Radars mis hors d’état de nuire : près de 500 millions n’auront pas été volés aux Français

radar gilet jaune

« Des radars vêtus de gilets jaunes, tagués voire totalement calcinés. Des milliers de radars automatiques sont hors-service depuis plusieurs semaines en France. Le montant de la facture et le manque à gagner pour l’Etat n’ont jamais été publiquement annoncés par le gouvernement de peur d’alimenter la surenchère. « En l’état actuel, on peut tabler sur 500 millions d’euros de manque à gagner pour l’Etat et 50 millions d’euros de réparations », estime l’ancienne rapporteuse [sic] générale du Budget à l’Assemblée, la socialiste Valérie Rabault. Des chiffres colossaux. » (Source la Dépêche du Midi) Les médias présentent pourtant dans leurs titres (comme ci-dessous) les choses de façon à ce qu’on croit que les Français devront payer 500 millions d’euros de réparation à cause des Gilets jaunes. En fait, c’est le contraire !
gilet-jaune-sur-le-tableau-de-bord-contre-le-cout-du-carburant_6125216

Du fumier et du foin , LaREM: quatre permanences de députés dégradées en région parisienne

Heap of manure in the spring garden, organic farming concept

Les permanences de quatre députés de la majorité en région parisienne ont été dégradées dans la nuit de mercredi à jeudi, selon des sources concordantes. Les ont posté des photos des dégradations sur leurs comptes Twitter.

A chaque fois, les mêmes affiches, collées sur les bâtiments, accusent les élus de « trahison ». « Trop de taxes » et « destructeur de votre alimentation », est-il également écrit.

Entrée recouverte de fumier

Le député des Yvelines Bruno Millienne (MoDem) a vu l’entrée de sa permanence à Maule recouverte de fumier. Il a décidé de porter plainte pour dégradation et l’enquête a été confiée à la gendarmerie de Saint-Germain-en-Laye.

Les permanences des députées LaREM Amélie de Montchalin, à Massy (Essonne), et Marie Lebec à Croissy-sur-Seine (Hauts-de-Seine), ont également été visées. Le ou les auteurs ont cette fois-ci déversé du foin devant l’entrée. Marie Lebec a, elle aussi, annoncé son intention de porter plainte.

Enfin, située à Orsay (Essonne), la permanence du mathématicien Cédric Villani a également été dégradée, a indiqué l’élu. Il a toutefois précisé qu’il n y avait pas eu de déversement de fumier ou de foin.

Des agriculteurs mécontents

Mercredi soir, la FDSEA – Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles – et les Jeunes agriculteurs (JA) d’Ile-de-France avaient prévenu qu’ils comptaient s’inviter « aux voeux de…

La déconsommation affecte tous les secteurs, sauf l’alimentaire et le made in France. Mais les Gilets jaunes n‘y sont pour rien

rayon

La fréquentation des magasins est en baisse. Tout le monde pense que c’est à cause des manifestations des Gilets jaunes mais le mouvement est beaucoup plus profond.

La majorité des organisations professionnelles du commerce craint une baisse profonde et longue de la consommation des ménages. Dans un premier temps,  le mouvement a d’abord touché l’activité dans les magasins physiques, mais dans un deuxième temps, on s’est aperçu que, contrairement à ce qu’on se racontait, cette baisse relative de la fréquentation des commerces n’a pas été compensée par le développement du e-commerce. Ce mouvement touche tous les secteurs de la distribution, équipement de la maison, textile prêt à porter, chaussures, produits d’entretien, toutes les enseignes, toutes les marques… Sauf tout ce qui touche à l’alimentaire et ce qui serait « made in France ».

Les manifestations des Gilets jaunes ont évidemment donné un sérieux coup de frein à l’activité commerciale au cours des trois derniers mois. Pour la fédération Procos, qui regroupe 260 enseignes dans les centres commerciaux, les ventes ont baissé de 6,8% en novembre, de 3,9% en décembre. Et cela dans tous les secteurs, le prêt à porter a perdu 5% de chiffres d’affaires, mais dans la beauté, la santé et le petit équipement, ameublement, décoration, on a perdu près de 10% du chiffre d’affaires habituel qui, à cette époque de l’année, représentent près du tiers du chiffre d’affaires annuel.

