Italie : « Fier d’avoir défendu l’Italie » : Salvini contre-attaque après la levée de son immunité par le Sénat

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Les sénateurs ont voté ce 30 juillet (149 voix pour, 141 contre) en faveur de la levée de l’immunité du chef de la Ligue Matteo Salvini dans l’affaire Open Arms. Une décision qui ouvre la possibilité d’un renvoi devant la justice de l’ancien ministre de l’Intérieur.

«Je suis fier d’avoir défendu l’Italie, je l’ai fait et je le referai», a réagi à chaud l’ancien homme fort du gouvernement italien sur Twitter. «Je m’en tiens strictement à l’article 52 de la Constitution (« la défense de la Patrie est un devoir sacré du citoyen »)», a-t-il encore ajouté, précisant ainsi sa ligne de défense.

Il #Senato ha votato per mandarmi a processo.
Contro di me festeggiano i Palamara, i vigliacchi, gli scafisti e chi ha preferito la poltrona alla dignità. Sono orgoglioso di aver difeso l’Italia: lo rifarei e lo rifarò, anche perché solo in questo luglio gli sbarchi sono…

— Matteo Salvini (@matteosalvinimi) July 30, 2020

Matteo Salvini est accusé par le tribunal de Palerme de séquestration de personnes pour avoir refusé en août 2019, en sa qualité de ministre de l’Intérieur, d’autoriser le débarquement de plus de 80 migrants du navire humanitaire Open Arms, bloqué au large de la Sicile.

Salvini risque 15 ans de prison et jusqu’à huit ans d’inéligibilité

La décision du Sénat ne constitue pas vraiment une surprise : en février dernier les sénateurs avaient en effet donné leur feu vert pour le jugement de l’ancien ministre pour «séquestration» de migrants en mer dans l’affaire Gregoretti, une affaire similaire. Dans cette procédure, il lui est reproché d’avoir bloqué en juillet 2019 durant plusieurs jours 116 migrants recueillis à bord du Gregoretti, un navire des gardes-côtes. «Calme et la tête haute, amoureux de l’Italie : je revendiquerai mon travail de ministre car défendre le pays n’était pas mon droit mais mon devoir», avait réagi Matteo Salvini lors de l’annonce du Sénat.

L’ancien ministre de l’Intérieur risque 15 ans de prison et six à huit ans d’inéligibilité dans cette affaire. Pourtant, comme dans l’affaire Open Arms, une condamnation définitive pourrait prendre des années en raison des possibles recours.

 

Extrait de: Source et auteur

La Syrie va construire une réplique de Sainte-Sophie avec l’aide de la Russie

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Le Président syrien Bachar Al-Assad a annoncé hier qu’il allait construire une réplique de Sainte-Sophie, montrant ainsi sa ferme opposition à la dernière décision de la Turquie de convertir la cathédrale grecque orthodoxe en mosquée. La Russie s’engage à aider la Syrie dans la construction de la réplique de l’église.

Le Président syrien Bachar al-Assad a réitéré que, contrairement à la Turquie islamiste, la Syrie laïque souhaite un dialogue interconfessionnel pacifique et positif. Le pays abrite une importante population chrétienne, qui représentait bien plus de 10% de la population syrienne dans les années d’avant-guerre, même si ce nombre est très probablement beaucoup plus faible aujourd’hui, car de nombreux Chrétiens ont fui le pays, en particulier des zones sous occupation turque et américaine.

La Turquie, en revanche, est tristement célèbre pour avoir commis au moins trois génocides à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Les génocides arménien, grec (notamment le génocide grec pontique) et assyrien n’ont pas été moins cruels que l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale, et beaucoup pensent qu’ils auraient servi d’inspiration à la politique génocidaire de l’Allemagne nazie.

Des siècles avant ces atrocités, la Turquie commettait des crimes hideux contre la population chrétienne native d’Asie Mineure et des Balkans, convertissant par la force, assassinant, pillant et réduisant en esclavage des millions de personnes tout en détruisant et en convertissant le magnifique héritage chrétien byzantin dans toute la région.

