée par UFC Que Choisir et d’autres associations de consommateurs a récolté près de 300 000 signatures.

Déjà débattues à l’Assemblée et au Sénat en première lecture, plusieurs mesures avaient été adoptées dont l’information systématique du consommateur, lors d’un appel de démarchage téléphonique, de l’existence de Bloctel, ainsi que la multiplication, par cinq, des sanctions à l’encontre des professionnels ne respectant pas le dispositif, avec des amendes administratives jusqu’à 75 000 € pour les personnes physiques et 375 000 € pour les entreprises.

Cette fois-ci, le texte a été examiné en seconde lecture par l’Assemblée nationale, en séance publique. Les députés ont adopté, par 50 voix et 9 abstentions, la proposition de loi.

Elle prévoit l’interdiction du démarchage téléphonique pour les professionnels dans le secteur de la rénovation énergétique. La secrétaire d’État Agnès Pannier-Runacher a expliqué :

L’augmentation des plaintes en la matière a bondi ces derniers mois.

Pour les autres secteurs, la secrétaire d’État a promis un décret pour encadrer les jours et horaires pendant lesquels la prospection téléphonique est autorisée auprès des consommateurs ne figurant pas sur la liste d’opposition.

Une autre disposition de la proposition de loi prévoit la reconduction tacite de l’inscription sur la liste Bloctel, actuellement prévue pour une durée de trois ans.

Pas d’opt-out

En revanche, la majorité s’est opposée à l’amendement des Républicains visant à renverser la logique d’opt-out (qui ne dit mot consent, Ndlr) qui prévaut aujourd’hui. Ils proposaient de remplacer la liste d’opposition Bloctel par une liste des consommateurs ayant expressément donné leur accord en signant leurs contrats téléphoniques. Agnès Pannier-Runacher a insisté sur la préservation des emplois dans les centres d’appels.

Le texte doit maintenant faire l’objet d’un examen en seconde lecture par le Sénat.

Lire aussi : Contre le démarchage téléphonique, des associations de consommateurs lancent une pétition

Les limites de la loi actuelle

À l’heure actuelle, seul un démarchage téléphonique sur une personne qui est inscrite sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique est considéré comme abusif. La Direction départementale de la Protection des populations du Morbihan confirme :

Toutes les sanctions sont matérialisées par les appels vers ces consommateurs ayant manifesté leur opposition à recevoir ces appels. Il n’y a a priori pas de manquement si l’opérateur appelle une personne qui n’est pas inscrite sur Bloctel.

Par ailleurs, plusieurs consommateurs reprochent à Bloctel son manque d’efficacité. « Malgré mon inscription à Bloctel, rien n’y fait », explique Evelyne. Même son de cloche chez Blandine qui s’est aussi inscrite sur la liste d’opposition : « Bloctel, ça ne fonctionne pas car je recevais toujours autant d’appels ».

2,5 millions d’euros d’amendes en 2019

Depuis 2018, les DDPP (directions départementales de la protection des populations) poursuivent une action répressive pour lutter contre le démarchage téléphonique illégal. Le choix des entreprises contrôlées peut être réalisé soit à l’issue d’un ciblage fait par les agents de la direction départementale de la protection des populations, soit à la suite de plaintes de consommateurs. La DDPP du Morbihan indique :

Le montant de la sanction est déterminé selon plusieurs critères : le caractère délibéré des manquements, les antériorités de l’opérateur ou encore la gravité des faits et des conséquences dommageables pour le consommateur.

Enfin, le code de la consommation, par son article L.223-1, interdit à tout professionnel de contacter un consommateur inscrit sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique Bloctel.

Selon les chiffres fournis par la DDPP, en 2019, plus de mille établissements ont été contrôlés, conduisant à la sanction de 77 démarcheurs ne respectant pas le dispositif Bloctel. Des amendes administratives, d’un montant allant de 16 000 € à 230 700 €, ont été prononcées pour un montant total de 2,5 millions d’euros.

Ecologie : « Sea Shepherd fuck » gravé sur le corps d’un dauphin mort retrouvé à Brétignolles-sur-Mer

l’association Sea Shepherd France a révélé avoir retrouvé sur une plage de Brétignolles le corps d’un dauphin sur lequel était gravé « Sea Shepherd fuck ».

