Christine Kelly , La présentatrice de “Face à l’info”, avec Zemmour, menacée de mort… par les biens pensants…

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Christine Kelly, qui présente l’émission de CNews dans laquelle officie Eric Zemmour, a affirmé vendredi être menacée de mort.

Le simple fait de présenter une émission impertinente, à contre-courant d’une bien-pensance omniprésente, vaut désormais… des menaces de mort. C’est ce qu’a indiqué Christine Kelly, à la tête de Face à l’info, sur CNews, depuis la rentrée. « Qui a déjà survécu à des mois ou semaines de menaces de mort en travaillant ? Merci pour vos témoignages. Ça peut aider », a-t-elle écrit sur Twitter, vendredi 29 novembre.

« Inadmissible » pour Marlène Schiappa

Une déclaration rapidement commentée par Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, également sur le réseau social. « Chère Christine, avez-vous déposé plainte ? C’est inadmissible cette situation et pas tenable psychologiquement, pour personne », a-t-elle répondu.

« J’ai beaucoup encaissé. Je ne tolère aucune volonté de blesser, gratuitement », avait déjà écrit Christine Kelly, jeudi sur Twitter. Par ailleurs, dans Face aux médias, sur la chaîne Non Stop People, jeudi, la présentatrice a souligné la contradiction de son profil avec une partie des idées de l’éditorialiste Éric Zemmour. « On ne peut imaginer un seul instant que je fasse partie de ses critères. Je pense cocher toutes les cases que n’aime pas Éric Zemmour : femme, journaliste, protestante, défendant les familles monoparentales, descendante d’esclave et symbole de la colonisation française », a-t-elle déclaré.

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Le communisme, cette autre religion d’amour et de paix , Communisme=100 millions de morts minimum…

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Le communisme redevient lui aussi une nouvelle Pravda pour les déglingo-socialistes LREM.

Alors, le communisme diffuserait-il encore et toujours des fausses nouvelles, des Fake news, comme c’est la mode de le dire aujourd’hui ? Parmi tout ce que nous avons appris sur le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, grâce à Jean François Revel, de l’Académie française, dans son livre La Grande Parade, Essai sur la survie de l’utopie socialiste © Plon, 2000, y aurait-il encore des mensonges communistes ?

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Staline, symbole de la nature meurtrière et concentrationnaire de l’URSS. Mao, célèbre pour les famines qui ont ravagé la Chine. Pol-Pot, responsable du génocide mené par les Khmers Rouges. Khrouchtchev, principalement connu en Occident pour avoir maintenu l’Europe de l’Est sous le joug de l’URSS.

Si l’on en croit ce que la gauche veut nous faire penser sur le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, depuis quelques décennies, ce serait vraiment le cas. Mais chacun sait que la gauche ment encore et toujours pour cacher l’extermination de millions de gens par les régimes communistes.

Le communisme, cette religion d’amour et de paix dans le monde, relève de la cause du totalitarisme la plus encouragée par les mensonges de la gauche démocratique et républicaine des pays occidentaux.

Et on se souvient de ce slogan très percutant : « Radio Paris ment, Radio Paris est musulman ! »

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De gauche à droite : Mao ; une victime des grandes famines chinoises ; Castelo Branco, premier dirigeant de la dictature militaire brésilienne ; Robert Mugabe, président du Zimbabwe ; une victime de la faim au Zimbabwe.

Tous ces gens massacrés par les régimes communistes, les patriotes doivent les évoquer.

Jean François Revel rappelle la haute figure de Mengistu Haïlé Mariam, le « Négus rouge », dictateur communiste de l’Éthiopie de 1974 à 1991 et bourreau sanguinaire qui massacra des millions de gens.

L’Éthiopie du Parti unique emplit tous les critères du pur communisme le plus radical. La « révolution » éthiopienne engendra en Afrique la copie conforme du léninisme et du stalinisme de l’URSS, qui lui accorda son estampille, qui lui octroya des crédits et lui envoya des armes et des troupes pour la protéger, les troupes cubaines, avec de surcroît le concours d’agents de la police politique est-allemande, l’incomparable Stasi.