Dans beaucoup de villes moyennes, où le poumon commercial se situe à la périphérie, là où la mobilité dépend essentiellement de la voiture individuelle, beaucoup de commerçants sont entrés dans la nouvelle année avec la gueule de bois, sinon cassée, parce que leur situation financière était assez désastreuse.

Leurs collègues des centres de grandes villes traversées par les manifestations du samedi ne sont pas en meilleur état. Partout, la fréquentation de la clientèle s’est effondrée de 10 à 25 % (Marseille, Avignon, Rouen, Caen, Angers, Nantes…etc.)

Les premières semaines de janvier, malgré les soldes, n‘ont pas donné de biens meilleurs résultats.

Mais – oh surprise – contrairement à ce qu’on pouvait penser, les sites internet n’ont pas vu gonfler leurs chiffres d’activité pour compenser les baisses dans le secteur traditionnel.

Le résultat de ce coup de froid est que beaucoup d’enseignes ont commencé à réduire leurs projets d’investissement, beaucoup abandonnent même leur exploitation, faute d’obtenir des baisses de loyers de la part des foncières qui possèdent les murs des centres commerciaux. Bref, il y a aujourd’hui des espaces commerciaux qui se libèrent et des prix qui, en moyenne, ont tendance à baisser.

Alors, il est évident que le mouvement des Gilets jaunes a réfrigéré les consommateurs, en installant un climat peu propice à faire la fête, d’autant que le mouvement a mis l’accent sur les questions de pouvoir d’achat pour la majorité des consommateurs de la classe moyenne.

Mais ce ralentissement dans les chiffres de consommation, ou plutôt de fréquentation des clientèles dans les appareils commerciaux, ne date pas des Gilets jaunes.

Selon les spécialistes, tout a commencé il y a plus de 5 ans, juste après les contrecoups de la crise financière de 2008/2009. A partir de 2010, la fréquentation des magasins a baissé de près de 4% en moyenne par an sauf en 2017, pour retomber en 2018. Au départ, ce mouvement a été masqué par le développement des ventes à distance sur internet. Mais en réalité, le mouvement sur le e-commerce a été spectaculaire sur quelques enseignes comme Amazon, Cdiscount etc., mais il n’a pas permis de redresser l’ensemble des chiffres de la consommation.

Alors, a posteriori, les analystes sont parfaitement capables d’expliquer la tendance par une stagnation des pouvoirs d’achat ou plutôt par une baisse du pouvoir de dépenser, compte tenu d’une progression des dépenses contraintes et notamment les loyers, les impôts, taxes et les abonnements de toute sorte dans le secteur de la communication, mobile, internet, abonnement TV.

Pour le reste, on assiste bien à une déconsommation structurelle dans la plupart des grandes familles et cela sur tous les secteurs de biens manufacturés sauf sur deux créneaux :

D’un côté, les biens alimentaires. Toutes les chaines de la grande distribution ont enregistré une hausse de chiffres d’affaires sur les produits alimentaires de qualité et souvent bio.

De l’autre, le made in France. L’ensemble de la distribution note une préférence pour l’acquisition de produits franco-francais. Y compris si le prix est plus élevé qu’un produit identique mais fabriqué à l’extérieur de l’Hexagone. C’est vrai dans l’agro-alimentaire où les marques locales ou régionales sont très recherchées parce qu’elles véhiculent une image et sans doute une garantie de qualité. Mais c’est vrai aussi dans l’équipement de la maison, le prêt à porter et dans l‘automobile…

Ce mouvement-là paraît durable et marque évidemment un changement dans les modes de consommation. Les offres de consommation sont de plus en plus analysées par le consommateur à l’aulne de la qualité, de l’origine et des méthodes de fabrication. L’impact environnemental, par exemple, qui laissait le consommateur complètement indiffèrent il y a encore 5 ans, constitue aujourd’hui un critère de choix important pour une grande partie des consommateurs qui sont plutôt jeunes, plutôt des femmes, et pas spécialement riches.

