Afrique du Sud : 3 noirs armés attaquent une ferme, frappent le propriétaire blanc de 73 ans, et violent sa femme et ses filles

Triste Afrique du Sud ou les meurtres et les agressions des fermiers blancs et de leurs familles se poursuit dans l’indifférence de la communauté internationale… triste nation arc en ciel… sans avenir…

af du sud

Afrique du Sud – Un fermier a été ligoté et battu chez lui, sa femme et ses deux jeunes filles ont été violées lors d’un cambriolage à leur domicile de Muldersdrift, au nord de Johannesburg.

Selon le porte-parole de la police, trois hommes, dont deux armés d’armes de poing, se sont introduits de force dans une maison, ont ordonné à l’homme de 73 ans de s’allonger et lui ont attaché les mains et les jambes.

« Ils ont demandé de l’argent et, lorsqu’ils n’en ont pas trouvé, ils l’ont agressé, l’ont fouillé et ont pris son téléphone portable. Les suspects ont emmené la femme de la victime, 46 ans, et ses filles, âgées de 15 et 11 ans, dans une autre pièce et les ont violées », déclare le chef de la police.

Les suspects sont âgés de 21 à 35 ans et sont toujours en fuite.

Il a ajouté qu’un groupe d’hommes armés terrorisait les habitants de Muldersdrift et les environs, des incidents ayant également été signalés à Zwartkop, Nooitgedacht et Beyers Naudé.

« Ces crimes sont commis par trois à six suspects armés. Dans tous les incidents signalés, les suspects ont pénétré de force les maisons des victimes. Dans certains cas de cambriolage, les victimes ont été agressées sexuellement.

(…) News 24

Morbihan. Un mort, huit hospitalisations dans un stage de survie, l’organisateur mis en examen

stage survie

Samedi dernier, plusieurs participants d’un stage de survie organisé à Kervignac (Morbihan) ont été hospitalisés à la suite d’une intoxication alimentaire. En effet, en rentrant d’expédition, un stagiaire parisien a été pris de convulsions, avant de s’effondrer et faire plusieurs crises d’épilepsies. Quelques minutes après, sept autres participants ont commencé à se sentir mal. Ils ont été brièvement hospitalisés sauf le jeune Parisien de 26 ans qui se trouvait dans un état grave. Son état s’est encore dégradé les jours suivants et il est décédé vendredi.

Intoxication alimentaire

La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de cette intoxication alimentaire collective. L’organisateur du stage – un ancien militaire spécialisé dans ce type d’expérience – aurait présenté au groupe les plantes comestibles et non-comestibles pour survivre en forêt. Puis un des participants aurait, de sa propre initiative ramené et partagé une herbe toxique. Découvrant la scène, l’organisateur serait intervenu, mais trop tard. Les participants devaient amener leur gamelle et il n’y avait pas de repas préparé en commun selon l’organisateur qui insiste : « Il n’était pas du tout question de manger des herbes.  »

Mis en examen

Mais les versions diffèrent. Selon le procureur cité par Ouest-France, l’enquête a démontré « que [l’organisateur] avait laissé les stagiaires consommer le végétal incriminé sans vérifier son innocuité alors même que ce produit lui avait été dûment présenté.  » L’organisateur a été mis en examen et placé en détention provisoire non seulement pour homicide involontaire et blessures involontaires, mais aussi faux et usages de faux et de détention illégale d’armes.

La plante incriminée serait l’œnanthe safranée, un parent de la ciguë, mortelle même à faible dose, confondue par les participants avec de la carotte sauvage. Cette plante est courante dans cette région. En juin, un homme l’a confondu avec du persil turbeculeux, l’a cuisiné et en est mort également.

Rave-party en Lozère : départ progressif et sous contrôle des fêtards

Quelque 10000 personnes ont déboulé samedi soir sur un terrain privé. Il en restait un peu moins de la moitié ce lundi midi.

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Les fêtards rassemblés sur un terrain agricole privé de Lozère en dépit de la limitation des rassemblements liée au Covid-19 quittaient progressivement les lieux ce lundi midi.