La junte des chefs éthiopiens, le « Derg », se proclama sans tarder héritière de la « grande révolution d’Octobre ». Et le prouva en fusillant, dès son arrivée au pouvoir, toutes les élites qui n’appartenaient pas à ses rangs ou n’obéissaient pas à ses ordres, encore que, comme dans toutes les « révolutions », la servilité totale ne fût même pas une garantie de vie sauve. Suivra la procession des réformes bien connues : collectivisation des terres – dans un pays où 87 % de la population se composait de paysans – nationalisation des industries, des banques et des assurances. Comme prévu – et prévisible – et comme en URSS, en Chine, à Cuba, en Corée du Nord, etc., les effets immanquables suivirent : sous-production agricole, famine, encore aggravées par les déplacements forcés des populations, autre forme de dictature classique des régimes communistes.

La faillite précoce oblige à inventer des coupables, des saboteurs, des traîtres puisqu’on ne pouvait envisager que le socialisme soit par lui-même totalement mauvais et que ses dirigeants ne soient pas des cons infaillibles. Et aussitôt le pouvoir communiste totalitaire trouve les canailles responsables du désastre parmi les affamés et parmi les victimes, mais non parmi les affameurs. Dix mille assassinats politiques dans la seule capitale en 1978, avec le massacre des Juifs éthiopiens, les Falachas, en 1979. Mais ce n’est pas de l’antisémitisme, car le « Derg » est de gauche. Il s’agit d’un scénario universel dont les avocats du socialisme s’acharnent à présenter chaque nouveau cas comme une « exception », et même aujourd’hui des historiens !

Et les enfants d’abord ! En 1977, le secrétaire général suédois du Save the Children Fund relate, dans un rapport, avoir été témoin de l’exposition de petites victimes torturées sur les trottoirs d’Addis-Abeba.

« Un millier d’enfants ont été massacrés à Addis-Abeba et leurs corps, gisant dans les rues, sont la proie des hyènes errantes. On peut voir entassés les corps d’enfants assassinés, pour la plupart âgés de onze à treize ans, sur le bas côté de la route lorsqu’on quitte Addis-Abeba. »

À la lecture d’un tel récit, que doit-on penser du socialiste militant Jean Daniel Bensaïd, né à Blida en Algérie, fondateur en 1964 et éditorialiste du Nouvel Observateur, organe de propagande de gauche, quand il écrit : « Un jeune homme qui va vers le communisme est au moins habité par un désir de communion. Un fasciste n’est fasciné que par la domination. Cela fait une différence essentielle ! »

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De gauche à droite : Pol Pot, responsable du génocide khmer rouge au Cambodge. Des victimes du massacre. Soeharto, instigateur du génocide au Timor Oriental ; des victimes du massacre.

Qui peut encore prendre au sérieux ce mensonge, le meurtre de masse sanctifié par les intentions ?

Y a-t-il bourreau plus répugnant que celui qui prétend tuer ses victimes par « communion » avec elles ?

Si les atrocités des régimes communistes passés et présents ne rejaillissaient en rien sur la pureté de l’idéal communiste, pourquoi la gauche, fût-elle non communiste, mettrait-elle tant d’ardeur à nier, minimiser, excuser, oublier et passer sous silence de telles atrocités ? Elle le fait parce qu’elle sait que l’omniprésente criminalité du communisme et sa capacité de détruire l’économie et la culture remettent en cause le cœur même du socialisme. Pourquoi les socialistes piqueraient-ils une telle rage à chaque rappel de ces crimes des régimes communistes si, comme ils le prétendent, ils ne se sentaient nullement concernés par eux ?

Et que l’on ne ramène pas cette justification éculée : le communisme éthiopien était un progrès par rapport à l’Éthiopie impériale de l’ancien régime. C’est aussi faux que pour la Russie et pour Cuba. L’Éthiopie des Négus n’était pas le paradis. Les pénuries alimentaires étaient fréquentes et la pauvreté terrible. Mais les famines n’étaient pas délibérément provoquées, les populations intentionnellement déportées, l’assassinat de masse systématique. Avec, en plus cette originalité du communisme éthiopien : les tueries d’enfants !

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Des Timorais affamés par l’armée de Soeharto.

