Besançon : En incendiant une voiture volée, des malfaiteurs mettent le feu à la fourrière

pompiers

Plusieurs malfaiteurs se sont introduits dans la fourrière municipale de Besançon (Doubs) pour incendier une voiture volée ce mardi. Le feu s’est propagé aux autres voitures et un supermarché situé à proximité a dû être évacué.

« Vers 9h30, des individus sont entrés par ruse dans la fourrière qui était fermée et ont mis le feu délibérément à une voiture qui avait été volée et récupérée par les forces de l’ordre », a expliqué le maire de Besançon, Jean-Louis Fousseret (LREM). Les flammes se sont propagées aux autres véhicules.

Une centaine de sapeurs-pompiers ont été déployés sur place pour éteindre cet incendie. 16 véhicules ont été détruits précise France Bleu, qui ajoute que les malfaiteurs étaient au moins trois. Ces derniers ont utilisé de l’essence pour mettre le feu.

300 clients et 35 employés évacués

L’intervention des pompiers a été complexe étant donné que le parking de la fourrière est très confiné. Le feu a par ailleurs entraîné l’évacuation de 300 clients et de 35 employés du magasin Intermarché situé sur la place René Cassin, dans le quartier Planoise.

Des coups de feu

Alors qu’ils fuyaient, les auteurs de cet incendie ont été suivis par une personne. Ces derniers ont alors tiré plusieurs coups de feu au sol pour la menacer. Les enquêteurs ont trouvé et saisi trois douilles.

Le procureur de la République de Besançon Étienne Manteaux a confirmé le caractère « criminel » de l’incendie et a précisé qu’il n’avait aucun lien avec la fusillade dans le quartier de Planoise ce dimanche soir qui a fait 3 blessés. Le magistrat a également déclaré que le supermarché avait perdu une partie de ses denrées alimentaires qui ont été souillées par la combustion des voitures.

Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire.

 

Maroc : saisie de plus de seize tonnes de cannabis

La drogue, dissimulée dans un camion, était en partance pour l’Europe.

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La police marocaine a annoncé la saisie, lundi au port de Tanger-Med (nord), de 16,2 tonnes de résine de cannabis dissimulées dans un camion en partance pour l’Europe.

La drogue était cachée dans des caisses en bois, à bord d’une remorque reliée à un camion de transport international immatriculé au Maroc, a précisé la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué.

Le chauffeur, un Marocain âgé de 35 ans, a été placé en garde à vue, et une enquête a été ouverte pour « arrêter toutes les personnes impliquées dans ce réseau criminel et déterminer ses éventuelles ramifications au Maroc et en Europe », selon la même source.

179 tonnes saisies en 2019

Les saisies de cannabis sont fréquentes dans le royaume, l’un des principaux producteurs mondiaux et exportateurs de résine de cannabis, selon l’Office de l’ONU contre la drogue et le crime (ONUDC).

La superficie des cultures, concentrées dans le nord du pays, n’est pas connue, pas plus que les volumes produits, faute de données officielles.

La police marocaine a saisi en 2019 quelque 179 tonnes de cannabis contre une cinquantaine une année auparavant, selon un bilan officiel présenté lundi dernier.

Strasbourg : nouvelles saisies de pétard achetés en Allemagne pour le Nouvel An

Chaque année, à l’occasion de la Saint-Sylvestre en Alsace, cette « tradition » des pétards fait de nombreux blessés.

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Policiers et douaniers ont saisi ce lundi à Strasbourg 35 kg de pétards importés d’Allemagne malgré les interdictions, dans une région où les artifices entraînent à chaque Saint-Sylvestre de graves blessures, voire des décès.

Samedi, lors d’une opération de contrôle à la frontière, 172 kg avaient été saisis. Ces fusées, chandelles et autres pétards partiront en fumée, mais pas comme l’avaient anticipé leurs acheteurs : après confiscation et notification d’un rappel à la loi, ils seront détruits par des artificiers.

 

« L’année dernière, 65 personnes se sont blessées dont 40 % de mineurs et quatre qui auront des séquelles définitives », a rappelé le directeur de cabinet du préfet du Bas-Rhin, Dominique Schuffenecker, lors de l’opération de contrôle lundi. Celle-ci a été menée à la frontière entre l’Allemagne et la France, auprès de piétons, d’automobilistes et d’usagers du tramway qui relie la ville allemande de Kehl à Strasbourg.