En bref, on déconsomme un peu, et quand on achète, on fait plus attention.  Le mouvement peut paraître marginal, mais étant donné qu‘il paraît solidement installé, il annonce pour les industriels et les distributeurs une véritable mutation.

Le torchon rouge « L’Humanité » sur le point de fermer

Malgré les millions d’euros que les contribuables lui versent chaque année (3,7 millions d’aide de l’État en 2016), le quotidien historique de toutes les trahisons, de tous les combats antifrançais, serait sur le point de disparaître. Le journal communiste a déposé une déclaration de cessation de paiement devant le Tribunal de commerce, qui doit décider le 30 janvier d’un éventuel redressement judiciaire. En cas de refus, le journal serait placé en liquidation judiciaire et fermerait.
l27huma
champagne.gif

Super-BHL invente le patriotisme cosmopolite !

bhltarte

Il est des matins comme ça où, à l’heure du petit dèj’, mieux vaut éviter d’être cueilli à froid par une énième harangue de l’Inénarrable. Le café va vous sortir par les oreilles, et la pression consécutive à un incoercible éclat de rire verra votre bouchée de tartine beurrée déguiser l’écran de l’ordi en constellation d’Orion.

https://www.liberation.fr/planete/2019/01/25/il-y-a-le-feu-a-la-maison-europe-le-manifeste-des-patriotes-europeens_1705305

Ainsi, BHL serait « patriote » ??? Personne ne s’en serait douté, ni assurément lui-même.
« Ote-patrie », sans doute, voire éventuellement « Party-Hot », mais « patriote », what a scoop !
Certes, l’Unique parle de « patriotes européens ». Danois, Portugais, Grecs et Roumains appartiennent à la même « patrie ». Comment ça, « ils sont pas au courant, et nous non plus » ?
Soyons raisonnables : « patriotes européens », c’est la classe. « patriotes » tout court vous dégage une puanteur de gargote tenue par des Thénardier recroquevillés sur eux-mêmes, un vieux relent d’HLPSDNH, un remugle empestant les wagons à destination d’Auschwitz.

bhl-inspire

Toujours est-il que sur ce coup, l’ami germanopratin nous offre un condensé de beaufitude carrément palpable :

– La bouffissure emphatique muée en angoisse métaphysique : « si rien ne vient endiguer la vague qui enfle et qui pousse et qui monte », « conjurer la venue de totalitarismes nouveaux et le retour, dans la foulée, de la misère propre aux âges sombres »… à venir au prochain épisode, le retour de la météorite qui a mis fin à l’ère des dinosaures, sachez rester patients.
– La démagogie européiste transformée en lyrisme grandiloquent : « Et leur mémoire d’Européens, la foi en cette grande Idée dont ils ont hérité et dont ils ont la garde, la conviction qu’elle seule, cette Idée, a eu la force, hier, de hisser nos peuples au-dessus d’eux-mêmes et de leur passé guerrier « . Il est vrai que, conformément aux promesses, le traité de Maastricht a terrassé le chômage comme St Michel le dragon et que toute menace de guerre, d’attentat ou d’affrontement s’est définitivement évaporée. Quant à la « prospérité de nos sociétés », raconte-ça à nos chômeurs et nos SDF.
– Les inévitables références philosophico-littéraires : Dante, Goethe, Comenius, et… Érasme, auteur de « Éloge de la folie », dont la lecture semble avoir indélébilement marqué notre Sauveur.

