Racisme anti-blancs : Les recommandations de lecture de Sciences Po : « Fragilité Blanche », « Comment être un antiraciste », « Pourquoi je ne parle plus aux Blancs de race »…

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Entrer à Sciences Po en tant que blanc à l’été 2020, c’est tendre les bras pour recevoir 10 bouquins dont 5 vous expliquent à quel point vous êtes raciste, fragile, l’horreur, quasiment le nazisme…

 

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Crise du coronavirus en France: épidémie terminée versus panique organisée. Pourquoi ?

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En mars 2020, nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour  prolonger la panique sans justifications médicales réelles.

 

Confinement : la pire catastrophe française depuis 1940

En mars, notre président a déclaré la guerre au Covid19 et ses ministres nous ont expliqué que la suspension des libertés fondamentales, l’obligation : « restez chez vous » (sous contrôle policier tatillon) et la rupture de tous les liens sociaux, étaient nécessaires pour sauver nos aïeux, empêcher nos hôpitaux d’être débordés et limiter le nombre de morts que nous infligerait inéluctablement le Covid19.

Trois mois plus tard, nous constatons que ces mesures ont abouti à l’assassinat de nos anciens dans les Ehpad, que les lits des cliniques privées sont restés vides même dans les régions qui ont enregistré le plus grand nombre d’hospitalisations liées au COVID-19 (et ont transféré des patients à l’étranger), et que la France se retrouve parmi les pays qui comptent le plus de morts de Covid19 par million d’habitants.

La réalité est à l’opposé de ce que nous annonçaient les prédicateurs d’apocalypse, leurs simulations[2] et le comité scientifique, celui-là même qui aujourd’hui nous recommande de porter des masques, de nous faire tester et d’installer une application de traçage sur nos téléphones (stop covid) alors que la maladie a quitté notre territoire.

 

L’assassinat de nos aïeux

La protection de nos ainés, victimes désignées du Covid19 constituait l’objectif « officiel » prioritaire du confinement. Or toutes les mesures prises durant la loi d’urgence ont abouti à les éliminer sans témoin et en empêchant de leur rendre le dernier hommage. Le meurtre avec préméditation par Covid non traité et/ou Rivotril des pensionnaires des Ehpad constitue l’infamie la plus triste du confinement. Le terme assassinat est violent, mais correspond aux faits constatés d’une mise à mort organisée. Le premier temps a été de les couper de leur famille les transformant en « prisonniers au mitard »[3], les rendant plus vulnérables et facilitant les syndromes de glissement (désintérêt progressif de la vie rendue insipide par l’absence de contacts menant au décès) alors qu’il aurait été possible de maintenir des contacts protégés. Le second temps a été de les interdire de tests diagnostiques[4] puis de réanimation[5] puis d’hôpital. Le troisième de réexpédier les pensionnaires malades dans leur établissement d’origine ou faute de possibilité réelle d’isolement, de matériel de protection et de personnel en nombre suffisant ils ont contaminé leurs compagnons d’infortune. La solution finale a été le décret Rivotril[6] qui a organisé la dispensation d’un produit destiné à les tuer sur simple suspicion de Covid (sans certitude diagnostique) avec rédaction d’une ordonnance « préventive » et préparation d’une seringue nominale sans prévenir le malade ni sa famille ni même attendre une éventuelle aggravation. Le 6 mai 2020 les personnes âgées dépendantes résidants en Ehpad représentaient la moitié des morts attribués à l’épidémie en France (12 769 décès sur les 25 531)[7]. L’objectif allégué du confinement n’a donc pas du tout été atteint, ni même visé.

 

Hôpitaux vides

Pendant le confinement des centaines de milliers de personnes n’ont pas pu recevoir les soins dont elles avaient besoin parce que le plan blanc réservait toutes les capacités d’hospitalisation pour le tsunami COVID-19 qui « n’allait pas manquer de nous submerger partout ».

En réalité de nombreux hôpitaux sont restés à moitié vides pendant tout le mois d’avril et les cliniques privées vidées de tout malade ont dû recourir au chômage partiel de leur personnel. Ainsi, le syndicat de l’hospitalisation privée annonçait que de très nombreuses demandes de chômage partiel avaient été déposées dans ses établissements[8] et demandait que les ARS (agences régionales de santé) leur adressent les malades qui n’auraient pas pu être soignés dans les établissements publics[9]. Mais à l’exception de quelques cliniques parisiennes et durant une quinzaine de jours, les lits privés sont restés vides faute de malades.

 

Pendant cette période, pour montrer qu’il était efficace, le pouvoir a organisé des grands spectacles TGV covid, Evasan[10] Covid et hôpital militaire de campagne Covid alors qu’il suffisait parfois de pousser une porte pour trouver les lits, des respirateurs et des soignants en nombre suffisant. Dans le Grand-Est, le mercredi 25 mars, 150 lits de réanimation étaient disponibles pour les cas Covid dans les hôpitaux publics et privés, avec une possibilité de création de 300 lits de réa supplémentaires. « Vu la situation dans l’Est, c’est difficile de comprendre pourquoi ces lits restent vides. D’autant plus alors que des patients sont transférés vers d’autres régions », regrettait Pénélope De Feuquières[11], responsable de la communication du groupe Elsan qui compte 120 établissements dans toute la France, majoritairement en régions.