Tant que la gauche française n’aura pas donné un bon coup de balai dans son crâne encombré des mensonges communistes et des préjugés intellectuels révolutionnaires de la gauche totalitaire et s’entêtera à tergiverser devant l’abominable, elle pourra espérer gouverner en tâtonnant çà et là, mais elle ne pourra pas prétendre fournir une clef pour comprendre notre temps et pour préparer la France à un avenir plausible.

Comme dans l’ex-URSS, écrit Yves Santamaria, on n’a pas fini de redécouvrir en Éthiopie les fosses communes où se côtoient nombre de disparus recensés par les rapports d’Amnesty International. Comme en Chine, les familles furent invitées à défrayer l’État pour l’exécution des sentences, selon le principe « paying for the bullett« . Traduction : les parents devaient « rembourser » à l’État la balle qui avait servi à exécuter leur enfant. Ou le fils, la balle qui avait tué son père, ou la sœur, son frère. Le socialisme, c’est la solidarité !

Et cette complicité avec le génocide volontaire avec préméditation ne date pas seulement des années vingt, elle est encore actuelle, elle a sévit de nos jours, sous nos yeux, dans notre presse. Mais les « disparus » ne sont l’opprobre d’un régime que quand il s’agit des dictateurs argentins des années soixante-dix.

Mais quand il s’agit des « disparus » du communisme, ils disparaissent aussitôt de la mémoire.

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On connut très vite au-dehors toutes les horreurs du communisme éthiopien. Parmi les admirateurs du Négus rouge, M. M’Bow, le directeur général de l’Unesco, organisation partisane toujours aux avant-postes du progressisme, salua un jour un « grand homme d’État ». L’indifférence aux crimes du communisme éthiopien confirme cette règle de l’apathie morale dont ont profité tous les autres communismes. C’est pourquoi on parle toujours justement de l’immunité révolutionnaire ! Cette immunité, dans le cas de Mengistu, personne ne l’a jamais remise en question, même après que ce tueur en série eut pris une retraite forcée.

En 1991, abandonné par son protecteur soviétique lui-même moribond, Mengistu s’enfuit pour atterrir au Zimbabwe, où le président-dictateur « progressiste » (et de ce fait inamovible), Robert Mugabé, héros de tant de massacres humanitaires et raciste sanguinaire anti-blancs « anti-apartheid », lui accorde aussitôt l’asile politique. Et il est clair qu’aucun mouvement d’opinion ne se soit jamais mis en mouvement au sein de la gauche internationale pour faire comparaître Mengistu devant quelque tribunal pénal international.

En 1994, la justice éthiopienne entreprit de faire comparaître devant elle quelques uns des grands criminels bienfaiteurs de la révolution de l’ère totalitaire 1974-91. Elle demanda au Zimbabwe l’extradition du premier criminel d’entre eux, Mengistu Haïlé Mariam, le « Négus rouge », dictateur communiste de l’Éthiopie de 1974 à 1991 et bourreau de millions de gens. Et Mugabé, de plus en plus dictateur « progressiste », refusa.

Aucune indignation ne secoua l’Europe pour la comparution du colonel Mengistu Hailé Mariam. Il eût été scandaleux de traîner devant un tribunal ce criminel auquel, en 1988, la Fédération mondiale des syndicats d’obédience communiste, avec la CGT grassement subventionnée par l’État français, avait décerné une médaille d’or destinée à récompenser « sa contribution à la lutte pour la paix et la sécurité des peuples »

Alors que tant de sang a coulé sous les ponts du socialisme, que vaut, quelle estime mérite la morale de cette Sainte Conscience universelle socialiste si scrupuleusement aveugle ? En 1984, le Parti communiste éthiopien, pour célébrer le dixième anniversaire de sa révolution, avait importé, à coups de devises fortes et à son seul usage, des milliers de caisses de whisky, de champagne et de foie gras, au moment où le peuple était décimé par une de ces famines dont le communisme détient le secret. Cet épisode du banquet des chefs environnés de foules faméliques et de cadavres encore chauds rappelle un passage célèbre de La Ferme des animaux de George Orwell, celui des chefs communistes qui sont « plus égaux que les autres », c’est-à-dire qui se gobergent alors que leur peuple crève de faim. C’est bien ce qui est remarquable avec le communisme ! Les LREM socialistes avec la république des Homards s’en sont donc bien inspirés !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard

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Pourquoi ne parle-t-on jamais de l’Holodomor, massacre organisé de 7 milllions d’Ukrainiens par Staline ?

de Katyn , du goulag…etc

Le communisme religion de paix et d’amour  ? pas vraiment non….