Le rassemblement « se compose toujours actuellement d’environ 4500 personnes », a indiqué à la mi-journée la préfecture dans un communiqué. Ils étaient jusqu’à 10 000 ce dimanche après leur arrivée surprise la veille au soir.

« Tous les moyens sont mis en œuvre pour qu’elles quittent les lieux le plus vite et dans les meilleures conditions de sécurité possibles », a indiqué à l’AFP la préfète Valérie Hatsch, qui doit prendre en compte la présence de nombreux touristes séjournant dans les lieux alentour et circulant aussi sur des routes étroites.

Deux centres de tests prêts mardi matin

Dans la matinée, la préfecture de Lozère avait expliqué que « beaucoup de personnes n’étaient pas en état de conduire » et que les gendarmes avaient procédé à des verbalisations pour alcoolémie et usages de produits stupéfiants. Deux centres de dépistage du Covid-19 sont en cours d’installation sur des lieux de passage, à proximité du site, pour être opérationnels mardi matin, a également indiqué Valérie Hatsch.

À la mi-journée, cinquante militaires du groupement de gendarmerie départementale étaient soutenus par trois unités de forces mobiles fournissant un appui total de 180 gendarmes, étayés d’une équipe de police judiciaire.

L’accès barré par les gendarmes

Le rassemblement est situé sur un plateau calcaire, le Causse Méjean, traversé par des gorges, au cœur du parc national des Cévennes, a-t-elle rappelé. Dès dimanche 8 heures, les gendarmes avaient barré l’accès pour empêcher d’autres raveurs de rejoindre la fête où se trouvaient également « de très jeunes enfants », selon la préfète.

Les investigations se poursuivent pour déterminer l’identité de l’ensemble des organisateurs, qui feront l’objet de poursuites judiciaires, prévient la préfecture. « Un des six murs du son est en train d’être démantelé », a indiqué la préfète.

Samedi soir vers minuit, plusieurs centaines de véhicules avaient envahi ce terrain agricole sur la commune d’Hures-la-Parade pour installer cette rave-party. Selon les agriculteurs, -furieux de voir leur récolte menacées-, la mairie et les gendarmes, plus de 10 000 personnes étaient présentes pour cet événement, alors que les manifestations de plus de 5000 personnes sont toujours interdites en France en raison de l’épidémie de Covid-19.

A Perpignan, l’évacuation d’Alain, 250 kg, se prépare…

Alain, atteint d’obésité morbide, est assis à même le sol depuis des mois chez lui, comme nous l’évoquions dans nos éditions du 21 juillet dernier. Début août, un accord a été signé avec les autorités pour organiser sa sortie et son hospitalisation.

perpignan

Après une chute, Alain, atteint d’obésité morbide, est resté cloué au sol, dans l’incapacité de bouger. LP/Marion Meyer

Assis au sol, Alain lit la lettre de Philippe Chopin, préfet des Pyrénées-Orientales, apportée le 4 août par son avocat Maître Codognes. « Hospitalisation dans un service spécialisé dans la prise en charge de patients en grande obésité », « visite de l’ingénieur structure de la Ville », « travaux à réaliser »… Le courrier spécifie les étapes de l’opération d’évacuation à venir qui permettra à cet homme de 52 ans, de sortir enfin de chez lui et d’être soigné. Une lueur d’espoir pour Alain, qui attend depuis des mois.

Atteint d’ obésité morbide, il pèse entre 250 et 300 kg selon le médecin du conseil départemental. Il y a un an après une chute, il est resté cloué au sol, dans l’incapacité de bouger, un calvaire que nous racontions dans nos éditions du 21 juillet dernier. C’est Jean-Claude, son frère, qui le nourrit et le nettoie à l’aide de lingettes. Malgré l’ébauche d’un dénouement, Jean-Claude ne peut masquer sa colère : « Pourquoi attendre septembre? Mon frère va mourir si on ne vient pas l’aider plus vite ».

La préfecture n’envisage pas d’intervention sans travaux de sécurisation. L’appartement d’Alain est situé au premier étage d’un immeuble détérioré du quartier Saint-Jacques, à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Son évacuation par l’étroit escalier de meunier n’est pas envisageable : la seule option est de casser la façade pour agrandir la fenêtre et le plancher doit être étayé afin de supporter le poids des pompiers, des médecins et du matériel. Une opération complexe et risquée.