Bon, tout ça c’est bien gentil, mais parmi ce consortium de cosignataires « patriotes européens », on trouve qui ? L’Indien anglicisé Salman Rushdie, le Turc Orhan Pamuk, la Marocaine Slimani, le Péruvien Mario Vargas Llosa, l’Israélien David Grossman… probablement par mauvais esprit, nous nous attendions à rencontrer un autre type de « patriotes européens » !!! Gageons qu’ils seront tombés sous le charme envoûtant et quasi hypnotique de cet infatigable artisan de la paix comme peuvent en témoigner les peuples serbe, libyen, syrien ou ukrainien.

Table dressée et couverts mis, permettez-moi de vous offrir, en guise d’apéro, une petite délicatesse dont le « patriote » nous a gratifiée en 1985 :
« Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, « franchouillard » ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. »

bhlmacron

Ne laissons pas la France sortir de l’Histoire

algerieesclavage

Femme européenne (sarde, corse, sicilienne ou provençale) enlevée lors d’une razzia sur les côtes du sud de l’Europe par les pirates barbaresques.

Ce tableau résume un fait massif non enseigné de l’Histoire de France : alors que les brillantes civilisations grecque et romaine avaient donné aux peuples du littoral méditerranéen de partager pacifiquement Notre Mer, Mare Nostrum, l’islam transforma la Méditerranée en un cauchemar, un lieu de piraterie ininterrompue se déversant régulièrement sur les côtes de Provence et d’Azur, de la Corse et de la Sardaigne, remontant jusqu’aux Alpes et même jusqu’en Angleterre et en Islande, pour piller et en ramener argent et esclaves. Les Sarrasins, Maures et autres pirates barbaresques de l’Empire ottoman, en dignes continuateurs des prédateurs arabo-islamistes, firent régner la terreur durant des siècles sur cette mer et ses littoraux du nord. C’est pour mettre fin à cet esclavage et à cette piraterie que la France s’attaque à la base d’Alger en 1830 et prend possession de ce qu’elle va appeler l’Algérie.

La femme du tableau va être enlevée, emportée et vendue sur le marché aux esclaves d’Alger, Tunis, Tripoli ou Le Caire pour finir dans un violoir (harem). Parce que les souverains européens ont oublié la longue histoire des invasions islamiques qui ont conduit à la destruction de la civilisation gréco-romaine au Proche-Orient, en Perse et au Nord du Sahara, ils n’ont pas su protéger les rivages européens face aux assauts des razzieurs musulmans.

Cette pauvre malheureuse symbolise la France d’aujourd’hui, razziée, vendue au plus offrant et souillée par l’oligarchie mondialiste et ses alliés islamo-gauchistes et islamistes.

Le silence soigneusement entretenu par le parti de l’étranger sur cet aspect de l’Histoire de France comme sur tant d’autres atteint des proportions gigantesques. Cette omerta que maintient volontairement ou par ignorance la classe politique, les intellectuels et l’Éducation nationale sur l’islam et ses prédations incessantes depuis 1400 ans envers l’Europe d’un côté et, de l’autre, le matraquage idéologique inverse sur les crimes des Européens où l’on met en vrac la colonisation, la traite transatlantique, les horribles croisades, le nazisme, la bombe atomique, le capitalisme, le communisme et le papier toilette islamophobe conduisent à un état de faiblesse immunitaire désastreux de l’ensemble de la population, prête à se flageller et à accepter toujours plus d’immigration, de vivre-ensemble et d’antiracisme. Mieux vaut être insulté, volé, tabassé, violé, massacré à la Kalach que de faire des amalgames qui feraient le jeu de vous savez qui. Vous n’aurez pas ma haine et vous aurez toujours les prestations sociales et les accommodements raisonnables. Ça n’a rien à voir avec la haine anti-mécréant ou le racisme anti-Blanc. C’est la société française, trop blanche, trop occidentale, trop européenne, trop raciste qui est responsable.