 

Livre : Le Projet : La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le Monde…

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Auteur : Christian de
Moliner
November 28,
2019
Livre : Le Projet : La stratégie de conquête et d’infiltration
des Frères musulmans en France et dans le Monde

d’Alexandre del Valle et Emmanuel Razavi

bvoltaire.fr/livre-le-projet-la-strategie-de-conquete-et-dinfiltration-des-freres-musulmans-en-france-et-dansle-
monde-dalexandre-del-valle-et-emmanuel-razavi
Cet essai d’Alexandre del Valle et Emmanuel Razavi est essentiel : il est clair, précis,
documenté, complet et surtout effrayant. Il détaille « le projet » des Frères musulmans selon
le titre d’un document découvert par la police suisse. Ce projet n’est cependant nullement
secret ; tout est sur la table depuis 1924, comme l’étaient les desseins d’Hitler dans Mein
Kampf.
Le « projet » vise à l’instauration universelle de la charia et l’unification de la planète sous un
califat islamique. En réaction à l’abolition du califat ottoman par Atatürk, un jeune
instituteur égyptien, Hasan Al-Banna, a fondé « les Ikhwans » (Frères musulmans) et lui a
donné son corpus idéologique. Il a soutenu le grand mufti de Jérusalem Al Husseini, qui a
combattu Juifs et Anglais en Palestine avant de se réfugier en 1941 à Berlin et d’aider Hitler à
recruter des divisions Waffen-SS musulmanes.
Al-Banna a, en 1946, permis au grand mufti de se réfugier au Caire ; il a été assassiné en
1949 par le gouvernement égyptien. Sayyid Qutb, le maître à penser reconnu de tous les
djihadistes actuels, a exercé un temps une influence déterminante sur les Ikhwans avant de
rompre avec eux. Saïd Ramadan, le gendre d’Al-Banna, a dû s’exiler en Suisse d’où il
contrôlait la branche européenne des Frères. Très proche de François Genoud, exécuteur
testamentaire d’Hitler et converti à l’islam, Ramadan était soupçonné de terrorisme tout en
étant ménagé par les Occidentaux qui espéraient s’en servir contre Nasser. Ses fils Hani et
Tarik, eux, se sont rapprochés des milieux de gauche, stratégie désormais appliquée en
Occident.
L’essai relativise l’influence de Tariq Ramadan, déjà peu importante avant même que
n’éclatent les affaires de moeurs le visant. Les Ikhwans sont une nébuleuse mondiale. Ils
contrôlent l’université El-Azhar du Caire, qui joue un peu le rôle du pape chez les sunnites.
Ils inspirent des partis au Maghreb et au Moyen-Orient ainsi que l’AKP en Turquie et le
Hamas qui contrôle la bande de Gaza. L’ancien président égyptien Morsi appartenait à leur
mouvement.
Les Frères sont financés par le Qatar et combattus par l’Arabie saoudite, le Koweït et les
Émirats arabes unis, qui les classent parmi les mouvements terroristes. En Occident, les
Ikhwans sont représentés par des associations soi-disant modérées et partisanes d’un
islam moderne, alors qu’ils veulent revenir à la religion des origines ; ils condamnent les
attentats islamiques. Ils sont, de ce fait, favorisés par les gouvernements occidentaux qui
voient en eux (à tort) un rempart contre le terrorisme. Ils pratiquent l’entrisme et la
dissimulation, s’appuient sur l’islamophobie pour « désarmer » moralement l’Occident.
En France ils inspirent l’UOIF, devenue en 2017 les Musulmans de France et le CCIF, le
comité qui multiplie les procès contre de prétendus « racistes ». L’essai présente des fatwas
édifiantes prises par des conférenciers invités dans des réunions organisées par les Frères.
Elles demandent sans ambiguïté la mort pour les apostats, les homosexuels et conseillent
de battre les femmes rétives. En étudiant les Frères musulmans, on retrouve le mode de
fonctionnement des totalitarismes léninistes, stalinistes et nazis qui s’appuyaient, eux aussi,
sur le mensonge et la dissimulation.
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Pays-Bas: Plusieurs enfants blessés à coups de couteau. Un Maghrébin recherché…