Dans cette mise en scène dramatique la France n’est pas une exception : au Pays de Galles, sur les 17 hôpitaux de campagne qui ont été mis en place pour traiter 6000 patients COVID-19, un seul a été utilisé pour 46 patients et aujourd’hui il est vide, lui aussi. L’exercice a coûté 166 millions de livres sterling[12]. En Lombardie, la région italienne la plus touchée, l’hôpital COVID-19 Fiera di Milano, qui a coûté 20 millions d’euros, n’a finalement traité qu’une vingtaine de patients[13]. De même à Madrid où l’immense hôpital de campagne a été un désastre [14].

 

Un des pires taux mondiaux de mortalité Covid19

On juge une mesure sanitaire à son résultat : le nombre de morts par million d’habitants. Sur ce critère, d’après les chiffres OMS du 24 juillet, la France se place au 6ème rang mondial des plus fortes mortalités des 197 états membres avec 483 décès/million derrière la Belgique (846/M), la Grande-Bretagne (671/M), l’Espagne (608/M), l’Italie (580/M) et la Suède (562). Les mieux placés étant Taiwan (1/M), le Japon (8/M), la Corée (6/M), Singapour (5/M), la Malaisie (4/M), le Maroc (8/M), l’Algérie (27/M), l’Inde (24/M) et les pays africains d’endémie palustre dont les populations prennent quotidiennement des antipaludéens.

Si nous avions décidé, comme nos voisins allemands, de mettre en quarantaine, (d’isoler pendant 15 jours) les porteurs de virus de la population saine nous compterions 25000 morts de Covid19 de moins. L’absence de test n’est pas une excuse : c’est parce que le ministère n’en a pas voulu que nous n’en avons pas eu ; au début de cette épidémie les allemands ne disposaient pas de plus de tests que nous pour cette maladie nouvelle, mais leur chancelière a permis à tous les laboratoires y compris vétérinaires d’en pratiquer alors qu’en France le ministère et les Agences Régionales de Santé ont dédaigné les offres qu’on leur a faites. D’ailleurs même sans tests la mise en quarantaine des infectés aurait été possible et efficace sur les simples signes cliniques car, contrairement à ce qui a été longtemps prétendu (et en partie responsable des erreurs des modélisations folles qui ont servi d’alibi à nos politiques), les infectés asymptomatiques participent très rarement à la diffusion de la maladie[15]. Mais les autorités sanitaires ont préféré renvoyer les infectés sans signe de gravité chez eux et les vieux dans les Ehpad infecter leurs proches grâce au confinement qui augmentait la durée d’exposition au virus.

 

Des victimes collatérales par dizaine de milliers

Le « plan blanc » activé dès l’état d’urgence et le confinement aveugle adoptés a entraîné l’arrêt des traitements des maladies chroniques (hypertension, diabète, cancers), source de pertes importantes de chances de survie. Il a également bloqué le diagnostic et le traitement de nouvelles pathologies infectieuses, cancéreuses etc. qui sont apparues pendant le confinement et sont restées évolutives en l’absence de diagnostic et de traitement. Or même des retards modestes dans la chirurgie du cancer ont un impact significatif sur la survie.  Aux victimes directes du Covid19 et du confinement, le plan blanc a donc ajouté des victimes collatérales par arrêt ou retard des soins des maladies chroniques et les retards de diagnostic des maladies jusque-là ignorées.

Dans un rapport[16] F Bizard précise : « la CNAMTS a confirmé une baisse d’activité de 40% pour les médecins généralistes. Une moyenne de 70% de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc. »

L’impact de la crise Covid19 a été estimé à une baisse de plus de 2 millions d’actes chirurgicaux, pour une date de levée du plan blanc postérieure au premier juin. Les traitements en cours des cancers connus ont été retardés ou modifiés. Les ARS ont même suggéré de traiter des cancers coliques et pulmonaires reconnus par radiothérapie, alors qu’un tel traitement est nettement moins efficace que la chirurgie et que les services de radiothérapie surchargés donnent souvent rendez-vous dans deux mois ou plus.

 

Appel des médecins et chirurgiens pour la levée du plan Blanc

L’académie de médecine[17], le BLOC[18] et autres représentants des chirurgiens de France ont adressé des mises en garde aux plus hautes autorités de l’Etat.

« Nous constatons chaque jour et de plus en plus l’aggravation des morbidités et de la mortalité des malades non COVID. Les patients présentent des états aggravés avec des retards diagnostiques et thérapeutiques lourds de conséquences. Toutes les spécialités médicales sont concernées ». Edicté pour lutter contre le risque COVID19, le plan blanc a maintenant des effets délétères pour la santé publique, alors même que l’épidémie est presque éteinte sur une grande partie du territoire. Son rapport bénéfice/risque est devenu catastrophique ». En vain.

Depuis le confinement, en trois mois, 90000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués et traités et ne l’ont majoritairement pas été. Alors que depuis des années, l’institut National du Cancer, la Haute Autorité de Santé et la ligue contre le cancer n’ont de cesse de rappeler l’importance cruciale des traitements précoces « plus un cancer est détecté tôt, plus les chances de guérison sont importantes » et qu’ils prônent sans arrêt tous les dépistages des cancers.