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Le corps d’un dauphin sur lequel était gravé « Sea Shepherd fuck » a été retrouvé sur la plage du Marais Girard à Brétignolles-sur-Mer. (©Sea Shepherd France)

L’ONG Sea Shepherd France a communiqué sur sa page Facebook avoir retrouvé mercredi 29 janvier le corps d’un dauphin sur lequel avait été gravé « Sea Shepherd fuck ».

Une découverte faite sur la plage du Marais-Girard à Brétignolles-sur-Mer.

Lire aussi : Jard-sur-Mer : un cadavre de dauphin mutilé découvert par Sea Shepherd sur une plage

Un « message macabre »

Dans son post Facebook l’association y voit un message qui leur est adressé par les pêcheurs : « Des pêcheurs nous adressent un message macabre« , écrivent-ils.

Sea Shepherd précise avoir acheminé le dauphin jusqu’à l’observatoire Pelagis afin qu’il soit autopsié. « Nous rendrons compte des résultats ».

Lire aussi : Sea Shepherd manifeste en exposant un dauphin mort à Saint-Gilles-Croix-de-Vie

La guerre entre l’ONG et les pêcheurs

La bataille entre l’ONG et les pêcheurs semble ne pas vouloir se calmer.

Alors que « l’hécatombe s’amplifie et qu’elle a battu tous les records en 2019 avec 11 300 dauphins tués sur la façade atlantique française » selon Sea Sherpherd, les « pêcheurs se renvoient tous la balle » fait remarquer l’association.

Sea Shepherd insiste :

Ça a trop duré ! Nous voulons des caméras sur les ponts des navires. Nous voulons que la loi change ! Nous ne laisserons pas les dauphins disparaître de nos côtes.

Un petit village de l’Aveyron reçoit un legs de 14 millions d’euros

Jackpot ! La commune de Montézic, dans l’Aveyron, a reçu un legs estimé à 14 millions d’euros, offert par Bernard Milhau, homme d’affaires décédé à Cannes à la fin de l’année 2018.

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Des millions d’euros sans jouer au loto. C’est l’énorme jackpot encaissé par la commune de Montézic, dans l’Aveyron. Un legs estimé à 14 millions d’euros a été offert à ce village de 260 habitants, par un homme d’affaires qui vivait à Cannes jusqu’à son décès, en 2018.

Le maire ne l’avait jamais vu

Maire de la commune depuis 1995, René Lavastrou n’en revient toujours pas. « C’est assez énorme » a-t-il déclaré à Actu Occitanie. C’est un courrier qui a annoncé la nouvelle. « Un notaire de Cannes faisait mention du décès de Monsieur Milhau et il nous informait qu’il léguait tous ses biens à la commune de Montézic. » Il poursuit :

Ces 14 millions sont une estimation faite par des cabinets d’experts immobiliers, parce que ce qu’il nous lègue, ce sont des biens immobiliers qu’il a sur Levallois Perret et sur Cannes.

Mais le donateur se faisait discret. « Je ne le connaissais pas du tout, personne n’avait connaissance de sa fortune » ajoute le maire. Les grands parents de Bernard Milhau étaient originaires de Montézic, où était bâtie la maison familiale. Mais ses parents ont vécu à Paris, où ils avaient un commerce. « Il est revenu, semble-t-il, pour fleurir la tombe familiale à la Toussaint 2018. »

Quelques conditions

S’il n’était pas natif de cette commune au nord de Rodez, Bernard Milhau a donc tenu à participer à sa bonne santé. Mais a tout de même posé quelques conditions dans son testament. « L’une de ses premières est que nous, la mairie, fleurissions tous les ans la tombe familiale à la Toussaint » explique le maire.

C’est le souhait qu’il avait émis dans son testament : l’argent doit être exclusivement utilisé pour le confort et le bien être de la population de Montézic.

Et comment faire ? « Je ne vais pas vous le dire car je ne suis pas candidat à ma réelection, répond René Lavastrou. Je laisse le soin à la future équipe municipale d’en faire bon usage. » Quoiqu’il en soit, c’est un pactole pour cette commune de 260 habitants, dont les installations hydrauliques « rapportaient déjà beaucoup » conclut le maire.