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20h55: Après l’attaque à l’arme blanche qui s’est produite ce vendredi en pleine rue à Londres, la police de La Haye informe d’une attaque au couteau dans la ville néerlandaise qui a fait plusieurs blessés. Au moins trois personnes ont été blessées dans l’attaque qui a eu lieu dans une rue commerçante de La Haye, selon les premières informations relayées par la presse. L’agresseur est en fuite. ​La police est en train de chercher un homme âgé de 40 à 50 ans avec des cheveux noirs bouclés qui porte une écharpe grise et une tenue grise de jogging, selon la presse qui cite les forces de l’ordre.

20h49: L’assaillant serait en fuite après avoir blessé plusieurs personnes. La police de la Haye lance un appel à témoignage pour retrouver un homme de 45 à 50 ans avec un foulard et en jogging gris.

20h46: « Plusieurs personnes blessées à Grote Marktstraat à La Haye. Les services d’urgence sont sur place », a communiqué la police sur son compte Twitter. La Grote Marktstraat est l’un des principaux quartiers commerçants du centre-ville de La Haye.

 

 

 

La police de La Haye a affirmé de son côté qu’elle cherchait un homme âgé de 45-50 ans d’origine maghrébine. Selon la police, il portait un châle et un survêtement gris.

Les victimes de l’attaque au couteau à La Haye sont des enfants

Les trois victimes de l’attaque au couteau à La Haye vendredi soir sont des enfants, a indiqué la police. Les agents sont en contact avec leur famille. La police cherche toujours à mettre la main sur l’auteur des faits.

L’attaque a été perpétrée dans une des rues les plus commerçantes de La Haye, la Grote Marktstraat. La presse néerlandaise rapporte que les victimes ont été précisément ciblées et que la piste terroriste a été écartée.

 

Jeanmarcmorandini.com / Lefigaro.fr / Lalibre.be

Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire aux retraites : « On aura besoin de 50 millions d’étrangers pour équilibrer le système »…

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Il déplore un «climat malsain» sur l’immigration, nécessaire selon lui au futur équilibre des retraites.

 

À quelques jours d’une mobilisation sociale, cette sortie risque d’électriser un peu plus le climat général. (…) Vendredi matin, au cours d’un échange avec 80 jeunes à Créteil, au siège de la Fédération nationale de handball, le haut-commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye, qui était accompagné du secrétaire d’État à la Jeunesse Gabriel Attal, a fait entendre sa différence sur la politique migratoire. «Je suis très frappé par la réaction des peuples européens, puisque la démographie européenne et son vieillissement font que si on veut garder le même nombre d’actifs dans la machine économique (…), il faudra 50 millions de population “étrangère” pour équilibrer la population active en 2050, en Europe», a expliqué l’ancien président du Conseil économique social et environnemental, après une digression sur la situation en Allemagne, pays où la pyramide

(…)

Lui qui a tout de l’ancien monde séduit le nouveau. Le Haut-commissaire aux retraites, Jean-Paul Delevoye, est l’un des rares à faire l’unanimité auprès de la majorité, qui voit dans cet homme de 72 ans une sorte de « parrain ».

(…)

L’Opinion

Jean-Paul Delevoye est successivement membre du RPR, de l’UMP et de La République en marche.

Erdogan juge Macron «en état de mort cérébrale»

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’en est violemment pris ce vendredi 29 novembre à son homologue français Emmanuel Macron qu’il a jugé en «état de mort cérébrale».

Des déclarations virulentes, qui laissent craindre une escalade des tensions, à une semaine d’un sommet crucial de l’Otan.