 

Le mal épidémique des décisions gouvernementales : équivalent plan Blanc en Grande-Bretagne

Nos voisins anglais ont estimé l’impact sanitaire de l’arrêt des activités médicales en cancérologie en Grande-Bretagne. L’équipe du professeur Turnbull[19] [20]  a calculé que si les 94 912 patients – qui devaient subir une intervention chirurgicale pour retirer leur cancer – avaient un retard de trois mois, il y aurait 4 755 décès supplémentaires au cours des cinq prochaines années. Compte tenu de la durée de vie attendue des patients après la chirurgie, le retard représenterait 92 214 années de vie perdues.

« Pour éviter une crise de santé publique liée aux décès par cancer évitables, les actes diagnostiques et chirurgicaux du cancer doivent être maintenus à leur rythme normal, avec une attention rapide à tout arriéré déjà accumulé ».

Durant la même période plus de la moitié des maladies digestives, cardiaques[21], vasculaires, neurologiques, rhumatologiques, psychiatriques et pulmonaires n’ont pas été vues en consultation, se sont aggravées, faute de traitement en temps utile.

Le nombre des décès secondaires aux retards de soin consécutif à ce plan blanc est difficile à compter pour l’instant, mais le nombre considérable de malades concernés (plusieurs millions) fait craindre qu’il ne dépasse très largement celui des victimes directes de l’épidémie.

 

Lourdes conséquences sociales du confinement aveugle

Alors qu’il n’y a aucune preuve que le raz-de-marée annoncé sur les hôpitaux ait été empêché par le confinement[22] [23], les mesures ordonnées par le gouvernement ont mis des pans entiers de la société dans la détresse : jeunesse privée de son droit à l’éducation, désintérêt progressif du travail chez de nombreux salariés qui ont beaucoup de mal à reprendre leurs activités, finances publiques lourdement grevées, maisons de retraite transformées en prisons tandis que les liens dans la population ont été distendus, minés par la défiance et la peur de l’autre. Récession économique, aggravation du chômage et de la misère se font déjà sentir. Les mesures prises au nom de la protection de la population n’étaient manifestement ni efficaces, ni proportionnées, ni adéquates.

 

En France, l’épidémie est terminée

Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie évolutive ainsi que le montrent les graphiques officiels suivants :

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Depuis le début de l’année, la mortalité n’a dépassé la limite supérieure de la valeur statistiquement attendue que dans la catégorie d’âge des 65 ans et plus, et ce uniquement entre la troisième semaine de mars et la troisième semaine d’avril. Dans la classe d’âge des 0 à 64 ans, en revanche, à aucun moment la mortalité ne s’est significativement écartée des valeurs habituelles.

 

Epidémie terminée, mais intensification de la propagande de la peur !

Au lieu de mettre en avant ces bonnes nouvelles le gouvernement poursuit sa propagande terrorisante, sous prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente, alors que cela traduit principalement la forte augmentation du nombre de tests effectués.

Lorsqu’on examine les graphiques qui présentent le nombre de tests revenus positifs rapporté au nombre de tests revenus négatifs, il faut presque une loupe pour apercevoir la part des positifs – laquelle est par ailleurs stable, oscillant depuis la mi-mai autour 1%.

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Ces cas positifs ont de plus de chances d’être en réalité des faux-positifs. Les tests PCR actuellement utilisés présentent en effet une marge d’erreur de 1,8%. Cela signifie que sur 10 000 tests, il y aura 180 faux positifs. Or depuis le 11 mai, le pourcentage des tests positifs est restée stable à 1%. Avec des chiffres aussi réduits, la possibilité qu’il s’agisse souvent de faux positifs ne peut donc être exclue. Dans une analyse parue mi-juin, Beda Stadler, professeur émérite et ancien directeur de l’Institut de virologie et d’immunologie de l’Université de Berne, rappelait aussi qu’une grande partie ces « cas d’infection » pouvaient en réalité être des personnes déjà immunisées contre le virus, encore porteuses de « débris viraux » dans leur organisme.

La poursuite de la propagande de la peur est efficace ainsi qu’en témoigne le nombre de consultations pour angoisse de covid19 qu’utilise ensuite Santé Publique France pour faire croire à une seconde vague : « signe d’une possible reprise de la maladie, du 29 juin au 5 juillet, 1 523 actes médicaux pour suspicion de Covid-19 ont été enregistrés par les associations SOS Médecins, cela représente une hausse de 41 % par rapport à la semaine précédente ».

Ainsi malgré des indices objectifs tous rassurants, des adultes de toutes les classes d’âge, et même des enfants[24], craignent d’être contaminés, de tomber malades et de mourir du COVID-19. Cette peur infondée soulève la question de la responsabilité de ceux qui l’ont répandue et qui continuent de l’entretenir.  Les consultations en psychiatrie ne cessent de se multiplier de même que le besoin d’hospitalisations que les services ne peuvent fournir.[25]

 

Quelles peuvent être les raisons d’une telle désinformation ?

Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?

 

Plusieurs raisons confortent cette hypothèse

En premier lieu l’incohérence qui caractérise les mesures en place (dont la plupart sont dénuées de fondement scientifique solide) et la manière dont le comportement des habitants est analysé par les experts et les médias.