Un village entier proteste contre l’arrivée d’une antenne Free 5G dernière génération

L’opérateur Free a pour projet d’implanter une antenne 5G dans un village. Une grande partie des 800 habitants de la commune se mobilise contre son arrivée, jugée « écocide ».

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Le projet est prévu à la sortie du village de Vaux (Moselle). (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

Les 800 habitants de Vaux (Moselle), une petite commune au sud de Metz, sont vent debout contre l’installation d’une antenne 5G de l’opérateur Free sur leur territoire.

Lire aussi : Inquiétudes autour de l’expérimentation de la 5G au Havre : « On va être inondés d’ondes»

Bataille entamée en 2017

L’histoire commence en 2017, lorsque la mairie est contactée par l’opérateur Free. « Après concertation avec le conseil municipal, nous avons décidé de ne pas y donner suite », explique Christian Favre, le premier adjoint du maire Roland Simon, à Lorraine Actu.

Mais en novembre 2019, tout s’est accéléré :

Free nous a adressé un dossier complet avec la hauteur de l’antenne et la surface au sol, en nous disant qu’ils allaient s’implanter sur un terrain privé.

De plus, l’installation est prévue « en zone inondable« , Free ayant dû faire « une surévaluation des crues de la Moselle ». La mairie de Vaux doit recevoir une autorisation de travaux en janvier.

Lire aussi : Yvelines. Gargenville : le conseil municipal dit finalement non à l’antenne 5G

Le maire se mobilise

Christian Favre explique qu’un conseil municipal s’est tenu le 12 décembre. « On a pris une délibération pour s’opposer à l’implantation et un courrier a été adressé à Free le 3 janvier », détaille-t-il. « On leur a signifié que le projet se trouvait en zone rouge inondable, incompatible avec le plan de prévention du risque inondation (PPRI) », poursuit-il.

Le terrain où Free compte installer son antenne. Les démarcations sont faites avec des croix.
Le terrain où Free compte installer son antenne. Les démarcations sont faites avec des croix. (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

De plus, « Vaux est l’une des portes d’entrée du parc naturel régional de Lorraine en provenance de Metz », ce qui irrite encore plus le conseil municipal et son maire en particulier. « Ça défigure ce qu’on pouvait découvrir du bas du village », continue Christian Favre, alors qu’à la sortie de la commune, à l’emplacement prévu pour l’antenne, on peut apercevoir le panneau « Route des vins de Moselle ».

L'antenne serait située à moins de 100 m d'un panneau indiquant la Route des vins de Moselle !
L’antenne serait située à moins de 100 m d’un panneau indiquant la Route des vins de Moselle ! (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

Cette transformation du paysage pourrait fortement affecter la fréquentation du seul restaurant du village, situé juste en face du terrain où Free compte aménager son installation.

Lire aussi : L’installation d’une potentielle antenne 5G au Mont des Avaloirs inquiète

Des nuisances pour la vie locale

Au-delà de l’aspect esthétique, l’antenne pose des problèmes sanitaires et environnementaux, selon les élus et les citoyens. L’auteur Yannick Monget, président du groupe Symbiom, engagé dans la sensibilisation autour des problèmes environnementaux, évoque une technologie « écocide » :

La 5G n’a pas réellement d’utilité. C’est une aberration de déployer des ondes deux à trois fois plus fortes que celles de la 4G, à l’encontre des politiques environnementales. On ne sait pas quel sera l’impact sur la population et aucune étude sanitaire n’a été menée pour l’instant.

Yannick Monget s’inquiète également des personnes « qui portent un pacemaker » et dont le fonctionnement pourrait être perturbé par les émissions d’ondes. « Tout le monde sera exposé. Même les satellites seront endommagés », expose-t-il. « L’aspect économique prime sur la santé alors que le gouvernement doit protéger ses populations », déplore-t-il.

Sophie Pelletier, présidente de l’association Priartem, rappelle que « certaines radiofréquences ont été classées cancérogènes en 2011 » et qu’il y a eu « une augmentation du nombre d’éléments allant dans ce sens ». Et de souligner qu’ »un consensus a permis d’établir qu’elles provoquaient des perturbations sur l’activité électrique du cerveau ».