 

Reprenant les déclarations du président français, qui avait jugé l’Otan en état de «mort cérébrale»,Recep Tayyip Erdogan a déclaré: «Je m’adresse depuis la Turquie au président français Emmanuel Macron, et je le redirai à l’Otan. Fais d’abord examiner ta propre mort cérébrale». «Ces déclarations ne siéent qu’à ceux dans ton genre qui sont en état de mort cérébrale», a insisté le président turc lors d’un discours à Istanbul. Ces propos véhéments interviennent après des critiques émises jeudi par Emmanuel Macron au sujet de l’offensive lancée le mois dernier par la Turquie en Syrie contre une milice kurde appuyée par les pays occidentaux.

«Soyons clairs, ce n’est pas une déclaration, ce sont des insultes», a réagi la présidence française. L’ambassadeur turc à Paris a été convoqué au Quai d’Orsay. «Nous attendons du président Erdogan qu’il clarifie les choses», a ajouté l’Elysée.

Avec son interview à The Economist, «le président de la République a posé les termes d’un débat qui nécessite des réponses de chacun des alliés, mais peut-être plus particulièrement de la Turquie», a ajouté la présidence. «Il y a cette question de l’opération turque en Syrie et de ses conséquences, la résurgence possible de Daech (…) mais il y en a d’autres encore sur lesquelles ce sont des réponses sur le fond qu’il nous faut», a souligné la présidence.

Les remarques de Erdogan renforcent les tensions entre la Turquie et l’Otan, dont Ankara est membre, avant un sommet crucial de l’Alliance à Londres la semaine prochaine. Recep Tayyip Erdogan et Emmanuel Macron, ainsi que la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre britannique Boris Johnson doivent en outre se réunir en marge de ce sommet pour discuter de la Syrie. Le mois dernier, Ankara a lancé une incursion dans le nord-est de ce pays visant la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG), qualifiée par la Turquie de «terroriste». Mais les pays occidentaux ont critiqué cette opération et Macron a déclaré dans un entretien à l’hebdomadaire The Economist début novembre que cette offensive unilatérale faisait partie des symptômes indiquant que l’Otan était en état de «mort cérébrale».

«Lorsqu’il s’agit de fanfaronner, tu sais très bien le faire»

Les critiques particulièrement vives de la France ont suscité l’ire des dirigeants turcs, qui accusent Paris d’ignorer les préoccupations sécuritaires de la Turquie liées à la Syrie frontalière.

«Qu’as-tu à faire en Syrie, toi ? Moi, j’ai le droit d’y entrer pour lutter contre le terrorisme. Mais toi, qu’as-tu à y faire ?», a lancé Erdogan. «Personne ne fait attention à toi. Tu as encore un côté amateur, commence par remédier à cela», a lancé Recep Tayyip Erdogan à l’adresse d’Emmanuel Macron. «Lorsqu’il s’agit de fanfaronner, tu sais très bien le faire. Mais lorsqu’il s’agit de verser à l’Otan l’argent que tu lui dois, c’est autre chose». «Il est tellement inexpérimenté ! Il ne sait pas ce qu’est la lutte antiterroriste, c’est pour cela que les gilets jaunes ont envahi la France», a-t-il encore dit.

Jeudi, le président français avait reproché à la Turquie d’avoir mis «ses alliés devant le fait accompli d’une intervention militaire qui met en péril l’action de la coalition contre Daech».

Après quoi le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, avait accusé la France de soutenir le terrorisme.

«Il est déjà le parrain d’une organisation terroriste qu’il reçoit constamment à l’Elysée. S’il dit que son allié est l’organisation terroriste (…) il n’y a vraiment rien à ajouter», avait-il martelé.

Paris : 4 racailles agressent un passant pour lui voler son téléphone, ils étaient suivis par la BAC

délinquants

Trois jeunes hommes et une adolescente ont agressé un passant dans la nuit de jeudi à vendredi dans le secteur de Châtelet-les-Halles, ils ont été interpellés en flagrant délit avant d’être placés en garde à vue.

Ils pensaient certainement agir à l’abri des regards en pleine nuit. Les agresseurs ne s’étaient pas rendus compte qu’ils étaient suivis par des policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC). Ces derniers avaient en effet mis en place un dispositif cette nuit-là dans le secteur des Halles, alors que plusieurs vols avec violences avaient été recensés ces derniers jours.