Les citoyens qui mettent en doute l’intérêt médical actuel réel du masque, des tests et du traçage sont qualifiées d’irresponsables qui menaceraient la santé publique et favoriseraient une deuxième vague. Là, c’est le comportement des personnes qui ont massivement fêté le retour d’un peu de liberté et la musique que l’on criminalise, alors qu’aucune augmentation des malades n’a été constaté depuis ces évènements festifs. Dans le même temps, les médias ne se sont guère ému des milliers de manifestants qui ont envahi à la même période les rues des grandes villes pour protester contre le racisme, ni des consommateurs qui ont couru les soldes, sitôt les centres commerciaux réouverts.

Dans les rangs des politiques et des journalistes, personne ne semble s’étonner du changement majeur de l’objectif des mesures imposées passant d’ « aplatir la courbe », à « éradiquer Sars-Cov-2 », une entreprise qu’aucun scientifique ne peut juger crédible.

Cette hypothèse se trouve également crédibilisée par la similitude de cette propagande illogique des gouvernants dans de nombreux pays que la maladie a déserté comme la Suisse ou le Canada.

 

En démocratie, c’est le peuple qui doit gouverner

Il y a lieu de s’interroger sur la place grandissante que s’arrogent les membres du comité scientifique et l’exécutif. Rappelons que ce groupe d’experts trop liés aux entreprises du médicament est de conseiller le président et le conseil de défense en s’appuyant sur ses connaissances scientifiques. Non de gouverner à la place des autorités élues, ni de torpiller leurs décisions en lançant des mises en garde à la population. Pourtant, c’est bien ce que ces chercheurs ont fait en imposant des restrictions stupides sans justification sanitaire réelle, compliquant considérablement la réouverture des écoles voulue par le président. Cette manière d’autoriser un groupe d’experts non élus, peu compétents en médecine clinique et dont les membres ont été recrutés en fonction de critères opaques témoigne d’une méconnaissance et d’un mépris des institutions démocratiques pour le moins ahurissants qui fait douter une fois encore de la capacité des médias à nourrir le débat démocratique.

 

 

[1] Transposition à la France de l’excellent texte de Catherine Riva et Serena Tinari concernant la Suisse « des nouvelles mesures pourquoi faire ? » Mondialisation.ca, 17 juillet 2020 Avec re-check.ch à lire absolument.

[2]] N Ferguson Rapport 9 Imperial College 2020 3 16

[3] Les prisonniers bénéficient de visites de leur famille. Seuls les punis sont mis au mitard et privés de visite

[4] Alors que les politiques se sont presque tous fait tester

[5] Le 22 mars, le Dr Chatelus écrit : « le chef des urgences de Mulhouse a admis devant 600 urgentistes français réunis en visioconférence qu’au-delà de 75 ans, avec ou sans comorbidités, ils n’intubaient plus »

[6] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015

[7] B Deshayes Coronavirus dans les Ehpad : les chiffres de la tragédie qui se joue à Paris, Lyon, Nîmes Mougins. https://www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2492361-coronavirus-dans-les-ehpad-la-tragedie-qui-se-joue-a-paris-lyon-nimes-mougins/

[8] Boris Hallier Coronavirus : « Nos établissements sont totalement vides », déplore la fédération de l’hospitalisation privée Mercredi 25 mars 2020, France Bleu Paris    Île-de-France

[9]Lucie Oriol Coronavirus : les hôpitaux privés demandent à être réquisitionnés ACTUALITÉS 22/03/2020

ASSOCIATED PRESS

[10] Évacuations sanitaires aériennes

[11] Le fact check de jeunes médecins #1mais pourquoi tant de lits restent-ils vides dans les cliniques privées ?  27/03/2020 https://www.jeunesmedecins.fr/actualites/mais-pourquoi-tant-de-lits-restent-ils-vides-dans-les-cliniques-privees

[12] Anna Palmer & Ashleigh Crowter Coronavirus: Only one of Wales’ 17 field hospitals used BBC News18 6 2020

[13] Di Lorenzo TosaIl grande flop dell’ospedale Covid-19 a Milano Fiera: costato 21 milioni, ospita 3 pazienti

Pubblicato il 13 Apr. 2020 alle 17:57 https://www.tpi.it/opinioni/grande-flop-ospedale-covid-19-milano-fiera-coronavirus-20200413584888/

[14] Coronavirus : à Madrid, l’immense hôpital de campagne a été un désastre” https://www.courrierinternational.com/article/reportage-coronavirus-madrid-limmense-hopital-de-campagne-est-un-desastre

[15] Maria Van Kerkhove, responsable technique de la cellule chargée de la gestion de la pandémie à l’Organisation mondiale de la santé a déclaré « il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie », lors d’une conférence de presse virtuelle de l’OMS.

[16]Frédéric Bizard Pour l’Académie Nationale de chirurgie Impact économique du Covid19 en chirurgie 29 4 2020

[17] Communiqué commun de l’Académie nationale de Médecine et de l’Académie nationale de Chirurgie 15 5  2020 http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2020/05/La-reprise-des-activit%C3%A9s-chirurgicales-une-urgence-sanitaire.pdf

[18]Le Bloc, union syndicale AAL- SYNGOF-UCD appelle solennellement le Premier ministre et le Ministre des Solidarités et de la Santé à stopper le plan blanc élargi. Communiqué du 7 mai

[19] Sud A, Jones et al Effect of delays in the 2-week-wait cancer referral pathway during the COVID-19 pandemic on cancer survival in the UK: a modelling study. Lancet Oncol. 2020 Jul 20: S1470-2045(20)30392-2. doi: 10.1016/S1470-2045(20)30392-2

[20] Sud A, Jones et al Collateral damage: the impact on outcomes from cancer surgery of the COVID-19 pandemic. Ann Oncol. 2020 May 19 : S0923-7534(20)39825-2.