La propagande idéologique anti-France doublée d’ignorance abyssale sur l’Histoire de France aboutit notamment à avoir à la tête de l’État français un président de la République française qui déteste la France, qui fait tirer sur son peuple « de souche » à coups de LBD et de grenades. « Il n’y a pas de culture français », « Gaulois réfractaires au changement », « colonisation crime contre l’humanité », etc. Je ne vais pas dérouler pas la liste de la haine anti-française macronesque. Cette répugnance des politiciens envers le nation française n’est certes pas nouveau, on peut la faire remonter à Giscard (préférence européiste, rapprochement familial), mais jamais un président n’avait montré aussi ouvertement une telle hargne à détruire la France et à faire sentir simultanément au peuple français qu’il est voué à être remplacé à coups de migrants dans les campagnes, de propagande diversitaire, d’islam de France et fait sentir qu’on ne pleurera pas sa disparition, bien au contraire.

La France s’autodétruit. Elle s’autodétruit faute de s’alimenter et de revenir aux sources. On a mis la France et le peuple français, qui s’est construit dans et par son Histoire, en état de grève de la faim obligatoire. On l’a privé de son Histoire.

Car l’Histoire de France n’est que sporadiquement enseignée aux élèves de 6 à 18 ans. (Et il ne faut pas compter sur la télévision publique pour remédier à cette catastrophe culturelle. Le ministère de la Culture sert avant tout à promouvoir le rap, la musique du monde, la diversité, le métissage et l’art contemporain).

En cause :

– des programmes troués, indigents et idéologiquement orientés par la bien-pensance mondialiste ;

– des horaires faméliques ;

– des professeurs parfois victimes de bavardage et d’incivilité (voir les « stylos rouges ») ;

– des classes « mixtes » où se côtoient l’illettré, le moyen et le cultivé, les premiers ne suivant plus, s’ennuyant et perturbant la classe, les deuxièmes troublés par les premiers ayant du mal à suivre, les troisièmes rongeant leur frein ;

– l’impact négatif sur cet enseignement historique des carences abyssales qu’ont accumulées les élèves dans les autres matières, notamment en français et en mathématiques ;

– la baisse du QI liée à l’immigration et à la non-reproduction des personnes aux QI élevées ;

– la baisse de l’attention et de la concentration provoquée par la consommation trop importante d’écrans et de colorants-conservateurs ;

– et surtout la défiance à l’égard de l’Histoire de France de la part des « élites mondialistes ».

Mais ce n’est pas grave. Tout en ayant beaucoup moins de connaissances que des élèves de 11 ans à la fin de leur CM2 et a fortiori beaucoup moins que des élèves de 13 ans des années 50 lors du passage de leur Certificat d’études, les élèves actuels de Terminale (18 ans) décrocheront quand même à peu près tous leur Bac et pourront rejoindre gaiement les bancs de la fac. Et alors sauf exception, pour toute leur vie d’adulte, il ne restera de l’Histoire de France que Louis XIV (situé très approximativement vers le Moyen-Âge ou un peu après), 1789, 14-18, 39-45 précédé par « les heures les plus sombres de notre Histoire », 1968 et basta.

Et de toute façon, quelle importance, puisque selon la doxa pédagogique et morale du ministère depuis 50 ans, l’essentiel n’est pas de connaître telle ou telle date, tel ou tel fait, mais c’est de comprendre un texte, un document, de savoir réfléchir et de débusquer les préjugés. De même, l’important, ce n’est pas d’avoir assez d’essence, d’avoir bien entretenu sa voiture, que tous les pneus soient gonflés et que le parallélisme soit OK. L’important, c’est de conduire prudemment et intelligemment même sans voiture en état de marche.

Comme si l’on pouvait opposer la possession d’une culture générale vaste et solide et la capacité d’un raisonnement éclairé sur l’actualité politique !

Au lieu donc de demander à l’élève de développer, sur un événement historique ou une période historique, une pensée argumentée hiérarchisant et contextualisant les faits, personnages, dates, événements, concepts mémorisés au cours de l’année ou du trimestre (dissertation), on lui apportera les connaissances peu importantes et peu nobles dans des documents, à charge pour lui de réfléchir – ça c’est noble – et de répondre aux questions (étude de documents) ou de faire une note de synthèse.