La Syrie est fortement ébranlée par l’agression militaire de la Turquie sur son territoire. L’invasion du nord de la Syrie par la Turquie a détruit de nombreuses communautés multiethniques et multireligieuses dans le nord de la Syrie, qui ont déjà beaucoup souffert en raison des années passées sous l’État Islamique et de l’occupation terroriste islamique pro-turque.

La Russie s’est également prononcée ouvertement contre la conversion de Sainte-Sophie par la Turquie et soutient également le Président Assad et le gouvernement syrien légitime. Cette annonce est l’occasion de montrer au monde que la société laïque, multiethnique et multireligieuse de la Syrie n’a pas d’alternative, et surtout pas sous la forme de groupes terroristes islamiques turcs ou autres soutenus par l’OTAN qui occupent encore des parties du pays.

source : https://fort-russ.com

Post-confinement covid 19 : les arnaques fleurissent sur Internet !

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Depuis le déconfinement, de nombreuses arnaques sont apparues sur Internet. Vente de billets pour des évènements déjà annulés, abonnements cachés, sites de jeux véreux, il y a de quoi s’y perdre. Dans la suite de cet article, nous allons vous présenter les nouvelles arnaques en ligne que vous devez éviter absolument.

La revente en ligne de billets de festivals annulés

La dernière arnaque sortie sur Internet est un véritable piège pour beaucoup d’internautes. En effet, certains sites revendent des billets pour des festivals qui ont été annulés à cause de la crise liée au Coronavirus.

Ces offres d’achat sont souvent diffusées sur les réseaux sociaux et il est facile de tomber dans le panneau car les informations sur les festivals annulés ou reportés sont assez floues à cause de l’épidémie.

Ces faux vendeurs vous proposent des billets à bas prix et ils vous demandent évidemment vos coordonnées bancaires pour procéder au paiement. Évidemment, ces arnaqueurs recevront votre virement mais vous n’aurez jamais vos billets.

Les faux sites de jeux d’argent

Par la suite, vous devez savoir qu’une étude récente vient de montrer qu’il est de plus en plus difficile de trouver des sites de jeux d’argent en ligne fiables et sécurisés. Retards de paiement, sites véreux, arnaques, bugs, services à la clientèles inexistants, le monde du gaming semble ne plus être aussi fiable qu’avant.

Pour les joueurs, l’unique solution c’est de faire confiance uniquement à des sites connus et reconnus et cela surtout pour le casino en ligne. Il est donc important de vous renseigner sur la fiabilité du casino virtuel que vous allez choisir avant de commencer à miser votre argent. Il faut savoir que tous les sites de jeux d’argent en ligne agréés disposent d’un logiciel conçu par un développeur reconnu.

Les abonnements cachés

Pour finir, de nombreuses arnaques dissimulent des abonnements cachés derrière des bons plans en ligne. La Répression des fraudes a d’ailleurs lancé un message d’alerte sur ces offres qui vous proposent des produits à des prix ridiculement bas. Ces arnaques cachent une souscription forcée à un abonnement mensuel payant.

Par exemple, certaines annonces présentent un iPhone 11 Pro Max à 9,90 euros alors que son prix dépasse normalement les 1000 euros. Mê;me si cela peut paraître attractif, il s’agit évidemment d’un piège qui vous fera perdre de l’argent.

Au Maroc, des milliers de baigneurs défient le Covid-19 – photos

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Par Manal Zainabi

Au Maroc,1.046 cas de contamination au Covid-19 ont été enregistrés jeudi 30 juillet, en l’espace de 24h seulement. Un record. Pourtant, les plages du royaume, notamment celles de la côte casablancaise continuent, elles aussi, de battre des records de fréquentation. Les mesures sanitaires y sont rarement respectées. Reportage.

La pandémie du nouveau coronavirus n’est pas terminée au Maroc. C’est le message que ne cessent de ressasser les autorités marocaines, en menaçant de reconfiner les agglomérations où des foyers de contamination sont détectés. Ni ces menaces, ni le reconfinement de Tanger et encore moins la récente interdiction des déplacements de et vers huit villes marocaines ne découragent des milliers de baigneurs. Ceux-ci continuent à affluer en masse vers les plages en ces temps de grande chaleur. Le nombre de ces nageurs explose surtout les week-ends.