«Il peut faire un arrêt cardiaque à tout moment»

« Alain devra être déplacé en position assise avec le minimum de mouvement. Il peut faire un arrêt cardiaque à tout moment », précise le Dr Dupré, médecin du conseil départemental. La préfecture souhaite « mettre à profit le mois d’août pour bien préparer cette opération d’évacuation sanitaire ». Alain alerte toutefois sur l’urgence de sa situation : « Avec la chaleur, je ne tiens plus », souffle-t-il entre deux respirations.

« Pour le prendre en charge dans les meilleures conditions, il faut que toutes les équipes soient coordonnées. En août, avec les congés estivaux, cela prend du temps », explique Donatien Diulius, délégué adjoint de l’ARS (agence régionale de santé) d’Occitanie. Avant d’intégrer un centre de nutrition, Alain va être hospitalisé dans un service spécialisé au CHU de Montpellier ou à celui de Toulouse.

« Ce ne sont pas les travaux le problème, c’est le manque de place disponible dans ces services », indique Joël Perez, directeur de cabinet adjoint de la préfecture. Joint par téléphone, le CHU de Toulouse affirme être en capacité d’accueillir Alain, mais « ne pas avoir été contacté puisque c’est à Montpellier qu’il est attendu ». Le CHU de Montpellier n’a su confirmer leurs disponibilités. Pour l’heure, seul le médecin du conseil départemental, le Dr Dupré, a ausculté Alain. Sa dernière visite remonte au 15 juillet dernier. « Humainement, nous sommes préoccupés. Sur l’aspect sanitaire, nous ne pouvons pas dire que la situation est plus urgente qu’il y a un an, quand nous l’avons découverte », dépeint-il.

Pour Maître Codognes, l’avocat des frères, l’état de santé d’Alain se détériore rapidement, surtout sous ces fortes chaleurs : « Les autorités disent avoir besoin de temps alors qu’ils sont au courant depuis un an, combien de temps leur faut-il ? Rien ne justifie qu’on attende septembre »

Allemagne Oberrad : Des logements neufs pour des réfugiés…

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À Oberrad, un nouveau logement pour les réfugiés s’est ouvert. Six familles de Bonames s’y installeront également.

  • Dans la Wiener Straße à Oberrad, 23 familles trouveront un endroit pour se loger
  • Les appartements sont conçus pour six à neuf personnes
  • Un total de 4600 réfugiés vivent dans des logements d’urgence ou temporaires

Pratiquement à la limite de la ville d’Offenbach, un nouveau logement pour les réfugiés s’est ouvert. Les chambres ne soient pas encore entièrement équipées, la cuisine ou les placards muraux manquent en partie, mais dès la semaine prochaine, les premières familles devraient pouvoir emménager dans le nouveau logement de la Wiener Straße à Oberrad.

Il y a de la place pour 23 familles et deux femmes seules ainsi que pour 72 enfants dans ces 26 appartements. Les appartements ont une superficie de 59 à 95 mètres carrés et sont conçus pour six à neuf personnes.

Les coûts s’élèvent à environ neuf millions d’euros, a déclaré Katrin Wenzel de l’Unité de gestion des réfugiés. Toutefois, il ne s’agit que des coûts de construction et de planification. Les coûts de la décoration intérieure des appartements font défaut.

Trop peu d’appartements à Francfort

« On m’a souvent demandé ces derniers jours pourquoi Francfort se dote d’un nouveau hébergement », a déclaré Horst Dörr, chef de l’unité de gestion du logement et des réfugiés. Et il a expliqué qu’il y avait encore 4600 réfugiés qui vivaient dans des logements d’urgence ou temporaires. « La moitié d’entre eux ont le droit de rester, mais ils ne peuvent pas trouver de logement. » Seuls 320 appartements ont été trouvés depuis la mi-2016. En outre, 515 réfugiés vivent dans des hôtels. « Si nous ajoutons 1 100 sans-abri à Francfort qui vivent également dans des hôtels, nous obtenons 1 615 personnes de plus qui cherchent un appartement. Vu l’état actuel du marché du logement, cela semble être une tâche herculéenne.