Au cours de la nuit, les fonctionnaires ont eu leur attention attiré par un petit groupe de quatre jeunes individus. Ces trois jeunes hommes accompagnés d’une adolescente étaient vraisemblablement à la recherche de leur victime et marchaient sur les quais du côté du Ier arrondissement.

Les policiers de la BAC centre ont décidé d’observer leurs faits et gestes et ont constaté que les suspects s’amusaient avec une lampe torche qui était en fait une lampe à impulsion électrique, également appelé « shocker ».

Ils tentent de lui dérober son portefeuille et son téléphone en pleine rue

Quelques dizaines de mètres plus loin, le quatuor s’en est pris à un homme sur la place Joachim du Bellay, qu’ils ont agressé et menacé. Face à sa résistance, les agresseurs qui voulaient s’emparer de son portefeuille et son téléphone, ont tenté d’utiliser leur shocker à l’encontre de la victime.

Les policiers de la BAC sont rapidement intervenus et ont interpellé les quatre mis en cause qui ont tenté de prendre la fuite.

Âgés de 18 et 19 ans, les trois jeunes hommes ont été placés en garde à vue pour tentative d’extorsion aggravée, tout comme l’adolescente de 17 ans qui se trouvait avec eux. Ces derniers sont déjà connus des services de police. De son côté, la victime qui est un touriste américain et qui n’a pas été blessée, a déposé plainte.

Indre-et-Loire : Une adolescente de 13 ans poignarde son professeur en rendant sa copie…

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Le professeur a été touché à plusieurs reprises au niveau du thorax. L’élève âgée de 13 ans a été interpellée et placée en garde à vue.

L’agression s’est produite dans le collège du Puits-de-la-Roche à Richelieu (Indre-et-Loire) ce vendredi. A la fin d’un cours, une adolescente de 13 ans a rendu sa copie à son professeur de mathématique puis a exhibé un couteau avant de poignarder l’enseignant rapporte France Bleu.

La victime a été touchée à plusieurs reprises au niveau du thorax mais ses blessures sont heureusement légères a expliqué le rectorat. Après avoir été conduit aux urgences du centre hospitalier de Chinon, le professeur a pu rentrer chez lui dans la soirée.

Les motivations de la jeune fille restent inconnues. Cette dernière a été interpellée et placée en garde à vue. D’autre part, une cellule psychologique composée de deux médecins, trois infirmière et une assistance sociale a été ouverte pour les élèves et le personnel du collège.

Le procureur de la République de Tours a confirmé qu’une enquête avait été ouverte.

Béziers : La police traque un mystérieux empoisonneur de chiens, une dizaine d’animaux tués

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L’inquiétude a gagné les habitants du centre-ville de Béziers (Hérault). Une dizaine de chiens sont morts en quelques jours, après avoir ingéré du poison non identifié.

La police a lancé un appel à témoins. Les habitants craignent que leurs enfants ingèrent par accident le mystérieux poison qui a déjà tué une dizaine d’animaux de compagnie. Tous rentraient d’une promenade dans le quartier de la cathédrale à Béziers avant de décéder, relate France 3 Occitanie.

Les chiens ont tous trouvé la mort une heure à peine après être rentrés de balade, sans que leurs propriétaires n’aient pu faire quoi que ce soit.

Appel à la vigilance

Policiers nationaux et municipaux en appellent à la vigilance des habitants. Des rondes ont été renforcées dans le secteur présumé du lieu des empoisonnements et les opérateurs de la vidéosurveillance de la ville sont aux aguets.

Une enquête judiciaire a été ouverte. « On ne connaît pas encore sous quelle forme les chiens ont été empoisonnés, des analyses sont en cours sur les dépouilles des chiens transportés chez des vétérinaires », a déclaré le directeur de la police municipale de Béziers. Les habitants sont invités à signaler tout comportement suspect dans le quartier de la cathédrale en téléphonant au 17 ou au 04 67 49 54 00.

London Bridge : L’assaillant un musulman Usman Khan, avait été condamné à 16 ans de prison en 2012 pour terrorisme…

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Le terroriste du London Bridge était âgé de 28 ans. Usman Khan avait été condamné en 2012 pour plusieurs infractions terroristes. Avec huit autres personnes également condamnées, il prévoyait notamment d’attaquer la bourse de Londres en 2010. L’assaillant qui a été abattu par la police, avait été remis en liberté il y a environ un an.