Dimanche 26 juillet à midi, le mercure affichait plus de 28 degrés Celsius dans le poumon économique du royaume. Le long des plages du quartier industriel d’Ain Sebaa, comme le long de la corniche d’Ain Diab ou un peu plus loin à Tamaris, sous une marée de parasols, c’est serviette contre serviette, transat contre transat et visages à l’air libre que les baigneurs bronzent… Tous semblent avoir tourné la page du Covid-19 depuis le 25 juin, quand les plages ont été rouvertes au public en vertu de la phase 2 du déconfinement.

Le soleil fait oublier le Covid-19

Pourtant, au niveau des entrées principales de chaque plage, de grandes pancartes sont plantées, bien en vue, pour leur rappeler les règles de distanciation physique. Il y est indiqué, illustrations à l’appui, qu’il faut porter un masque et respecter un mètre de distance entre deux personnes et six mètres entre deux groupes. Sauf qu’en se rapprochant du grand bleu, rares sont les têtes qui se lèvent pour lire les consignes «anti-Covid».

Manal Zainabi
Des vues des plages de Ain Sebaa, Ain Diab et Tamaris à Casablanca

Badr fait partie de cette majorité qui ne veut rien savoir. Allongé sur sa serviette de bain sur le sable brûlant de la plage Nahla, près d’Ain Sebaa, il dit ne pas être préoccupé par le virus. Cet élève ingénieur casablancais est venu avec une dizaine d’amis profiter du beau temps pour se rafraîchir.

«Si on le pouvait, on resterait sur la plage jusqu’à la tombée de la nuit. C’est dire à quel point ce plaisir nous a manqués pendant les mois de confinement total» du 20 mars au 11 juin 2020, confie-t-il à Sputnik.

Badr et ses amis doivent quitter les lieux dans trois heures. C’est le règlement établi depuis le déconfinement partiel, décrété notamment à Casablanca, où l’accès à la plage n’est autorisé que de 8h à 18h.

Les mesures sanitaires noyées dans la foule

Comme la plupart des baigneurs, personne dans le groupe des jeunes amis ne porte de masque ni ne respecte les six mètres rappelés sur les pancartes. «Il fait beaucoup trop chaud, si on met nos masques on va étouffer», se défausse Badr.

«Si personne ne respecte la distanciation, c’est parce qu’il y a trop de monde, on n’y peut rien. C’est l’été et on doit en profiter […] Il ne faut pas vivre dans l’angoisse et la peur à cause de ce maudit virus, la vie doit continuer», poursuit le jeune homme avant d’aller piquer une tête.

C’est cet état d’esprit qui semble régner le long de la côte casablancaise. Une quinzaine de kilomètres plus loin de la plage Nahla, au niveau de celle de Ain Diab, la foule est encore plus dense. Chaque été, cette plage bat tous les records d’affluence et cette année ne fait pas exception. Malgré le Covid-19, elle est noire de monde, même plus que d’habitude.

Au milieu de la cohue, lunettes sur le nez et chapeau de paille sur la tête, Aya, la vingtaine, profite du soleil sans masque. «C’est un vrai plaisir de retrouver le soleil, la planche de surf, la liberté. Je n’ai jamais vu autant de monde ici, on a l’impression que le corona n’est plus qu’un lointain souvenir», lance-t-elle à Sputnik avec un grand sourire.

Avec ses deux cousines, la jeune surfeuse est venue échapper à la canicule, et pas seulement.

«J’avais hâte de retrouver enfin la planche de surf et heureusement que le Covid ne survit pas, semble-t-il, dans l’eau de mer», ironise Aya.

Elle n’est pas la seule à faire allusion aux conclusions de certaines études scientifiques, comme celles menées par l’Institut spécialiste des recherches marines en France (IFREMER) ou encore par le Haut Conseil français de la santé publique (HCSP), évoquant des risques faibles de contamination dans l’eau de mer.

L’eau de mer, geste barrière suprême?

Sauf que même ces études insistent sur le strict respect des gestes barrières sur le sable. Une mesure primordiale que Badr, Aya et leurs amis semblent avoir oubliée, à l’heure où les contaminations au Covid-19 repartent à la hausse dans le royaume. Avec Tanger qui compte 22,86 % des cas, Casablanca est l’une des villes les plus touchées, totalisant 25,77 % jeudi 30 juillet. Journée qui a connu 1.046 nouveaux cas positifs au Maroc, dont 265 nouveaux cas dans la seule région de Casa-Settat.