Je caricature à gros traits la tendance. Il n’en reste pas moins que l’enseignement de l’Histoire de France est en crise depuis bien longtemps. Et forcément le mal empire d’année en année. Les parents des enfants de 6 à 18 ans ont déjà été victimes des problèmes de la baisse de niveau des années précédentes, quand ce n’est pas leurs grands-parents. Les professeurs, beaucoup plus armés au niveau des connaissances, sont cependant comme tout le monde les cibles de la propagande progressiste depuis des années et bien peu arrivent à s’en extraire pour réexaminer sans filtre leurs connaissances sur des sujets essentiels comme l’identité française, la colonisation, la naissance de la nation, l’islam, l’Union européenne, etc.

L’enseignement de l’ignorance, que Michéa avait magistralement mis en lumière dans son petit opus éponyme (L’Enseignement de l’ignorance et ses conditions modernes, éd. Climats, 1999), est donc en marche. Et même il court.

On pourra désormais faire des Français ce que l’on veut, les lobotomiser, les métisser, les islamiser, les mondialiser, les augmenter façon cyborg, mais enfin et surtout en faire de bons petits progressistes soi-disant ouverts et tolérants – ouverts et tolérants aux préjugés que les grandes compagnies diffusent H24 – de bons petits progressistes qui rejetteront d’autant plus brutalement les forces du Mal de l’ancien monde qu’ils ne le connaissent pas du tout et n’en ont qu’une vision tronquée formatée par la propagande de l’Éducation nationale et des médias mainstream .

Pour Macron et ses pareils, de gauche comme de droite, il n’y a pas ou plus de culture française. Il faut détruire toute trace de l’identité française, source de nationalisme et de populisme, source eux-mêmes de mal et de guerre.

Cette rééducation mémorielle prend des dizaines d’années car il faut travailler sur plusieurs générations pour que toute trace d’identité française disparaisse. Et l’on n’a pu se permettre de créer des camps de rééducation ou des camps de concentration pour « chasser ceux qui nous font honte ». Cela aurait immédiatement mis la puce RFID à l’oreille. Il a fallu procéder par étapes, petit à petit et avancer progressivement vers l’installation d’une dictature européenne qui se pare des manteaux du droit et de la démocratie mais qui ne fera que se révéler de plus en plus sous son vrai jour au fur et à mesure des années.

« Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever leur mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. » (Milan Hübl)

Les Actes des Gilets jaunes sont les derniers soubresauts d’une France comateuse, en train de sombrer dans le marécage gluant du multiculturalisme, du consumérisme, de la haine de soi et des diktats de Bruxelles, de l’Onu, des lobbys des multinationales et de l’entrisme des islamistes, une France qui est en train de perdre lentement mais sûrement son âme et son peuple, ses racines et sa culture, son histoire et sa fierté.

Place à la start-up nation multiculturelle. Place à la souveraineté européenne. Place à l’Islam de France prélude à la France islamique où les non-musulmans auront le statut de dhimmis ou d’esclaves. Place au métissage obligatoire (Nicolas Sarkozy) pour améliorer le « sang pourri des Français » (Carla Bruni), place à la gestation pour autrui (lobby LGBTIQ…) et à l’esclavage mental de tous par un petit nombre de milliardaires transhumains, leurs forces de travail, leurs médias, leurs fondations et leurs forces de l’ordre.

Fin de partie pour les Gallo-Romains réfractaires et les Francs judéo-chrétiens lépreux ?

Les prochaines années seront cruciales. Les forces de résistance doivent s’unir et combattre le totalitarisme d’un nouveau genre qui s’est emparé de la France depuis des années, elles doivent faire surgir de leur sein les Clovis, les Charles Martel, les Charlemagne ou les Général Leclerc qui repousseront les colonisateurs conquérants d’Afrique et d’Asie, combattront les idées et les manœuvres de leurs soutiens zélés islamogauchistes, multiculturalistes et grands-patronesques, soumettront les oligarques à la volonté du peuple français, restaureront la souveraineté de la France en la libérant des entraves de l’UE, de l’Otan et de l’Onu et ressusciteront enfin le peuple français et l’âme française dans leur majesté.