Lire aussi : « Guichet pilote » : la 5G expérimentée à Montpellier

Une proposition au bord de l’autoroute et une pétition

Le groupe Symbiom, dans sa lutte contre l’implantation de l’antenne 5G, peut compter sur le soutien de personnalités telles que le journaliste, animateur et réalisateur Allain Bougrain-Dubourg ou encore l’avocate Corinne Lepage. Selon Yannick Monget, « une installation au bord de l’autoroute, c’est ce qui paraît le plus logique ».

Afin de faire connaître leur combat au plus grand nombre, élus et habitants ont lancé une pétition en ligne contre l’implantation de cette antenne.

À ce jour, elle a recueilli près de 1 100 signatures.

Lire aussi : L’électrohypersensibilité : une maladie qui n’a rien de psychiatrique, selon le Professeur Belpomme

Le Chalet de Vaux est l'unique restaurant du village. Il est situé juste en face du terrain où Free compte aménager son antenne 5G.
Le Chalet de Vaux est l’unique restaurant du village. Il est situé juste en face du terrain où Free compte aménager son antenne 5G. (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

Lire aussi : Orange réalise les premiers essais de 5G en France

 

Lège-Cap-Ferret : 23 kilos de cocaïne cachés sous le sable

Des ballots de drogues étaient enfouis sur une plage où de nombreux lots de cocaïne pure se sont échoués ces derniers mois.

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Pas moins de 23 kilos de cocaïne ont été découverts enfouis sur une plage de la commune de Lège-Cap-Ferret (Gironde). Cette cocaïne, d’une grande pureté, proviendrait des mêmes lots que ceux qui se sont échoués ces derniers mois le long de la côte atlantique, rapporte Sud Ouest.

C’est un promeneur, qui a aperçu mercredi des petites poches blanches dépassant du sable au nord de la plage du Grand-Crohot, qui a donné l’alerte. Sur place, les gendarmes ont mis la main sur un total de 23 kilos de marchandise. La saisie a été remise aux policiers de l’antenne régionale du nouvel office anti-stupéfiants de la police judiciaire, l’OFAST.

Au total, depuis le début de la « marée blanche », plus d’1,3 tonne de cocaïne a été retrouvée par ballots d’un kilo sur la côte entre la Loire-Atlantique et le Pays basque. La provenance n’a pas été identifiée. Ces lots avaient attiré une foule de « promeneurs » alléchés par la lucrative marchandise. Selon les estimations, un ballot peut valoir plusieurs centaines de milliers d’euros, voir davantage.

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Boris Johnson a fait mentir les prophètes de malheur : Rien de ce qui avait été promis comme calamités n’est arrivé

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Extrait de la tribune de l’eurodéputé RN Jérôme Rivière à propos du Brexit qui vient enfin d’être approuvé par le parlement européen :

On allait voir ce qu’on allait voir ! Ceux qui avaient voté pour le Brexit s’en mordaient les doigts et n’avaient plus qu’une hâte : corriger leur vote. Les jeunes, qui s’étaient abstenus, se rueraient en masse sur les urnes pour réarrimer le pays à l’UE. La City allait peser de tout son poids. Les hésitants n’hésiteraient plus, enfin convaincus par les sombres prédictions des « experts » : files d’attentes interminables aux frontières, pénurie de matière première et de médicaments, départ massif des entreprises, effondrement de la livreC’était écrit, décrit, prédit (…)

Ce scénario rêvé d’un Brexit mort-né, Bruxelles, Paris et Berlin y étaient d’autant plus accrochés, telles des moules sur leur rocher, qu’il était porteur d’un « message politique fort » s’adressant en réalité davantage aux autres Etats européens, qu’à la Grande-Bretagne elle-même : pas d’alternative à l’Union, pas d’autre issue que de s’y soumettre ! (…)

Le résultat du scrutin ayant été l’exact inverse de celui annoncé, comment ne pas considérer que le « message politique fort » à en tirer doit lui aussi, en toute logique, être inversé ? L’échec de Boris Johnson étant censé fermer la porte à toute possibilité de (re)construction d’une « autre Europe », comment nier que son triomphe, et les suites qui y ont été données, ouvrent toutes grandes les fenêtres d’un nouvel espoir en ce domaine ? (…) lorsque le peuple veut, le peuple peut (…) par-delà les pressions et les manipulations.