Une chance pour les personnes sélectionnées qui peuvent s’installer dans le nouveau logement. Je ne pense pas que nous parlions de luxe ici. Par exemple, une famille de neuf personnes emménagera dans un appartement de quatre pièces de 95 mètres carrés. « C’est beaucoup mieux que le logement de l’ancien aéroport de Kalbach-Bonames », a déclaré Peter Hovermann, directeur général de l’Association des foyers sociaux de Francfort.

Même si un appartement de 95 mètres carrés paraît grand au départ, explique Holger Volz, chef de division à l’association de Francfort, « quand sept enfants et leurs parents sont assis à la table à manger, on se trouve à l’étroit ».

[…]

(Traduction libre Christian Hofer

Italie , Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

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Une Lampédusienne raconte l’enfer vécu sur l’île avec les débarquements de migrants qui ne s’arrêtent jamais : « Regardez ce qu’ils font ici… ». Sconcertante. Nel frattempo il vergognoso #governoclandestino spalanca i porti e permette ai clandestini di infettare mezza Italia. BASTA, gli Italiani sono stanchi! 🔴VIDEO COMPLETO👉 https://t.co/6E2S7ObRbr pic.twitter.com/y6rqwdAR4z — Matteo Salvini (@matteosalvinimi) August 8, 2020 […]

Ecologie : Le gouvernement Macron va réintroduire les insecticides « tueurs d’abeilles »

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Le ministère de l’agriculture et de l’alimentation a annoncé le retour des néonicotinoïdes sur la betterave, pour lutter contre une maladie transmise par un puceron.

Les producteurs de betteraves ont eu gain de cause. Le ministère de l’agriculture et de l’alimentation a annoncé, jeudi 6 août, la mise en place d’un plan d’aide à la filière, confrontée à la jaunisse de la betterave, une maladie virale transmise par un puceron (Myzus persicae).

Cette maladie peut entraîner des baisses de rendement pouvant atteindre 30 % à 50 % – selon les estimations des professionnels, reprises par le communiqué ministériel. Ces derniers disent être face à une « crise inédite ».

Outre la promesse d’indemnisations et le lancement d’un effort de recherche ad hoc, le gouvernement annonce pour l’automne une « modification législative » permettant « pour la campagne 2021 et le cas échéant les deux campagnes suivantes tout au plus » des dérogations permettant l’usage de semences enrobées de pesticides dits « néonicotinoïdes ». Au ministère de l’agriculture, on assure que ces dérogations ne concerneront que la betterave.

En France, la loi sur la biodiversité de 2016 a interdit ces insecticides dits « tueurs d’abeilles » à compter du 1er septembre 2018 ; l’Union européenne a également interdit les usages des principaux représentants de cette famille chimique. « Ces interdictions sont essentielles pour lutter contre le déclin massif des colonies d’abeilles et des pollinisateurs sauvages », expliquait alors le ministère de l’agriculture et de l’alimentation, dans un communiqué d’août 2018.

Lire notre article de 2018 : Les betteraviers français tournent la page des néonicotinoïdes

Le retour des « néonics » était l’une des principales revendications des betteraviers, d’autant que d’autres pays européens dérogent eux aussi à l’interdiction. « C’est une perte probable supérieure à 150 millions d’euros et qui pourrait même atteindre les 200 millions d’euros pour les planteurs, l’ampleur de l’épidémie étant croissante, assurait Franck Sander, président de la Confédération générale des planteurs de betteraves (CGB), le 31 juillet, dans une lettre ouverte au premier ministre. Certains agriculteurs perdront plus de 1 000 euros par hectare, un drame pour ces exploitants ! »

source

La santé publique menacée par des scientifiques corrompus qui faussent la gouvernance des pays. Le cas Coca-Cola.

Screenshot_2020-08-07 La santé publique menacée par des scientifiques corrompus qui faussent la gouvernance des pays Le cas[...]