Julien Martel

L’usage de l’eau d’égout « purifiée » est halal

canalisation-eaux-usees-768x461

L’omniscience est la spécificité des seuls cheikhs et muftis. Aucun domaine de la vie personnelle du musulman et de la vie sociale ne peut échapper à leur science.

Voici une fatwa qui nous vient du Bureau égyptien de la fatwa. Un organisme d’État. En cette période de pénurie d’eau potable due à la croissance exponentielle de la population du pays, elle semble vouloir tirer parti des eaux usées du Caire. Sous le n° 4374 et le titre « Quid de la purification des eaux usées et de leur traitement », cette fatwa, parue le 13 mai 2018, en dit long sur la méconnaissance de ce volet de la science qui veille sur la santé publique. Avant d’aborder le sujet, rappelons avec humour le dicton arabe : « Le yaourt devient de la m… mais la m… ne devient jamais du yaourt ». Le mufti auteur de cette fatwa veut nous prouver que cela est possible…

Tout jugement des savants de l’islam, peu importe le sujet, se réfère toujours au Coran, qui décrit, entre ses deux pages de couverture, toute la « science humaine ». Par exemple, l’eau qui doit servir à la purification du corps est l’eau courante, une eau qui n’a subi aucune modification, tout comme l’eau de mer, l’eau des rivières et de la pluie, car Allah a dit : « […] Nous fîmes descendre du ciel une eau pure et purifiante » (77 :42 Al Furqane, le discernement). Et, selon un hadith : « L’eau est pure sauf si son odeur, son goût et sa couleur changent à cause d’une souillure ».

L’eau des égouts, puisque les trois paramètres de pureté ont changé, est donc considérée comme souillée. On s’en doutait ! Pour la majorité des savants de l’islam, l’eau souillée peut cependant être purifiée par plusieurs méthodes, dont l’ajout abondant (كثير) d’eau pure, ce qui est estimé à la contenance de deux jarres, soit 270 litres. Cela retire immédiatement à l’eau souillée toute pestilence car l’eau ainsi « traitée » retrouve sa pureté d’origine. Son odeur, son goût, sa couleur se sont normalisés.

Mais ça, c’était la méthode des anciens.

Dans le corps de la fatwa égyptienne, une description des eaux usées est détaillée ainsi : ce sont « des eaux polluées issues des groupements d’habitat, des industries et de l’agriculture ». Les étapes du traitement sont : « sédimentation, aération, destruction des microbes par le chlore ». D’autres étapes plus modernes sont évoquées : la filtration au sable, au carbone, et l’oxydation chimique qui éliminent les huiles et les matières grasses. Les eaux deviennent ainsi pures, proches des eaux potables et propres à la consommation humaine.

vaisselle-vers-une-bouche-degoÛt

Vaisselle près d’une bouche d’égout au Caire…

Le 9 janvier 2019, le secrétariat du Bureau égyptien de la fatwa a apporté une précision sur l’usage du laser qui représente la façon la plus moderne pour traiter les eaux usées. Grâce au laser l’eau revient à sa pureté originelle par l’élimination des modifications du goût, de la couleur et de l’odeur. L’eau peut être utilisée pour les besoins de la vie quotidienne : eau potable, soins intimes après les rapports sexuels, ablutions rituelles, agriculture, etc … Les eaux usées traitées au laser et devenues pures peuvent à leur tour purifier d’autres eaux souillées. La boucle est bouclée.

Pour ceux qui sont férus d’égyptologie, et futurs touristes, un bon conseil : vous devez vous enquérir sur la nature de l’eau que vous serez amenés à consommer lors de votre voyage au pays des pharaons et de l’islam sur lequel veillent al-Azhar et le Bureau de la fatwa…

Bernard Dick

Après avoir lu le nom d’Allah sur du papier toilette, des musulmans accusent Nike à propos d’une paire de basket polémique

nike

Une pétition en ligne accusant Nike d’insulter les musulmans a recueillie plusieurs milliers de signatures. Sur la plateforme change.org, cette dernière appelle la marque à retirer du marché des “chaussures offensantes portant le nom d’Allah” sur la semelle.