«Depuis le début de la troisième phase de la levée du confinement, nous avons constaté qu’il y a eu un relâchement dans le respect des mesures d’hygiène et barrières», avait regretté Khalid Ait Taleb, ministre de la Santé, en commentant la hausse des cas de Covid-19 dans le royaume.

Certains baigneurs, préoccupés par cette hausse inquiétante des contaminations, tentent tant bien que mal de prendre des précautions. Soukaina et sa petite famille font partie de cette minorité «vigilante». Jouant sur le sable de la plage de Tamaris (à 10 km de Ain Diab) avec sa petite fille de quatre ans, elle garde son masque bien en place et ne laisse pas sa petite toucher le sien.

«On a beaucoup hésité avant de venir à cause du virus, mais notre petite a tellement insisté qu’on n’a pas pu lui dire non […] Elle était tellement excitée à l’idée de venir à la plage ce matin qu’elle s’est réveillée à l’aube», confie Soukaina à Sputnik.

À Tamaris, il y a certes moins de monde qu’à Ain Diab ou à Ain Sebaa, mais les masques y sont ici aussi quasi inexistants.

Les autorités dépassées

De même, la distanciation est très peu respectée. Pour protéger son enfant, Soukaina a délimité elle-même sur le sable sa «safe zone», comme elle l’appelle.

«Les voisins ne respectent pas la distance de sécurité, donc je fais avec les moyens du bord pour protéger ma petite», murmure-t-elle. Sur les réseaux sociaux, l’imprudence des baigneurs ne semble étonner que de rares internautes. Elle intrigue surtout les étrangers.

Cet Algérien s’étonne de voir autant de baigneurs sur la plage de Saidia (dans l’extrême Est du Maroc), alors que c’est le désert quelques centaines de mètres plus loin sur la plage algérienne voisine. «Ici il y a corona, au Maroc il n’y a pas de corona», ironise-t-il.

Le ministère de l’Intérieur a prévenu –en vain– que les autorités «n’hésiteraient pas à appliquer les sanctions prévues par la loi», en cas de «relâchement» dans le port du masque, obligatoire dans le pays. Les peines vont jusqu’à trois mois de prison et/ou jusqu’à 1300 dirhams d’amende (115 euros). Les baigneurs ne jurent pourtant que par la baignade et le bronzage, dans leur écrasante majorité sans la moindre protection. Face à ces foules, les forces de l’ordre jouent les figurants. Certains patrouilleurs se déplacent à cheval à Ain Diab. Ils parlent de temps à autre aux plus imprudents et passent leur chemin.

source:https://fr.sputniknews.com/maghreb/202007301044179881-maroc–des-milliers-de-baigneurs-defient-le-covid-19-/

Covid 19 – Que faire si le port du masque vous cause des problèmes de santé ?

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Herpés , orgelets…etc

Un maître dit à son élève: « Vous verrez un jour, qu’ils en feront trop! »

*

Arythmie, étourdissement, mal de tête, asthme, angoisse, problème de concentration, etc: le masque peut causer des problèmes de santé aux enfants et aux adultes.

Le Docteur Christian Zürcher écrit, le 22 juillet 2020, à ce sujet dans une lettre ouverte aux parlementaires fédéraux suisses:

« Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles. » [1],[2]

Que faire si le port du masque vous cause des problèmes de santé ?

Voir votre médecin. Il pourra vous faire un certificat médical mentionnant que vous avez un handicap vous empêchant de porter le masque. Vous garderez ce certificat sur vous pour le présenter quand cela sera nécessaire, que ce soit un contrôle de police ou une autre situation. [3]

Comment réagir à la pression sociale visant à vous faire porter un masque?

Cela dépendra sans doute de la situation. Peut-être montrerez-vous votre certificat. Peut-être direz-vous poliment: « Je ne porte pas le masque pour raison médicale. » Ou peut-être préférerez-vous dire: « J’ai une dérogation que je présenterai uniquement à la police. C’est personnel. » Et, pour vous éviter de vous répéter peut-être épinglerez-vous cette explication sur votre vêtement avec une broche.