Une réglementation plus libérale en Allemagne

Outre l’interdiction de transporter des pétards dans les transports en commun, ce contrôle visait à faire respecter celle d’en ramener d’Allemagne.

« La réglementation est plus libérale en Allemagne donc les gens ont tendance à en acheter là-bas et à les importer pour les utiliser le soir du Nouvel An en Alsace », où la tradition veut que le réveillon soit célébré à grand renfort d’explosions, a rappelé Dominique Schuffenecker.

Comme les années précédentes, un arrêté préfectoral est venu durcir de début décembre à début janvier les règles entourant les pétards dans le Bas-Rhin. Il interdit notamment de les transporter et de les manier dans tous les lieux de grand rassemblement et d’utiliser ceux « susceptibles d’être détournés pour un usage à tir tendu vers les personnes ».

Trois personnes décédées en 2012 et 2013

Amine, 22 ans, a été contrôlé alors qu’il revenait à Strasbourg en voiture après avoir acheté avec deux copains pour 180 euros de pétards divers à Kehl. « Ça me servira de leçon, j’ai gaspillé de l’argent pour rien », a-t-il résumé, admettant qu’il « savait » braver une interdiction.

Mains arrachées, doigts amputés, yeux blessés… « Le but aujourd’hui est d’expliquer aux gens que parfois le jeu n’en vaut pas la chandelle », selon le commissaire Eric Boulli. La préfecture mise aussi sur la prévention, via des actions de sensibilisation menées dans les collèges, qui ont touché 10 000 adolescents cette année.

L’an dernier, deux jeunes hommes, un adolescent de 15 ans et un adulte de 20 ans, avaient eu des doigts amputé s à cause de pétards. En 2012 et 2013, trois personnes étaient mortes lors du réveillon.

Bangladesh : des responsables musulmans s’opposent aux dons de lait maternel… qui violent la charia

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Un projet de dons de lait maternel qui aurait pu secourir 500 nourrissons a été suspendu au Bangladesh.

Des responsables musulmans ont estimé que ce projet constituait une violation de la charia

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Ouest-France

Un hôpital du Bangladesh a suspendu son projet de dons de lait maternel destiné à des nourrissons à la suite d’une réaction violente de responsables religieux musulmans qui ont estimé que cette pratique constituait une violation de la loi islamique.

 

Ce programme devait permettre de nourrir jusqu’à 500 orphelins et nouveau-nés dont les mères travaillent dans ce pays en grande majorité musulmane qui enregistre l’un des taux les plus élevés au monde de malnutrition infantile et de retard de croissance.

Les responsables religieux ont estimé que ce programme pourrait conduire à une violation de la charia si deux bébés buvaient du lait provenant de la même mère et devaient par la suite se marier.

 

Leur mariage et leur descendance deviendraient illégaux, a expliqué Gazi Ataur Rahman, porte-parole de l’influent parti politique Islami Andolan Bangladesh.

 

La banque de lait devait ouvrir ce mois-ci dans la capitale Dacca mais le coordinateur du projet, Mojibur Rahman, a annoncé son report à une date ultérieure à la suite de nombreuses critiques. Il a ajouté que l’hôpital avait mis en place des règles strictes autour de ce projet.

Nous collectons et conservons le lait séparément et nous enregistrons rigoureusement l’identité des donneurs, a-t-il déclaré à l’AFP lundi, au lendemain de l’annonce de la suspension de ce projet

L’association : Ni putes ni soumises proche de la cessation de paiement …jusqu’à 800 000 euros de subventions par an à une époque…

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L’association féministe Ni putes ni soumises pourrait disparaître dans les prochains mois, annonce le JDD le 29 décembre, alors que l’organisation va devoir quitter ses locaux sans plan B le 1er janvier prochain. Dans le rouge financièrement, l’association féministe créée par Fadela Amara en 2003 a 11 000 euros de loyer impayés et n’a reçu que très peu de subventions en 2019. Stéphanie Rameau, sa présidente, avait lancé un appel «de la dernière chance» aux dons sur les réseaux sociaux en novembre qui n’aurait reçu que 300 euros. Elle devrait désormais déclarer l’association en cessation de paiement en janvier.