Coco-Cola, l’enquête interdite. William Reymond, journaliste, a décidé d’enquêter sur la boisson qui l’a accompagnée durant toute son adolescence. Il n’est pas au bout de ses surprises quand il découvre que Coca-Cola a été impliqué dans des affaires de meurtres, ou encore de l’implication de la marque dans la Seconde guerre Mondiale aux côtés des Nazis.

D’une enquête qu’il présente comme la grande démocratisation d’un génie Coca, il nous emmène dans la vraie histoire de Coca-Cola. Celle dont le conte n’avait pas entendu parlé, mais celle que nous allons vous raconter.

A partir de 29 minutes. Sa collaboration troublante avec les Allemands durant la 2ème guerre. Sous le régime nazi, le marché allemand était considérable.  Après la 2ème guerre, le patron Coca Cola de l’époque va rester au pouvoir sans être inquiété durant 30 ans.

Dévoyer la santé publique n’est pas punissable. Cette activité hautement sensible n’arrive plus à être cadrée par une autorité étatique qui veille sur la sécurité des populations. De fait, des privés de la finance cogouvernent avec ce qu’il reste d’Etat public, eux-mêmes trop proches de la galaxie nourrie aux dollars des marchés. Récemment, nous avions vécu le Lancet gate, et notre ami Slobodan Despot qui écrivait au cosignataire suisse de la fausse étude, le Dr.Frank Ruschitzka de Zurich. Il lui demandait s’il pensait démissionner… A notre connaissance, celui-ci n’a toujours pas répondu au courrier de l’Antipresse. Et la galaxie de la santé suisse n’a probablement pas demandé des comptes en ouvrant par exemple une enquête pour tromperie intellectuelle pouvant avoir des conséquences sur la vie d’autrui…

Depuis de nombreuses années nous tentons de comprendre ce qui pourra un jour être jugé en tant qu’escroquerie financière et monétaire. Et voilà que depuis quelques mois nous découvrons une intensification de l’escroquerie scientifique à des fins inconnues et non motivées. Le public non averti en paie le prix au propre et au figuré.

Coco-Cola a corrompu des scientifiques

Il y a deux jours, des universitaires, issus notamment d’Oxford et de Bocconi à Milan, publiaient un papier faisant état d’une énième truanderie scientifique. Coca-Cola a payé il y a quelques années des scientifiques des universités de Virginie et du Colorado pour minimiser le rôle du sucre dans l’obésité (source ICI). 1,5 million de dollars a été versé au Global Energy Balance Network (GEBN), une organisation censée promouvoir l’équilibre énergétique (!) à travers le globe. A ce sponsoring, il convient de rajouter plusieurs millions affectés à des chercheurs affiliés à l’association afin de mener ces «recherches» orientées en faveur de l’industrie du soda.

 

A World in Healthy Energy Balance.

Les 2 principales conclusions de l’étude de 2020

  1.  L’entreprise d’Atlanta demandait à des scientifiques de tricher sur les causes de l’obésité américaine dans le cadre de leurs publications. Coca-Cola  demandait, à coups de billets verts, d’émettre des études qui expliqueraient l’obésité par le manque d’exercice, et non par le rôle d’une mauvaise alimentation ou de la consommation de sucre.

  2. Côté discrétion financière, des artifices comptables ont tenté de dissimuler les donations/corruptions.

Cette publication est un non évènement pour au moins 2 raisons

La première est qu’elle s’en prend à GEBN qui a disparu en 2015, soit un an après sa création. La seconde est que les publications et préconisations de GEBN ont suffisamment choqué à l’époque et fait monter au créneau de grands experts en nutrition dès août 2015. Ceux-ci avaient exprimé leur inquiétude face à ce groupe de pression GEBN, dirigé par des scientifiques qui minimisent les risques de la malbouffe et des boissons sucrées en faveur de l’exercice dans la lutte contre l’obésité – et reçoit des fonds du géant des boissons gazeuses Coca-Cola.

Le 30 novembre 2015, le groupe a annoncé sur son site Web qu’il cesserait ses activités immédiatement. Peu de temps avant cela, le scientifique en chef de Coca-Cola annonçait son départ à la retraite. Coca-Cola ne l’a pas remplacé (Source Wikipédia).