Candice Vacle

Journaliste – Pays Bas

https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Konzerne-Grossbanken-Die-geheime-Macht-der-BilderbergGruppe

https://www.investigaction.net/fr/author/candice-vacle/?act=sp

«L’Occident va disparaître»: Michel Onfray prononce sa sombre prédiction et fournit des explications – vidéo

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Invité de l’émission web Thinkerview, le philosophe Michel Onfray a décortiqué de nombreux sujets, dont le déclin occidental. «Nous allons disparaître, l’Occident va disparaître», estime-t-il, ajoutant que «la France en est à un stade de coma et de mort avancé».

Dans un entretien accordé le 17 juillet sur le plateau du think-tank et de la web TV Thinkerview et repéré par Valeurs actuelles, Michel Onfray a prédit la disparition de la civilisation européenne.

«Nous allons disparaître, l’Occident va disparaître. Il n’y a aucune raison pour qu’il puisse continuer à durer», martèle-t-il.

«Le christianisme ne fonctionne plus»

Pour le philosophe, la déchristianisation est l’un des vecteurs du déclin occidental.

«Le christianisme ne fonctionne plus chez les chrétiens: ils ne croient plus au purgatoire, à l’Enfer, à la parousie, à Satan, à l’eucharistie, à la virginité de Marie…», explique-t-il, ajoutant que «tout ce qui était dogmatique, tout ce qui supposait une foi a disparu».

Mais la déchristianisation n’est pas la seule raison du déclin de l’Occident. Selon le philosophe, l’appétence contemporaine pour la déconstruction serait à l’origine du phénomène.

«Nous sommes dans une civilisation de l’épuisement. Nous n’aimons que ce qui nous déteste, tout ce qui nous détruit est [perçu comme, ndlr] formidable», dit-il ajoutant qu’«il y a une passion pour la déconstruction. Il faut détruire la vérité, l’Histoire».

Combattre jusqu’au bout

M.Onfray affirme être déterminé à combattre la décadence jusqu’au bout. Toutefois, il ne croit pas «qu’on pourrait changer véritablement les choses».

«Mais il faut résister, tenir debout», face à «l’avachissement, à la génuflexion», proclame-t-il.

«Je pense que la France en est à un stade de coma et de mort avancé», ajoute le philosophe.

Michel Onfray souligne que l’état de «barbarie» observé actuellement serait en phase de «générer une autre civilisation», fruit d’une connivence inconsciente entre ceux qui prétendent«défaire l’ordre mondial», «idiots utiles du capitalisme», et les individus disposant d’une «richesse planétaire».

source:https://fr.sputniknews.com/france/202007301044178082-loccident-va-disparaitre-michel-onfray-prononce-sa-sombre-prediction-et-fournit-des-explications–/

Afrique : La Côte d’Ivoire s’engage dans une voie sans issue

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par Leslie Varenne

Sauf surprise de dernière minute, Alassane Ouattara devrait rempiler pour un troisième mandat. Cette perspective plonge le pays dans l’incertitude, les Ivoiriens étant encore traumatisés par l’élection de 2010. Quel que soit le scénario envisagé, aucun ne laisse présager un dénouement heureux.

Alassane Ouattara n’a pas encore déclaré sa candidature à l’élection présidentielle d’octobre 2020. En attendant, pour préparer les esprits à cette annonce, c’est le branle-bas de combat dans son camp. Les militants de son parti, le RHDP, marchent dans les rues d’Abidjan et de certaines villes de l’intérieur en criant « Alassane 2020 ». Ses lieutenants, de Adama Bictogo, directeur exécutif du RHDP, à Hamed Bakayoko, ministre de la Défense, en passant par Kandia Camara, ministre de l’Éducation, tous le prient d’avoir l’extrême obligeance de bien vouloir accepter de se présenter une nouvelle fois. La ficelle est un peu grosse, mais ça passe…

Un « coup d’État constitutionnel » au nom de la paix et de la cohésion sociale…

Reste un petit problème : en 2016, Alassane Ouattara a fait modifier la Constitution, mais la partie de l’article 55 qui stipule « Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Il n’est rééligible qu’une fois » est restée inchangée. En principe, il ne devrait donc pas pouvoir se représenter. Cependant, il ne sert à rien de relancer le sempiternel débat sur le thème « une nouvelle Constitution remet-elle les compteurs à zéro ? » Malgré tous les arguments des constitutionnalistes sur l’esprit et la lettre des lois fondamentales, les Présidents du continent agissent comme bon leur semble. Les précédents sont légion : Togo en 2020, Congo Brazzaville en 2015, Guinée Conakry en 2020, etc. Bien entendu, comme ailleurs, cela passera aussi en Côte d’Ivoire… A ce jeu-là, la démocratie perd toujours.