Stéphanie Rameau, présidente de @mouvement_npns, nous parle de la campagne de la dernière chance : #ÀNotrePlace. pic.twitter.com/ZauZN0TCI3

— Ni Putes Ni Soumises (@mouvement_npns) November 20, 2019

«Pincement au cœur… On espère simplement que la lutte pourra continuer», a twitté l’organisation le 30 décembre dans une publication accompagnée d’une photo montrant sa présidente en plein déménagement.

Pincement au coeur … On espère simplement que la lutte pourra continuer #laicite#egalite#mixite#universalismepic.twitter.com/UWDCJswKUL

— Ni Putes Ni Soumises (@mouvement_npns) December 29, 2019

Interrogé par le JDD, le cabinet de la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes Marlène Schiappa a expliqué que les projets de l’association au niveau national ne justifiaient pas de subventions.

«Le rôle de l’Etat n’est pas de maintenir des associations sous perfusion d’argent juste sur leur réputation quand les militantes ou les projets ne sont hélas pas au rendez-vous», rapporte l’hebdomadaire. Du côté de l’association, on dénonce l’absence d’échange avec le ministère.

A sa création, l’organisation féministe, née de marches visant à dénoncer les violences sexistes perpétrées dans les cités, a recueilli jusqu’à 800 000 euros de subventions par an avant de perdre peu à peu sa visibilité médiatique, notamment après que sa fondatrice a rejoint le gouvernement Fillon entre 2007 et 2010. En 2016 déjà, l’association avait dû quitter ses locaux parisiens pour loyers impayés, ce qui avait notamment poussé la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse à débloquer une subvention de 25 000 euros pour lui venir en aide.

L’association a continué à mener des actions jusqu’à nos jours, notamment par la production d’un clip largement partagé sur les réseaux sociaux en octobre. L’organisation suit par ailleurs toujours des femmes en difficulté et mène des interventions dans des écoles.

Lire aussi : Le mouvement Ni putes ni soumises expulsé de ses locaux pour loyers impayés

ni putes...

Extrait de: Source et auteur

Royaume-Uni : trois jeunes femmes trouvent des comprimés dans leur kebab en fin de nuit, deux hommes arrêtés

Mesdames , Mesdemoiselles , si ça se passe en Grande Bretagne , cela peu se passer ailleurs , ne soyez pas naïves , prudence ,  des prédateurs veillent…

kebab

Deux hommes âgés de 30 et 42 ans ont été arrêtés après que trois jeunes femmes aient trouvé des comprimés cachés dans un kebab à emporter.

Selon la police, les femmes, toutes dans la vingtaine, ont trouvé un certain nombre de comprimés dans leur nourriture alors qu’elles rentraient chez elles après une soirée.

Elles avaient acheté les kebabs au Istanbul Grill, à Bognor Regis, dans le West Sussex, aux premières heures du dimanche.
[…]

Daily Mail

Pédophiles : Derrière Gabriel Matzneff, la porcherie de Saint-Germain , l’intelligencia de gauche…

« On dénonce les porcs sans dénoncer la porcherie. » L’ancienne présidente de Sens commun, Madeleine Bazin de Jessey, avait, ce 15 novembre 2017, soulevé la question qui prend tout son sens aujourd’hui.

Combien de journalistes, combien de lecteurs, combien de chroniqueurs ignoraient les travers et les vices supposés, dont en tout cas il se vantait, de Gabriel Matzneff ? Car l’écrivain, comme le lecteur a pu s’en apercevoir, ne cachait pas ses relations immorales pour certaines, criminelles pour d’autres.

Tout le monde savait. C’est sans doute le plus choquant dans cette affaire. Personne n’ignorait les péchés de Gabriel Matzneff. Sans pour autant l’avoir lu entièrement, tout le monde savait que l’auteur, à l’image de son maître Montherlant, avait un faible pour la chair trop fraîche et un penchant à ravager une innocence qui l’attirait. A la différence que Montherlant avait la dignité de ne pas s’en vanter.

Or, derrière l’ogre Matzneff qui a toujours dit aimer coucher avec des garçons de onze ans ou des filles de douze ans, quel monstre n’avons-nous jamais exorcisé ? Car Matzneff n’est qu’une conséquence, une facette, un aspect de cette sarabande de démons. Son véritable nom est déconstruction et son incantation est trinitaire. Elle a pour nom Foucault, Deleuze et Derrida. Ce trio infernal, père de la « French Theory » donc grand-père de la théorie du genre, a savamment construit la déconstruction. Tout est une norme, rien n’est naturel. Exit la morale et la loi. Seul compte votre capacité à vous émanciper à tout prix de cette norme. Votre pénis ne fait pas de vous un homme, avoir 18 ans n’est pas synonyme de majorité. Tuer le père pour souiller l’enfant.