[21] Durant le confinement le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux et leurs chances de guérison divisées par deux d’après une étude du Samu

[22] Et beaucoup de faits qui montrent que le confinement aveugle a augmenté la mortalité

[23] Car les rares pays qui n’ont pas confinés (Pays-Bas, Suède, Islande) n’ont pas subi le tsunami prédit

[24] Rappelons que les enfants sont exceptionnellement atteints (moins de 2% des cas recensés), qu’ils font presque uniquement des formes bénignes (moins de 10 cas mortels rapportés en dessous de 19 ans sur environ 16 millions de contaminés) et qu’ils ne contaminent ni les adultes ni les autres enfants.

[25] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vague-psychiatrique-deja-rude-ne-sera-pas-en-cloche

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Affrontements intra-communautaires à Mayotte

mayotte

Deux bandes rivales issues des deux villes à fort taux d’immigration clandestine s’affrontent depuis bientôt une semaine. La dégradation du climat d’insécurité a même favorisé l’exode de tout un quartier de Kaweni.
C’est en fin d’après-midi qu’ont lieu les démonstrations de forces. Des jeunes cagoulés et armés de pierres, de coupe-coupe, de machettes et de bâtons déambulent sur la Route Nationale de Kaweni, dans la commune chef-lieu, sous les regards effrayés des automobilistes. Mais leurs actions sont ciblées : incendier des cases et en découdre avec des jeunes de la bande rivale.

Des jeunes issus de quartiers informels de kaweni et d’autres de Majicavo s’affrontent ainsi tous les soirs depuis le jeudi 13 août, créant beaucoup d’agitations dans les alentours.

affrontements

rassemblement de jeunes ©capture d’écran

L’élément déclencheur de ces affrontements quotidiens serait une violente agression d’un jeune de Majicavo sur un autre de Kaweni qui aurait rechigné à « payer un droit de passage » dans leur quartier Massimoni, tampon aux communes de Mamoudzou et de Koungou.
Le jeune agressé serait originaire de Hadda Dawéni à Anjouan, un village réputé viril et solidaire. Son agression ne pourrait alors être impuni pour sa communauté.
Si à Kaweni, à contre bas, on déambule armés, les forces de l’ordre arrivent à empêcher leur progression et éviter la confrontation des deux bandes, comme jeudi dans la nuit dans le quartier des hauts-vallons.

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Intervention des forces de l’ordre jeudi soir, hauts-vallons ©Capture d’écran FB

Samedi matin les élus de Mamoudzou et de Koungou ont organisé une médiation en présence des riverains, responsables associatifs et religieux, mais sans succès.

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Médiation ©Sony Chamsidine

Samedi soir c’est, armés de cocktails Molotov et de pneus brulés et projettés des hauteurs que les jeunes de Majicavo ont attaqué le quartier de Massakini. Le bilan est lourd. Outre des habitations brulées, on déplore aussi un mort et 4 blessés graves, dont un amputé de la main. Le quartier s’est vidé de ses habitants, qui se sont refugiés ailleurs avec le strict minimum.

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Habitations brûlées et désertées ©Fahar Ousseni

Au lendemain de ces faits, les élus municipaux et départementaux de Mamoudzou et Koungou, la préfecture et le conseil départemental de Mayotte se sont réunis d’urgence à l’hôtel de ville de Mamoudzou pour appeler au calme et tenter de trouver une solution à ces actes violents.

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Réunion à la mairie de Mamoudzou ©Sony Chamsidine

Un communiqué de presse a été publié à l’issu de la réunion, et parmi les solutions annoncées, il y a le déploiement de forces de sécurité, l’organisation des assises de la sécurité, ainsi que des réunions plus régulières du Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD).

L’objectif est de trouver des solutions pérennes et globales avec les parents, les jeunes, les associations, visant notamment la formation, l’éducation et l’insertion

ont déclaré les villes de Mamoudzou, Koungou, le département et la préfecture de Mayotte dans le communiqué commun.

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Communiqué de presse ©A.R

La guerre des masques a commencé

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Un internaute tweete : « Que va-t-il se passer lorsque les gens vont réaliser MASSIVEMENT que les masques ne protègent pas contre le virus et quand, en même temps, ils vont réaliser qu’ils n’ont aucune autre solution de protection à leur portée ? »

Le masque, censé protégé les autres de nos postillons, n’est-il pas, en définitive, qu’une parade psychologique que nos gouvernants espèrent ainsi pouvoir maîtriser en nous faisant peur ? Le virus peut s’attraper par les yeux. Qui le dit ? Le virus ne circule pas à l’air libre. Qui ose encore l’affirmer ?