Il y a bien aussi un autre embarras d’importance celui concernant le respect de la parole donnée. Le 5 mars 2020, Alassane Ouattara a écrit sur Twitter : « Je voudrais annoncer solennellement que j’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 et de transférer le pouvoir à une jeune génération ». Le 5 mars 2020, il a réitéré son engagement solennel devant le Congrès réuni pour la première fois. Avec son sens inné de la mesure, Emmanuel Macron avait salué cette « décision historique », alors qu’elle n’était qu’un simple respect de la Constitution. Pour justifier le retournement de veste d’Alassane Ouattara, ses proches rappellent la « situation exceptionnelle née d’un contexte nouveau » après le décès du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, qui devait porter les couleurs du RHDP lors de ce scrutin. Ils évoquent également la nécessité de « maintenir le climat de paix, de sécurité et de cohésion sociale. »

Ça ne passera pas…

Lors de cette élection, son principal challenger sera l’ancien Président Henri Konan Bédié. Si les deux hommes ont déjà croisé le fer en 1994 en se disputant la succession d’Houphouët-Boigny, c’est la première fois que le choc sera frontal. En 2010, le premier tour avait vu s’affronter les trois mastodontes de la politique ivoirienne : Gbagbo, Ouattara, Bédié. Ce dernier avait été éliminé de la course dans des conditions qui restent encore obscures et suspectes à ce jour. Au deuxième tour, il avait fait alliance avec Alassane Ouattara contre Laurent Gbagbo. Dans l’un de ces grands retournements comme seule la Côte d’Ivoire sait en produire, en 2020, l’ex-prisonnier de La Haye s’apprête, même s’il n’a pas encore fait connaître officiellement sa position, à s’allier dès le premier tour avec son ancien rival pour bouter hors du palais présidentiel le Président sortant.

En dehors même du bilan d’Alassane Ouattara, compte tenu de la sociologie et des rapports de force en Côte d’Ivoire, un candidat ne peut gagner seul contre tous et encore moins contre les deux poids lourds que sont le PDCI et le FPI. Le coup K.O. (expression pour signifier une victoire dès le premier tour) que les partisans de l’actuel Président appellent déjà de leurs vœux est donc parfaitement irréalisable. Sauf à ce que l’élection ne soit ni crédible, ni libre, ni transparente, avec une Commission électorale indépendante (CEI) à la main du Président sortant et un fichier électoral tronqué [1]. Le 15 juillet dernier, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) a donné trois mois à l’État ivoirien pour revoir la composition de la CEI. Quant au fichier électoral, s’il n’a pas été encore rendu public, il fait déjà l’objet de nombreuses contestations de la part de l’opposition. Un consensus entre les deux parties sur ces points clés semble hautement improbable.

A cette heure et sauf changement radical de direction, toutes les conditions sont donc réunies pour que cette élection soit une nouvelle catastrophe.

Alternance pacifique, pas de miracle en vue

Bien qu’il soit toujours délicat d’anticiper les événements en Côte d’Ivoire, l’inattendu étant souvent la règle dans ce pays, il est d’ores et déjà possible d’éliminer le scénario d’une alternance pacifique : cela ne s’est jamais produit depuis l’indépendance, cela ne se produira pas en 2020, les conditions d’un miracle ne sont pas réunies. Même si dans un élan de sagesse et d’altruisme, Alassane Ouattara était prêt à passer le flambeau à Henri Konan Bédié, ce qui est difficilement imaginable compte tenu de leurs contentieux historiques et personnels, le clan de l’actuel Président ferait barrage. La fébrilité a d’ailleurs déjà gagné leur camp. Dans une saillie qui a enflammé les réseaux sociaux, Kandia Camara a exprimé leurs inquiétudes : « nous avons des adversaires en face qui n’ont d’autre programme que de venir au pouvoir pour se venger, pour régler des comptes, pour créer encore des tensions dans le pays. » À elle seule, cette phrase résume toutes les craintes de l’élite au pouvoir : la peur de perdre ses privilèges, mais aussi de se voir infliger les mêmes pratiques que celles qu’ils ont fait subir à leurs opposants, le rattrapage ethnique, la prison, l’exil, le blocage des comptes en banque, l’impossibilité d’accès aux postes prestigieux et/ou lucratifs, etc. Ces propos sont aussi la preuve que la réconciliation nationale n’a pas eu lieu et c’est bien là toute la difficulté d’aller à une élection majeure dans ces circonstances.