Puisque tout n’est que construction et que la norme sociale n’existe pas, pourquoi un enfant ne serait pas un objet sexuel comme les autres ?

C’est cette folie qui avait poussé des Claude Lévi-Strauss, des Glucksmann, des Françoise Dolto et des Louis Aragon à signer des pétitions ou à revendiquer leurs attirances pour les enfants.

Comment alors s’étonner que certains comme Cohn-Bendit, Mitterrand, ou Matzneff passent à l’acte et s’en vantent ? Jouisseurs de la déconstruction, ils n’ont fait que célébrer le règne de l’amoralité. Règne proclamé paradoxalement par cette gauche qui dispense depuis son trône chèrement acquis leçons de morale et anathèmes à nos familles d’idées.

A vrai dire, Matzneff importe peu. Qu’importe le porc même paré d’atours littéraires ? Il nous faut pousser cette polémique jusqu’à ce que les architectes, les propriétaires et les pourvoyeurs de la porcherie répondent un jour de leurs actes. Au nom de l’innocence massacrée de milliers d’enfants. Au nom des familles détruites et de cette société déconstruite dont on doute aujourd’hui de sa capacité à survivre. Gabriel Matzneff est indéfendable. Ceux qui osent le faire aujourd’hui le font soit par amitié aveuglée soit par idéologie. Les premiers doivent ouvrir les yeux, les seconds doivent payer. •

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DEFENDONS LA PEDOPHILIE ! LIBERATION, LE NOUVEL OBS, LE MONDE, LE PS appelaient à signer des PETITIONS POUR SOUTENIR LA PEDOPHILIE.

au nom de la liberté et du progrès …

gamine

DEFENDONS LA PEDOPHILIE !

LIBERATION, LE NOUVEL OBS, LE MONDE, LE PS appelaient à signer des PETITIONS POUR SOUTENIR LA PEDOPHILIE, au nom de la liberté et du progrès .

Ainsi, LE MONDE publiait, le 26 janvier 1977, une célèbre lettre ouverte aux Parlementaires, relayée, évidemment, par Libération, pour défendre dans “l’affaire de Versailles”, trois hommes qui étaient accusés de pédophilie, pour avoir couché avec des mineurs et pris des photos de leurs intimités.
Les intellectuels progressistes parisiens s’étaient émus de cette entrave à la jouissance et à la consommation du corps.

COMMENT UNE SOCIETE PEUT-ELLE ETRE HEUREUSE SI L’ON FIXE DES LIMITES MORALES AU PLAISIR SEXUEL ?
LE TEXTE IGNOBLE PRECISAIT AINSI QUE LES ENFANTS ETAIENT “CONSENTANTS”, avant d’aller encore plus loin dans le progrès sociétal : “Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?” et “trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit”. Ça a le mérite d’être clair !
On y retrouve nos bons vieux bobos soixante-huitards et quelques socialistes devenus ministres entre-temps. Une liste à garder en mémoire :

– Jack Lang
– Dr Bernard Kouchner
– André Glucksmann
– Jean-Paul Sartre
et 54 autres « intellectuels » .

La même année, LIBERATION publiait également un appel à participation pour une réunion afin de constituer le FLIP (Front de libération des pédophiles). Il est beau leur progrès sociétal, elle est belle LEUR EMANCIPATION SEXUELLE !

N’oublions pas non plus l’apologie du déshabillage par une petite fille de COHN BENDIT sur Apostrophe en 1983, les propos abject de FREDERIC MITTERAND .

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Attentat déjoué en Russie: deux suspects incarcérés, l’un ayant prêté allégeance à Daech , Nikita Semionov, Georgui Chernychov.

Dimanche, Poutine avait remercié Trump pour les renseignements américains ayant permis de déjouer les attentats.

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Un des deux suspect de l’attentat déjoué avait prêté allégeance à Daech. Olga MALTSEVA / AFP

Deux hommes soupçonnés d’avoir projeté de commettre un attentat à Saint-Pétersbourg (nord-ouest de la Russie) durant les fêtes de fin d’année et prêté allégeance au groupe Etat islamique (EI) ont été incarcérés, ont annoncé ce lundi les services de sécurité russes (FSB).