Et quand on voit, sur LCI,ce médecin urgentiste débattre bêtement avec un masque sur le nez qu’il n’arrête pas de toucher pour le remettre en place, lorsqu’on voit notre Président mettre un masque qu’il tenait enroulé dans sa main, ne se moque-t-on pas de nous, cher M. Jean Castex, lorsque vous souhaitiez voir tous vos administrés masqués dans les rues de nos villes et villages ?

La mascarade qui nous a été jouée, au début de l’apparition de ce virus, semble donc avoir pris un autre aspect. Des masques, nous en avons aujourd’hui à profusion. J’ai entendu, dans « Les Grande Gueules », que chaque mois, la France en achèterait à la Chine pour un milliard d’euros. Il faut bien les utiliser. Alors, on nous l’impose et on nous fait croire que si nous refusons de cacher nos visages, nous sommes d’épouvantables égoïstes, peut-être même des criminels, et, en tous cas, des rebelles…

Hier, dans une petite rue vide de Boulogne, j’ai croisé une dame dont je n’ai pu apercevoir que les yeux. Je tenais mon masque chirurgical à la main pour respecter les consignes du bureau de Poste vers lequel je me rendais. Cette personne m’a jeté un regard de haine : ses yeux m’accusaient d’être un criminel !

Un ami me dit que, ce matin, sur le marché du Bois-Plage-en-Ré, un inconnu l’a pratiquement injurié car il ne portait pas le masque devenu obligatoire par le miracle d’un décret : « Vous devriez payer 135 euros ! » Et voilà la guerre des masques bien partie, car ces regards, ces altercations sont autant de signaux comme quoi nous sommes entrés en un pays où peur et délation font bon ménage. Comme, selon la formule consacrée, aux pires heures de notre Histoire. Sur Google, amusez-vous à taper « bagarre pour un masque » et vous aurez les exemples de ce qui nous attend. Bagarre dans un avion, bagarre dans une laverie, assassinat d’un chauffeur de bus qui demandait gentiment à de méchants passagers de bien vouloir mettre leur masque, bagarre dans un bar de Pontarlier, etc.

Comme dirait l’autre, avec ce masque, si on le manipule ou si on le conserve sans précaution, et si, en même temps, on ne peut pas se protéger les yeux, nous ne sommes par sortis de l’auberge. Et quand on voit ces Français devenus moutons qui ont choisi de se masquer en voiture, sur la plage, on se demande s’il ne s’agit pas là d’une nouvelle mode importée de Chine. Encore elle.

Brest. L’agent de sécurité lui demande de porter un masque, il refuse et lui plante un couteau dans l’œil

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À Brest, dans la nuit de vendredi à samedi, un homme a planté un couteau dans l’oeil d’un agent de sécurité d’un bar. Il lui avait demandé de porter un masque avant d’entrer dans l’établissement.

Dans la nuit de vendredi à samedi, un peu avant minuit, un homme se présente devant le Greenwich Café, dans le centre-ville de Brest (Finistère). Il ne porte pas de masque alors l’agent de sécurité lui demande de se couvrir le visage. Le Brestois de 43 ans refuse, insiste pour entrer mais se fait repousser. Déçu, il fait demi-tour et repart.

Deux coups de couteau

Trente minutes plus tard, il revient sur ses pas, sort un couteau et assène un coup au visage de l’agent de sécurité. La lame atteint l’œil de la victime. Celle-ci s’effondre et l’assaillant se couche sur lui pour le frapper à nouveau. Il lui assène au total deux coups de couteau. Très vite, les clients du bar sortent pour venir en aide à la victime. Une patrouille de police à proximité est alertée et se rend sur place.

Un profil schizophrène

L’agent de sécurité est emmené dans un état grave à l’hôpital. Il a été opéré d’urgence samedi matin et son pronostic vital n’est plus engagé. L’agresseur, lui, a été interpellé dans la foulée. Il reconnait les faits mais dit ne plus s’en souvenir. Il était alcoolisé et présente un profil schizophrène. Il est déjà connu des services de police.

Sa garde à vue au commissariat de Brest est prolongée jusqu’au lendemain. Il devrait ensuite être présenté devant le parquet de Brest dimanche soir.

Chevilly. Féminicide : défenestrée, poignardée, étranglée, l’homme de 29 ans s’est acharné sur son épouse

Screenshot_2020-08-16 🇫🇷 Chevilly Féminicide défenestrée, poignardée, étranglée, l’homme de 29 ans s’est acharné sur son [...]

Dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 août à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), une femme (30 ans) a été mortellement poignardée à plusieurs reprises par son mari (29 ans) à son domicile.

La jeune femme a tenté de fuir son bourreau en sautant par la fenêtre du premier étage mais ce dernier est parvenu à la rattraper dehors avant de s’acharner sur elle en la trainant dans leur appartement. Il l’a battue, étranglée, poignardée jusqu’à la mort.

Des voisins, alertés par les cris de la victime ont prévenu la police. Malgré l’intervention rapide des secours, elle a malheureusement succombé à ses blessures #féminicide

Selon les voisins, la jeune femme était brimée par son mari et régulièrement victime de violences conjugales 😡

L’homme a été interpellé et placé en garde à vue pour HOMICIDE VOLONTAIRE SUR CONJOINT.

Elle était mère de 2 enfants dont un de 4 ans qui était endormi dans sa chambre au moment des faits.