Présidentielle ivoirienne: une onde de choc dans toute la région

Que se passera-t-il en cas de contentieux électoral ? Si certains observateurs envisagent un remake de 2010 avec un conflit à la clé, il apparaît peu probable que l’histoire se répète, les Ivoiriens n’ayant pas oublié la guerre de 2011, avec son cortège de victimes et d’horreurs. – Même si tous les scrutins apportent leur lot de violences, pour mémoire, lors des élections municipales et régionales, qui étaient loin de représenter un enjeu aussi majeur que la Présidentielle, il y a quand même eu cinq morts. – Dans le meilleur des cas, s’installera une crise postélectorale larvée, avec des accès de violences sporadiques dans certains endroits du pays ; dans tous les cas, la démocratie aura été bafouée et les conséquences sont bien connues : ressentiments exacerbés, perte de confiance dans la parole politique, insécurité grandissante, immigration, conflits entre certaines communautés.

En conclusion, il paraît plus sage de ne pas aller aux élections dans de telles conditions et de trouver les voies et moyens d’un consensus politique. C’est d’autant plus important que la Côte d’Ivoire est un pays phare de toute une sous-région, qui vit déjà sur des braises. Une déstabilisation d’Abidjan pourrait créer des ondes de choc dans tous les pays frontaliers : au Burkina Faso, qui élira aussi son Président en novembre ; en Guinée Conakry, qui votera le 18 octobre, moins de deux semaines avant le scrutin ivoirien, Alpha Condé se représente pour un troisième mandat, autre élection présidentielle à haut risque ; au Mali, qui n’est toujours pas sorti de ses crises politique et institutionnelle, en plus de toutes les autres…

Covid 19 : La vérité sur l’horrible tri des patients éclate enfin !

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 « Des personnes âgées ont été écartées des hôpitaux » : voilà le titre d’un article du Monde aujourd’hui ! Quand j’ai osé dénoncer cette indignité, j’ai été accusé de « fake news » par les médias et le Gouvernement. Emmanuel Macron et les Ministres devront répondre devant l’histoire pour avoir abandonné nos aînés !

Facebook, Twitter et YouTube suppriment les vidéos des médecins qui soutiennent l’hydroxychloroquine…

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Facebook, Twitter et YouTube ont retiré les vidéos d’une conférence de presse tenue lundi par un groupe de médecins, en invoquant la violation de leur politique. Les membres de ce groupe, appelé « America’s Frontline Doctors » (docteurs américains en première ligne), s’étaient prononcés en faveur de l’hydroxychloroquine un médicament antipaludique, pour le traitement et la prévention du Covid-19, et ont affirmé qu’il y avait une désinformation généralisée sur ce médicament.

Lors de la conférence de presse devant la Cour suprême américaine à Washington, le groupe a également appelé à une « approche durable » de la pandémie du virus du PCC* (virus du Parti communiste chinois), en demandant instamment l’ouverture des écoles et des entreprises.

Facebook, Twitter et YouTube ont retiré la vidéo de 45 minutes de la conférence de presse plusieurs heures après qu’elle a été partagée sur les plateformes et visionnée par des millions de personnes, dont plus de 13 millions seulement sur Facebook.

Un porte-parole de Facebook a déclaré qu’il avait retiré la vidéo « parce qu’elle contenait de fausses informations sur les traitements et les remèdes contre le Covid-19 » et a déclaré à CNN qu’il montrerait à la place « des messages dans le fil d’actualité aux personnes qui ont réagi, commenté ou partagé des informations erronées nuisibles liées au Covid-19 que nous avons supprimées, les reliant à des mythes démystifiés par l’Organisation mondiale de la santé ».