L’entité GEBN a depuis muté pour réapparaître en Allemagne sous le nom de

https://i1.wp.com/gebn.org/wp-content/uploads/2020/03/GEBN-Global-Balance-Network-200x80.png?resize=200%2C80&ssl=1*

Une corruption qui impacte la gouvernance des Etats

Ainsi, nous sommes confrontés, pour la énième fois, à la corruption de scientifiques par les acteurs de la haute finance à des fins qui desservent l’intérêt public. Dans le cas précité, les mensonges de ces scientifiques grassement payés, impactent la santé de l’humanité entière. Toutefois, la perversion est ailleurs.

GEBN est une structure construite sur le modèle du partenariat public-privé, en vogue dans tous les espaces autrefois publics. Donc Coco-Cola a corrompu des scientifiques qui, de par le fonctionnement  de ce genre de structure, sont financés aussi par l’argent public, soit par nos impôts.

Le coupable est régulièrement un trio composé de: financiers, de scientifiques, et d’un réseau d’ONG, qui cherche à influencer dans le sens des intérêts privés les groupes concernés dont ce qu’il reste de l’Etat public. C’est le rôle des partenariats publics-privés. Regardez ce que l’ancien site de GEBN dit au sujet de ce que l’entité doit faire:

  • Servir de centre virtuel pour sensibiliser les décideurs politiques, les instituts de recherche, les gouvernements, les médias et le public, à travers la formation, l’éducation et la communication mondiale et le plaidoyer sur l’importance de l’équilibre énergétique.
  • Fournir une plate-forme pour le développement et le test de solutions innovantes, pratiques et évolutives.
  • Être la voix de la science dans les dialogues et les discussions sur les politiques publiques sur l’amélioration des modes de vie sains.
Bref, comme les gouvernements paient, ils reçoivent en retour des recommandations. A l’heure de la crise du COVID-19, où les recommandations émises par le philanthrope Bill Gates abondent et sont largement suivies par les décideurs politiques, nous sommes appelés à rester vigilants.
C’est la raison pour laquelle ce cas de corruption qui semble banal doit nous pousser à creuser plus loin et de nous interroger sur l’identité du financeur.

*

Qui sont les principaux actionnaires de Coca Cola?

Chercher toujours la source financière pour mettre au jour les corrupteurs.

Voici les principaux propriétaires de Coca-Cola

Shareholders
Name Equities %
Berkshire Hathaway, Inc. (Investment Management) 400,000,000 9.31%
The Vanguard Group, Inc. 307,628,771 7.16%
Capital Research & Management Co. 232,215,000 5.41%
SSgA Funds Management, Inc. 183,307,489 4.27%
Wellington Management Co. LLP 102,693,257 2.39%
BlackRock Fund Advisors 95,489,817 2.22%

Nous y retrouvons fatalement les acteurs qui se passionnent pour notre « santé », menés par Berkshire Hathaway est un groupe qui appartient principalement à

Top 10 Owners of Berkshire Hathaway Inc

Stockholder Stake Shares
owned
Total value ($) Shares
bought / sold
Total
change
The Vanguard Group, Inc. 9.94% 138,176,198 24,665,833,105 -1,392,309 -1.00%
BlackRock Fund Advisors 5.78% 80,430,655 14,357,676,224 -546,277 -0.67%
SSgA Funds Management, Inc. 5.50% 76,456,433 13,648,237,855 -1,818,239 -2.32%
Bill & Melinda Gates Foundation T… 3.23% 44,912,525 8,017,334,838 -5,000,000 -10.02%

La fondation caritative des Gates est le 4ème actionnaire du fonds d’investissement de Warren Buffet, qui à son tour est le 1 er actionnaire de Coco-Cola. De plus M Bill Gates a co-présidé durant de nombreuses années le groupe financier jusqu’à ce qu’il se passionne pour la vaccination de 7 milliards d’humains.

La Bill et Melinda Gates Foundation détient aussi des actions Coca-Cola en direct (Sec.Gov)

COCA COLA FEMSA S A B DE C V SPONSORD ADR REP 191241108 250,018 6,214,719 SH

Tout naturellement, des cannettes de Coca sont les bienvenues sur nombre d’apparitions télévisées des 2 milliardaires.