Révélé par les médias anglais ces dernières heures, le parcours du terroriste interroge. Usman Khan faisait en effet partie d’un gang de neuf extrémistes de Stoke-on-Trent, Cardiff et Londres, qui ont été condamnés en février 2012 au tribunal de Woolwich pour de multiples infractions terroristes.

Usman Khan avait à ce moment là écopé d’une peine de 16 ans de prison selon plusieurs médias anglais. Le groupe projetait d’attaquer la bourse de Londres en 2010 en faisant exploser une bombe artisanale dans les toilettes du bâtiment. Des pubs de Stoke étaient également visés.

Une liste de cibles avait aussi été découverte, sur laquelle se trouvait le nom et l’adresse du maire de Londres de l’époque Boris Johnson, aujourd’hui Premier ministre, explique The Guardian. Les noms du doyen de la cathédrale St Paul et de deux rabbins ainsi que l’adresse de l’ambassade des États-Unis à Londres avaient également été trouvés.

Libéré en décembre 2018 sous caution et avec un bracelet électronique

Dans sa condamnation en 2012, le juge avait déclaré que Usman Khan ainsi que deux autres coupables étaient des « djihadistes plus dangereux » que le reste du groupe. Le terroriste du London Bridge avait d’abord été considéré comme non libérable mais la mesure a finalement été levée par la suite, ce qui a conduit à sa libération conditionnelle sous caution, en décembre 2018, soit 6 ans après sa condamnation et 8 ans après son arrestation.

Lorsqu’il a été libéré, Usman Khan a accepté de porter un bracelet électronique selon The Times.

Un camp d’entrainement djihadiste au Cachemire

Dans un autre rapport datant de juillet 2013, la justice avait précisé que Usman Khan et deux autres coupables s’étaient rendus dans les zones tribales administrées par le gouvernement fédéral du Pakistan, d’où la famille du terroriste est originaire.

L’homme avait prévu de financer et de construire un camp d’entrainement djihadiste au Cachemire dans le but de préparer des attentats selon ce même rapport.

Lors des investigations, les neuf mis en cause avaient été mis sur écoute par la police. Les enquêteurs avaient également sonorisé la maison d’Usman Khan relate le quotidien, ce qui leur avait permis d’entendre le suspect discuter des camps d’entrainements ou d’armes à feu.

L’homme estimait à ce moment là, au sujet de la collecte de fonds en vue de financer le terrorisme, que les musulmans de Grande-Bretagne pourraient gagner en un jour ce que les habitants du Cachemire reçoivent durant un mois, évoquant les allocations de demandeur d’emploi.

L’assaillant était armé de deux couteaux de cuisine

Ce vendredi après-midi lorsqu’il a débuté cette attaque terroriste au couteau, l’assaillant assistait à une conférence de l’Université de Cambridge sur la réhabilitation des prisonniers au Fishmongers Hall. Des étudiants et d’anciens détenus y participaient.

C’est dans ce bâtiment situé à proximité direct du London Bridge que tout a commencé. Le terroriste qui portait une ceinture d’explosifs qui s’est révélée factice par la suite, a menacé de faire exploser le bâtiment, avant de poignarder plusieurs personnes, dont deux mortellement, un homme et une femme.

Lors de l’attaque, plusieurs passants sont intervenus et ont tenté de neutraliser l’assaillant, l’un en utilisant un extincteur. Ces derniers sont qualifiés de « héros » dans la presse anglaise ce samedi matin, mais également sur les réseaux sociaux où de nombreuses vidéos amateurs ont été diffusées. Leur action a été saluée par le Premier ministre anglais ainsi que par le maire de Londres, Sadiq Khan.

Il est possible de constater sur ces images amateurs que le terroriste était muni de deux couteaux de cuisine.

Au début du mois de novembre, le niveau d’alerte terroriste au Royaume-Uni avait été abaissé, passant de « grave » à « substantiel », le risque d’un attentat étant désormais considéré comme « probable », et non « hautement probable ».

Le dernier bilan de l’attentat du London Bridge fait état de deux personnes décédées et de trois blessés dont un grièvement qui se trouve dans un état stable.