Sur Twitter, le président Donald Trump avait partagé deux vidéos du sommet. Mais dès mardi matin, Twitter a retiré les vidéos. Twitter a également retiré une vidéo de la conférence de presse partagée par Breitbart News. Un porte-parole de Twitter a déclaré à CNN que les mesures prises étaient conformes à sa politique de « désinformation ».

YouTube a également retiré la vidéo de la conférence de presse, remplaçant les images par un message disant que le contenu avait été retiré pour « violation des lignes directrices de la communauté de YouTube ».

La conférence de presse faisait partie d’un sommet de deux jours que le groupe organise, appelé « Sommet des blouses blanches », au Capitole. Selon le site web du groupe récemment formé, l’objectif du sommet est, en partie, de « créer l’opportunité pour les médecins de première ligne de parler directement au peuple américain », et « d’éduquer et d’informer les membres du Congrès, qui ont également fait l’objet d’une désinformation généralisée ».

Lors de la conférence de presse, le Dr Stella Immanuel, médecin de soins primaires au Rehoboth Medical Center de Houston, Texas, a déclaré avoir traité plus de 350 patients avec le Covid-19 en utilisant une combinaison d’hydroxychloroquine (HCQ), de zinc et d’azithromycine, et a qualifié la combinaison de médicaments de « remède ».

« Au cours des derniers mois, après avoir pris en charge plus de 350 patients, nous n’en avons pas perdu un seul. Ni un diabétique, ni une personne souffrant d’hypertension, ni une personne asthmatique, ni une personne âgée. Nous n’avons pas perdu un seul patient », a-t-elle déclaré.

« Je suis venue ici à Washington D.C. pour dire qu’aux États-Unis, personne n’a besoin de mourir’ », a-t-elle ajouté.

Dr Immanuel, qui est également un ministre chrétien de la délivrance avec un compte YouTube actif montrant son travail dans les « ministères de la puissance du feu », a critiqué les études qui ont suggéré que l’hydroxychloroquine est inefficace dans le traitement du Covid-19, qualifiant ces études d’ « imposture scientifique » soutenue par des « entreprises pharmaceutiques mensongères ».

« Je veux savoir qui parraine cette étude. Je veux savoir qui est derrière tout ça parce que [si ce qu’ils disaient était vrai], il m’aurait été impossible de traiter 350 patients et plus : personne n’est mort et ils vont tous mieux », a-t-elle déclaré.

Elle a ensuite affirmé que « toute étude qui dit que l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas est une imposture scientifique », ajoutant : « Je veux qu’ils me montrent en quoi cela ne fonctionne pas. »

« C’est ce que je dirais au sujet de toutes ces études, elles comportaient des doses élevées, elles ont été données à de mauvais patients. Je les appellerai des impostures scientifiques. […] Comment serait-ce possible que mes 350 patients soient tous vivants et qu’en même temps, quelqu’un puisse affirmer que cela ne fonctionne pas ? Je vous le dis à tous, toutes ces études sont une imposture scientifique », a-t-elle dit.

[…]

 

article complet: https://fr.theepochtimes.com/facebook-twitter-et-youtube-suppriment-videos-medecins-qui-soutiennent-lhydroxychloroquine-1477718.html

Zurich : Un Roumain fonce avec un bateau volé dans une zone réservée aux baigneurs puis fait un doigt d’honneur

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Comme souvent, la presse romande cache la nationalité du fautif.

Ni Arcinfo.ch, ni le 20Minutes.ch, ni LeMatin, ni la TdG ne veulent dévoiler son pedigree alors que ces médias se réfèrent au Blick qui lui… publie la nationalité.

 


L’entreprise dangereuse d’un homme de 35 ans a effrayé des dizaines de baigneurs, mercredi à 14h, aux bains publics d’Oberer Letten, à Zurich.

Après avoir volé un bateau à moteur, l’homme a débarqué à vitesse modérée dans cette partie de la Limmat exclusivement réservée aux baigneurs. Après quelques manoeuvres, et un doigt d’honneur dirigé à son «public», il s’est jeté à l’eau, laissant l’embarcation poursuivre son chemin.

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20min.ch