Coca-Cola original taste : Eau gazéifiée ; sucre ; colorant : caramel (E 150d) ; acidifiant : acide phosphorique ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine.
Coca-Cola sans sucres : Eau gazéifiée ; colorant : E150d ; acidifiants : acide phosphorique, citrate de sodium ; édulcorants : aspartame, acésulfame-K ; arômes naturels (extraits végétaux), dont caféine. Contient une source de phénylalanine.

 

*

Le management de Coca Cola

Alors pensez-vous que le fait de corrompre des scientifiques pour publier de fausses informations ait coûté sa place au CEO du groupe Coca-Cola? Pas du tout. Les actionnaires ont maintenu Muhtar Kent au poste de CEO, fonction que le turco-américain occupait depuis 2008. Au moment de son départ

La santé publique semble toujours plus menacée par des intérêts privés méconnus, et une autorité publique rendue impuissante par son endettement, et une proximité problématique avec lesdits privés.

Les partenariats publics-privés menacent la sécurité des populations quand il s’agit de santé publique, phénomène que nous devons résolument rejeter.

*

 Annexe:
Des experts au service de Coca Cola interviennent dans la crise du Covid-19

Voici une liste de quelques experts qui ont été rémunérés par le groupe de soda.

Vous trouverez ci-dessous la liste des experts avec lesquels nous avons travaillé de 2010 à 2019. Le montant total des financements apportés sur cette période, comprenant les frais de déplacement, les dépenses connexes et les honoraires professionnels en France est de 90 273 €.

France Bellisle, Docteur en Sciences
Xavier Bigard, Professeur, physiologiste, nutritionniste
François Carré, Professeur, cardiologue et médecin du sport

Arnaud Cocaul, Médecin nutritionniste
Richard C. Delerins, Ph.D., anthropologue EHESS Paris
Charles-Yannick Guezennec, Médecin du sport
Bernard Guy-Grand, Professeur des universités honoraire
Pascale Hébel, Directrice du Pôle Consommation et Entreprise au CREDOC
Emmanuelle Lecuyer, Diététicienne nutritionniste
Sandrine Leroux, Diététicienne nutritionniste
Thérèse Libert, Diéteticienne nutritionniste
Pascale Modaï, Médecin nutritionniste
Christine Rodier, Anthropologue, Université de Lausanne
Claire Rousseau, Diététicienne nutritionniste
Jean-Louis Schlienger, Professeur honoraire de la faculté de médecine de Strasbourg

De la COVID-19 à la diabésité : d’une pandémie à l’autre – Des pistes pour le monde d’après Jean-Louis SCHLIENGER, Université de Strasbourg

Gabriel Tavoularis, Expert de la consommation alimentaire au CREDOC
Julie Viel, Diététicienne nutritionniste
Bernard Wayslfeld, Médecin nutritionniste et psychiatre

Certains experts avec lesquels nous avons travaillé en France n’ont pas souhaité que leur collaboration soit mentionnée. Le montant global du financement accordé à ces experts au cours des cinq dernières années est d’environ 66 650€.

source:https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/06/la-sante-publique-menacee-par-des-scientifiques-corrompus-qui-faussent-la-gouvernance-des-pays-le-cas-coca-cola/

Le secrétaire d’Etat Joël Giraud traité de complotiste pour avoir posé une question sur les chem trails

chem trails

Du Canard enchaîné à BFM TV en passant par Le Point, tous les médias garants de ce qu’il est permis de penser tombent sur le dos de Joël Giraud, nouveau secrétaire d’Etat à la Ruralité. Imaginez un peu : le bonhomme serait complotiste, ce qui clôt tout débat.

En fait, ce qui est reproché à Joël Giraud, c’est un entretien accordé il y a quelques années à l’Agence Info Libre dans lequel il s’interrogeait sur le phénomène des chemtrails.