NOUS LA CITONS,
NOUS NE L’OUBLIERONS PAS…
Nous pensons à ses enfants, à sa famille, à ses ami-es et proches, et à toutes ces existences dévastées par le #TerrorismePatriarcal conjugal et familial, par ces #Féminicides perpétrés dans une indifférence médiatique, politique et sociétale, généralisée, révoltante et COMPLICE !
Source : Féminicides par compagnons ou ex

Et toujours la PÉTITION, à signer et partager, merci !
https://www.change.org/p/mr-emmanuel-macron-elles-se-prénom…

https://www.leparisien.fr/…/feminicide-une-trentenaire-mort…

Selon nos informations, une dispute a éclaté au domicile du couple dans la nuit de mercredi à jeudi. Touchée au ventre, la victime n’a pas p

Digue de Malo-les-Bains : L’individu en garde à vue pour tentative d’homicide sur un bébé hospitalisé d’office

Un homme, qui s’en est pris à un nourrisson de quelques mois, sur la digue, ce mercredi à 9 h, a été interpellé sous les yeux des passants, très choqués, à l’instar du père du bébé. Il a été placé en garde à vue pour tentative d’homicide puis hospitalisé d’office au regard de son état psychique.

Hôpital psychiatrique

Ce mercredi, vers 9 h, des promeneurs sur la digue de Malo, au niveau de la base de la voile de la Licorne, ont assisté à une scène choquante et particulièrement violente. Un Dunkerquois d’une trentaine d’années faisait son jogging. Il s’est arrêté pour faire des exercices physiques à côté de la poussette où se tenait son nourrisson, âgé de quelques mois.

Brusquement, un individu au comportement impulsif, visiblement dans un état second, s’est rué volontairement sur la poussette, la secouant et la jetant, avec le bébé. Il avait visiblement l’intention de porter atteinte au nourrisson et lui aurait infligé, selon des témoins, une gifle. Ces mêmes témoins racontent que l’individu aurait saisi l’enfant pour s’enfuir avec, avant d’être rattrapé et maîtrisé par des ouvriers d’Eurovia qui effectuaient la rénovation de la chaussée à cet endroit.

Pas de tentative de kidnapping

L’enquête en cours a exclu que l’individu soit parti avec l’enfant dans les bras. Il s’est juste enfui sur le sable, rattrapé par des badauds et des ouvriers ayant assisté à la scène. Des éléments qui mettent fin aux rumeurs d’une tentative de kidnapping.

Le parquet de Dunkerque s’est contenté d’indiquer que l’individu avait été interpellé pour tentative d’homicide sur mineur. Il ne souhaite pas, pour l’instant, communiquer davantage.

Le bébé est sain et sauf. Il était, par chance, parfaitement attaché dans sa poussette. Il a été admis aux urgences du centre hospitalier de Dunkerque, en observation, par mesure de précaution. Son état n’inspire pas d’inquiétude. Son père demeure très choqué.

Peu de temps avant l’agression sur le nourrisson, la police, qui est intervenue sur place très rapidement, a reçu le signalement d’une dame qui se promenait dans le secteur, indiquant que quelques minutes plus tôt, un homme se serait rué sur elle, sans raison, et aurait tenté de l’étrangler. Des faits qui restent à vérifier. La police n’a pour l’instant pas réussi à contacter cette éventuelle victime. Mais l’enquête fait ressortir que le suspect a importuné de nombreux promeneurs sur la digue, avec son comportement agressif, levant les bras, tapant des mains, prenant les gens à partie, criant à tue-tête.

Originaire du Dunkerquois, âgé de 45 ans, le suspect n’a aucun antécédent judiciaire. Mais son profil suscite des inquiétudes. Sa garde à vue s’annonce compliquée. L’homme est en pleine crise de démence. Des prélèvements sanguins ont été effectués afin de vérifier s’il n’était pas sous l’emprise de drogues, d’alcool ou de médicaments. La question est maintenant de savoir si son état est compatible avec une garde à vue. En ce sens, une expertise est en cours. Car le suspect pose d’importants problèmes dans les geôles du commissariat en raison de son agitation. Il a d’ailleurs fortement résisté à son interpellation sur la plage. Selon nos informations, le suspect a été hospitalisé d’office en milieu psychiatrique, son état ne permettant pas son audition devant les services de police.

Les personnes qui ont été témoins de la scène ou qui ont été importunées par le suspect sur la digue peuvent contacter le commissariat au 03 28 23 50 50 pour apporter des éléments d’enquête.

« Il faut refuser ces vaccins contre le COVID-19 ! » affirme le Dr Pierre Cave

Screenshot_2020-08-16 « Il faut refuser ces vaccins contre le COVID-19 » affirme le Dr Pierre Cave

Tribune du Dr Pierre Cave pour le site Nexus.fr, radiologue, ancien interne et chef de clinique de Marseille qui affirme que “le vaccin est plus dangereux que la maladie” et qu’il est nécessaire de le “refuser” au nom de “l’intérêt général”.

“Plusieurs laboratoires privés (= à but lucratif) annoncent triomphalement qu’ils ont réussi à mettre au point un vaccin contre le COVID. Et de nombreux médias se font complaisamment l’écho de ces annonces en n’hésitant pas à parler de victoire définitive sur la maladie.