Le FSB a annoncé sur son site internet que leur arrestation était intervenue vendredi sur la base d’informations fournies par des «partenaires américains», et que tous deux avaient reconnu avoir préparé les attaques. Le président russe Vladimir Poutine a remercié dimanche son homologue américain Donald Trump pour les informations ayant permis de déjouer l’attaque.

Les deux hommes ont été identifiés comme

Nikita Semionov, 22 ans, et Georgui Chernychov, 23 ans

, par un tribunal de Saint-Pétersbourg dans un communiqué diffusé à l’issue d’une audience à huis clos. Le juge a ordonné leur détention provisoire durant l’enquête.

Selon le site local d’information Fontanka, les deux hommes planifiaient une attaque contre un centre commercial du centre-ville et une cathédrale très fréquentée par les touristes. Ils avaient envoyé des photos à Daech pour confirmer leurs cibles. L’un des deux suspects avait prêté allégeance à l’Etat Islamique. Une vidéo diffusée par le FSB aux agences russes montre un des deux suspect, le visage masqué, prononçant un serment d’allégeance en arabe. Les services russes ont indiqué dans un communiqué que les deux hommes, dont les noms n’ont pas été rendus publics, avaient reconnu leur culpabilité. Une enquête a été ouverte pour «participation à une entreprise terroriste».

Bien qu’opposés farouchement sur de nombreux dossiers internationaux, Moscou et Washington pointent régulièrement leur volonté réciproque de lutter contre le terrorisme. En décembre 2017, un attentat de l’EI visant la très touristique cathédrale Notre-Dame-de-Kazan de Saint-Pétersbourg avait déjà été déjoué grâce à des informations transmises, selon Moscou, par le renseignement américain. Le Kremlin avait vanté un «cas exemplaire» de coopération.

Gard : 3 personnes, dont une mère et son fils de 13 ans, portées disparues après une sortie en jet ski

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Un homme accompagnant une mère et son fils de 13 ans ne sont jamais rentrés de leur sortie en scooter des mers, samedi après-midi au large du Grau-du-Roi (Gard).

D’abord présenté comme le père de l’enfant et compagnon de la femme, l’homme serait finalement un ami de la famille, selon le témoignage d’un cousin de cette dernière.

Les proches de la jeune femme redoutent qu’elle ait été enlevée avec son fils, relate France Bleu.

D’importants moyens mobilisés pour les recherches

Leur trace a été perdue samedi vers 14 heures. Les dernières images des trois disparus sont celles des caméras de vidéosurveillance, où l’on voit le jet ski quitter le Grau-du-Roi. Leur sortie devait durer deux heures, mais ils n’en sont pas revenus.

Le lendemain vers 15 heures, deux hélicoptères ont été envoyés sur zone pour effectuer des recherches. « Malgré la caméra thermique et les jumelles de vision nocturne, cela n’a rien donné. À 20h10, les recherches ont été stoppées », indique une source proche du dossier à LCI. Le golfe d’Aigues-Morte et ses environs ont été également survolés ce lundi matin par un Falcon 50 la Marine nationale.

Les recherches en mer arrêtées

La préfecture maritime de la Méditerranée a toutefois déclaré que sur ordre du préfet, les recherches ont été stoppées ce lundi à midi.

Le Crossmed (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Méditerranée) continue tout de même d’émettre des messages à destination des navigateurs et aviateurs. Sur terre, l’enquête sur cette disparition inquiétante est menée par la gendarmerie du Gard.

Le véhicule de l’homme retrouvé

L’homme qui est parti avec la mère et l’enfant est originaire de Lunel (Hérault) d’après le cousin de la femme. Il n’a pas le permis de jet ski et l’engin ne lui appartient pas, a-t-il affirmé.

Toujours selon son témoignage livré à France Bleu, les gendarmes ont retrouvé la voiture de cet homme avec la remorque utilisée pour transporter le jet ski. Dans l’habitacle se trouvaient des effets personnels de sa cousine, a-t-il ajouté.

D’après la préfecture, les conditions météorologiques n’étaient pas mauvaises le jour de la disparition. La température était d’une quinzaine de degrés, la visibilité était bonne et le vent faible. L’espoir de retrouver des naufragés est maigre. L’enquête menée actuellement n’écarte aucune piste.

La mère de famille portée disparue réside à Saint-Laurent-d’Aigouze. Elle fait partie de la communauté des gens du voyage, précise France Info.

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