Alors député, Joël Giraud n’affirmait rien. Il se limitait à expliquer pourquoi il avait déposer une question parlementaire à ce sujet. Il s’inquiétait de savoir s’il pouvait s’agir d’épandages de produits chimiques provoquant des maladies respiratoires chez les populations concernées.

En voilà une question ! Un député qui s’inquiétait de la santé des Français sans vouloir leur imposer un masque et un vaccin en contrepartie, on aura tout vu. Pour un peu, il avouerait avoir lu le livre La guerre secrète contre les peuples de la regrettée Claire Séverac.

Le plus regrettable, c’est d’avoir vu sur les réseaux sociaux des personnalités suivies du camp national – notamment Damien Rieu – se joindre à la meute et dénoncer la présence d’un conspirationniste parmi le gouvernement. Le camp national sera toujours perdant lorsqu’il adopte la sémantique de l’adversaire et se soumet par principe aux vérités officielles. La liste des reproches mérités à faire à ce gouvernement est suffisamment longue.

Sur le sujet des chemtrails, voici un reportage italien (traduit en français) :

Afrique : des Africains ont pratiqué la traite négrière , revoyez votre histoire

Esclaves

Le professeur Abiola Félix Iroko a donné une interview sur Bénin Web TV où il contredit les notions d’histoire de certains anticolonialistes. Il rappelle que les Noirs vendaient eux-mêmes des esclaves de leur même couleur. 

« Des Africains en ont donc profité. » L’historien béninois Abiola Félix Iroko a accordé une interview au média local Bénin Web TV.  Il s’est fendu d’un rappel d’histoire en cette période où des anticolonialistes déboulonnent des statues et crient que le privilège blanc existe de sources sûres.

Ce professeur au département d’histoire et d’archéologie de l’université d’Abomey-Calavi (Bénin) a déclaré le 25 juillet dernier : « Lorsqu’on parle de la traite négrière, les gens n’accusent que les Blancs. Mais ils sont venus (en Afrique) en acheteurs et nous (Africains) avons été des vendeurs. » Il assure que la vente des esclaves n’était « pas seulement un phénomène régalien », puisque « le roi même en vendait ». 

Abiola Félix Iroko détaille : « Le roi Adandozan a vendu la mère de son frère consanguin (prince Gakpe) devenu Guézo, par la suite ». Comme le relaye le site web Salon Beige, il s’agit du neuvième roi d’Abomey entre 1797 et 1818 dont le nom, son règne et ses symboles ont été effacés de la tradition historique d’Abomey.

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« Nous, Africains, étions des vendeurs »

Cet historien – titulaire d’un doctorat de lettres et de sciences humaines de l’université Paris Panthéon-Sorbonne – le confirme clairement : « Il n’y a pas d’acheteurs sans vendeurs, nous (Africains) étions des vendeurs », assurant que lorsque la traite a été supprimée, « des Africains étaient contre l’abolition ».

Même « un roi de Dahomey dont je tais le nom était également contre l’abolition ». D’après lui, la traite négrière est un « phénomène malheureux » qu’il faut ranger « parmi les crimes contre l’humanité » dont les Africains aussi sont « en partie responsables », rappelle Abiola Félix Iroko. Il estime qu’il faut « davantage » condamner les vendeurs dans cette traite négrière étant donné qu’il aurait « des liens d’affinité et de parenté avec celui qui est vendu ».

La traite a continué même après l’abolition

Comme le révèle l’expert, après l’abolition, des Africains ont « repris le commerce ». « Certains sont revenus chez eux avec des noms à consonance portugaise, Da-Silva, D’Oliveira ». Mais d’autres « venus au XIX siècle se sont transformés, à leur tour, en négrier » et ont acheté des esclaves à leur tour afin d’en « convoyer pour leurs correspondants ».

Lors du capitalisme et « surtout du machinisme », les machines pouvaient alors accomplir en une « journée » ce qu’un esclave pouvait accomplir en 5 jours. La traite négrière a été supprimée, mais ceux qui en étaient à l’initiative « ne l’ont pas fait » car « ils aimaient les Noirs », affirme Abiola Félix Iroko. « Ce n’était pas par philanthropie comme beaucoup le pensent », termine le professeur.

Source

esclaves français

 

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