Après le papier toilette vendu par Marks & Spencer sur lequel des musulmans ont cru voir écrit “Allah”, la marque Nike se trouve désormais dans le viseur de ces derniers.

ne pétition lancée sur change.org par une utilisatrice nommée Saiqa Noreen avait presque recueilli les 10.000 signatures demandées ce mardi soir. En anglais, elle demande l’arrêt de la fabrication des baskets Nike Air Max 270.

Le motif? Les semelles présenteraient un logo qui se rapprocherait du mot « Allah » en écriture arabe.

Un logo que la créatrice de cette pétition qualifie d’« offensant pour les musulmans et l’islam ». 

Ce n’est pas la première fois que Nike fait face à de telles accusations. En 1997, un logo en forme de flamme situé au dos d’un modèle de baskets nommé « Nike Air Bakin » pouvait faire rappeler à certains le nom d’ »Allah ».

 

Une polémique qui avait forcé Nike à faire retirer 38.000 paires du marché et à présenter ses excuses à ses clients musulmans.

Des policiers équipés de marteaux lors des manifestations des Gilets jaunes …

gilets jaunes-police-lbd-marteaux

n grand nombre de clichés et séquences circulant sur Twitter présenteraient des cas de port de marteaux par les forces de l’ordre lors de la dernière manifestation des Gilets jaunes.

À l’issue des manifestations des Gilets jaunes qui se sont déroulées samedi, de nombreuses publications selon lesquelles des membres des forces de l’ordre portaient des marteaux ont fait leur apparition sur Twitter.

Des témoins ont ainsi partagé des photos et vidéos présentant, selon eux, des policiers équipés de marteaux lors de la manifestation.

​Un bon nombre d’internautes ont quant à eux estimé que ces personnes étaient des «faux policiers», puisque leurs tenues étaient civiles pour certains, composées de jeans et baskets:

D’autres internautes en ont profité pour ironiser sur le sujet:

Compteurs Linky: L’UFC-Que choisir saisit le Conseil d’Etat

linky

Le compteur Linky devant le Conseil d’Etat. L’UFC-Que choisir a annoncé ce mardi avoir saisi la plus haute juridiction administrative pour dénoncer le retard de la mise en œuvre de l’affichage en temps réel de la consommation électrique pour les ménages précaires équipés du compteur communicant Linky.

L’association de défense des consommateurs souligne que « la date butoir pour la mise en place gratuite des afficheurs déportés pour les ménages précaires, exigée par la Loi de transition énergétique, a expiré depuis près d’un mois ». Cet affichage « déporté » (avec un écran installable dans n’importe quelle pièce) doit aider certains particuliers à suivre en direct leur consommation et ainsi les inciter à mieux maîtriser leur consommation.

La rémunération d’Enedis pointée du doigt

Selon l’UFC-Que choisir, la mise en place de l’afficheur a déjà été repoussée d’un an et reste désormais soumise à la publication d’arrêtés qui n’ont toujours pas été publiés par le gouvernement. « L’UFC-Que choisir passe donc à l’action en saisissant le Conseil d’Etat pour enjoindre l’Etat d’adopter dans les plus brefs délais les textes manquants », écrit-elle.

Par ailleurs, l’association demande également au ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, « qu’il informe (enfin !) sur les suites données aux travaux engagés en juin 2018 » par son prédécesseur Nicolas Hulot. Ce dernier avait à l’époque dit étudier « les possibilités d’évolution des modalités de rémunération » de l’entreprise Enedis pour la pose des Linky.

Il s’appuyait sur un rapport de la Cour des comptes, qui rappelait que le déploiement du compteur coûterait 5,4 milliards d’euros et jugeait les conditions de rémunération d’Enedis « généreuses ».