Ma réaction vis-à-vis de ces annonces est une MÉFIANCE ABSOLUE.

Pour plusieurs raisons :

1) L’épidémie est terminée (en France), je ne cesse de le répéter depuis plusieurs semaines, et toutes les publications scientifiques confirment cette constatation (encore une fois, cela ne veut pas dire que la maladie a disparu). Donc la question qui devrait logiquement être posée est : « quelle est la nécessité de vacciner s’il n’y a plus d’épidémie ? »
Simple bon sens !

2) Plus grave : les vaccins annoncés par les laboratoires ont été élaborés en quelques semaines, avec un IMPÉRATIF COMMERCIAL DE RENTABILITÉ immédiate. Alors que normalement il faut des mois, voire des années pour mettre au point un vaccin, du moins si on respecte les critères scientifiques de sécurité sanitaire. Or, précisément dans le cas présent aucun de ces critères n’a été respecté. Eh oui ! il fallait faire vite… être le premier sur le marché…. avec des milliards de bénéfices à la clé !

Donc on peut affirmer avec certitude que ces pseudo vaccins ne présentent AUCUNE GARANTIE d’efficacité, et pire, ON NE SAIT RIEN DES EFFETS SECONDAIRES de ces produits. Ni à court, ni encore moins à moyen ou à long terme.

La course forcenée au profit est incompatible avec les contraintes de la recherche scientifique.

Et ne parlons pas de morale ni d’éthique !!!

3) Encore plus grave, le plus grave peut-être, et que l’industrie pharmaceutique se garde bien de souligner, c’est que les vaccins sont CONTRE-INDIQUÉS chez les sujets qui ont été contaminés ( = phénomène d’interférence virale et d’amplification virale). Il s’avère qu’un grand nombre de personnes ont été contaminées par le coronavirus sans avoir des signes apparents de la maladie. Ce sont les “porteurs sains”. En effet il faut se souvenir que ce virus est peu dangereux mais très contagieux. Donc en vaccinant à l’aveugle la population dans un tel cas de figure, on mettrait en danger toutes ces personnes qui ont été contaminées sans le savoir.

En d’autres termes le vaccin est plus dangereux que la maladie.

En conclusion ces pseudo vaccins sont à la fois INUTILES et DANGEREUX.

J’espère que le gouvernement français ne commettra pas une nouvelle erreur en recommandant cette vaccination ou en la rendant obligatoire.

En toute logique, devant le manque flagrant de garanties sanitaires présentées par ces vaccins, le gouvernement devrait même REFUSER L’AMM (autorisation de mise sur le marché). Pour ma part (quitte à être sanctionné), à titre individuel mais en tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : IL FAUT non seulement REFUSER CES VACCINS, mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production.
Précision très importante (au risque de décevoir le courant obscurantiste) : habituellement, je ne suis pas un adversaire des vaccins, bien au contraire !

Je suis carrément un ardent défenseur des vaccins classiques DT-Polio, BCG, variole etc qui ont sauvé des millions de vies humaines, et qui ont même permis l’éradication de certaines maladies, précisément la variole et la poliomyélite. Mais dans le cas présent, la seule lecture des FAITS, qui sont de notoriété publique, mène irréfutablement à la même conclusion que moi. REJET et CONDAMNATION. Dans l’intérêt général.”

Source :
– Nexus.fr : Avis d’un médecin : « Il faut refuser ces vaccins contre le COVID-19 ! »

Philippe de Villiers : “La France avance masquée vers les Ténèbres”

philippe-de-villiers-bourdin

Cette petite phrase lue sur le compte Twitter de Philippe de Villiers mérite d’être soulignée :

“La psychose autour de la deuxième vague cache le passage en force pour faire voter une loi insidieuse sur l’eugénisme et le post-humanisme. Transgression criminelle. La France avance masquée vers les Ténèbres.”

Malgré la clémence des juges pour son 30e passage au tribunal, une racaille les insulte et exhibe son sexe lors du verdict

30e convocation au tribunal (sans parler du commissariat) à 23 ans…
S’il n’y a pas de remigration, il est bien parti pour atteindre la centaine.

Screenshot_2020-06-22 Nantes Roués de coups pour avoir voulu protéger trois jeunes filles Presse Océan

« À la base, un délinquant est arrêté la semaine dernière à Toulouse pour avoir tenté de noyer un moniteur de kayak après avoir importuné une jeune femme. Le moniteur s’est alors interposé et il a été largement pris à partie, essuyant entre 20 et 30 coups de poing avant que son assaillant tente de le couler, au moins à trois reprises.

L’alerte donnée, le suspect a été arrêté dans la foulée. Et force est de constater que le prévenu, âgé de 23 ans, est très familier du palais de justice où il était convoqué ce lundi pour la trentième fois.

Au terme d’une audience laborieuse ce lundi au tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur a requis une peine de 18 mois de prison ferme. Mais le tribunal a opté pour une peine mixte, ce qui était donc positif pour lui. Sauf que le jeune homme n’a pas compris la décision : à l’énoncé du délibéré le prévenu a cru bon de montrer son sexe par trois fois aux magistrats. Qui ont également essuyé un flot sidérant d’insultes.

Une bonne leçon pour ces juges irresponsables toujours plus laxistes avec les délinquants et les criminels. »

Source :  T. Joly