Cela est vrai aussi pour Boris Johnson. Refusant de se dédire, il a fait mentir les prophètes de malheur, prévoyant les Sept plaies d’Egypte sur son pays en cas de confirmation du Brexit. Comme pour la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, rien de ce qui avait été promis comme calamités n’est arrivé. Mieux : oubliant ses anathèmes et faisant désormais patte de velours, c’est l’Union européenne qui aujourd’hui s’inquiète de la « concurrence », dans tous les domaines, de la Grande-Bretagne enfin libérée de ses carcans.

L’UE a raison de s’inquiéter, car c’est le troisième motif de satisfaction de ce Brexit : Boris Johnson, si l’on en croit ses propos, est bien décidé à tenir ses engagements. Ses « mains libres », comme il le dit, il va les utiliser pour s’attaquer aux maux que traversent son pays – les mêmes que les nôtres. Alors que les règles de l’UE limitent pour ses Etats-membres les subventions publiques aux secteurs et entreprises en péril, 100 milliards de livres vont être investi sur 10 ans (…). En matière d’immigration, plus de muselière idéologique : seuls les étrangers bénéficiant de la garantie d’un emploi payé plus de 30 000 livres (35 000 euros) par an pourront frapper à la porte du pays pour y travailler…

Tous les problèmes, certes, ne seront pas résolus d’un coup de Brexit magique. La France, non plus, n’est pas la Grande-Bretagne. Mais la direction est la bonne. Celle d’un pays non plus soumis, mais ami de l’Europe. Privilégiant les siens, sans s’isoler des autres. L’identité préservée à la dilution programmée. Le choix de la coopération, contre celui de la sujétion, l’Europe des nations.

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Royaume-Uni : Blythe, 24 ans, tabassée à coups de marteau lors d’un vol

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En bref:

Blythe Mason-Boyle, 24 ans a subi une fracture du crâne et, est restée aveugle d’un œil après avoir été attaquée par Majid Ali et son comparse, qui lui ont asséné des coups de marteau au niveau du crâne afin de la dépouiller de son véhicule.

Majid Ali a nié et refusé d’assumer la responsabilité de ses actes malgré les évidences

9 ans de prison

Mirror

« Le halal est un puissant moyen de contrôle social des populations musulmanes par les salafistes »

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L’année 2020 s’ouvre, et les opposants à la diffusion du halal dans la société française ne désarment pas. Ainsi l’association Vigilance Halal mène actuellement plusieurs combats judiciaires pour faire entrave à ce qu’elle nomme « l’halalisation de notre société ». Nous avons fait le point à ce sujet, avec Alain de Peretti, infatigable président.

Breizh-info.com : Quel bilan tirez vous de l’année 2019 de Vigilance Halal ? Quelles actions avez vous mené ?

Alain de Peretti (Vigilance Halal) : 2019 a été une année intense sur tous les plans avec une quinzaine de conférences dans toute la France, pour toute sortes de mouvements et associations ( rappelons que VH est apolitique, c’est à dire sans aucune autre attache politique que d’être au service du bien commun et de notre civilisation), une intensification de nos actions judiciaires ( 35 actions en cours ) et des actions de lobbying auprés des parlementaires, au printemps avec un courrier les alertant sur l’absurdité d’une taxe sur le halal pour financer l’islam, et une action de masse auprès du president de l’assemblée nationale où nous avons incité nos adhérents ( plus de 16 000) sympathisants et contacts en leur proposant d’écrire au président de l’assemblée nationale pour déterrer une proposition de loi de Nicolas Dupont-Aignan, déposée en Avril dernier, demandant que le mode d’abattage soit indiqué sur la viande et tous les produits carnés dans les produits préparés.

Plus de 10 000 lettres ont d’ores et déjà été envoyées. Nous allons envoyer début Février une lettre à tous les députés pour les inciter à appuyer cette légitime demande d’étiquetage, en insistant sur la responsabilité sanitaire des législateurs, ignorée, malheureusement , dans les considérant du projet de loi. D’ailleurs, j’estime que les associations de protection animale en mettant le focus uniquement sur la souffrance animale dont les tenants de l’abattage rituel nient la réalité, et en refusant d’engager la réflexion sur l’aspect sanitaire et civilisationnel, ont contribué à retarder l’évolution du dossier.

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