U.S.A : Des ancêtres de Kamala Devi Harris étaient de très grands propriétaires d’esclaves

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Kamala Devi Harris, – son nom complet – , mais Devi, ça fait trop indien, est membre du Parti démocrate et sénatrice pour la Californie, au Congrès depuis 2017

Elle se porte candidate à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle de 2020 mais se retire avant le début officiel des primaires. Le 11 août 2020, Joe Biden la désigne pour être sa colistière et la candidate démocrate à la vice-présidence des États-Unis.

Un des ancêtres de Kamala Harris, Hamilton Brown, était l’un des plus grands propriétaires d’esclaves de Jamaïque. Potentiellement, cette grande féministe pourrait également avoir des ancêtres violeurs, ce qui ferait d’elle une fausse représentante des victimes noires du racisme systémique que seraient les afro-américaines…

L’année dernière, des sites de fact-checking avaient contesté cette information, affirmant qu’il n’existait pas de preuve de cette filiation. Cette preuve est maintenant apportée : dans un article de 2018, le père de Kamala Harris écrivait lui-même que sa grand-mère paternelle était descendante de ce Hamiton Brown, propriétaire de plantations et d’esclaves.

Source en anglais : Great Game India

Encore un petit supplément à  ne pas louper!

Forum, 14.08.2020, RTS – Le grand débat – Biden-Harris: ticket gagnant?

Un nouveau « Grand Débat » de la RTS, entre Daniel Warner, politologue américano-suisse et fervent Démocrate, Nicole Bacharan, historienne férocement anti-Trump, politologue, spécialiste patentée à la RTS pour les États-Unis et Raphaël Grand, un gauchiste qui a fait ses preuves et, par conséquent, est monté en grade pour devenir le correspondant de la RTS à Washington pour les présidentielles.

Faire de son masque un dazibao , Qu’és Aco ?

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Un lecteur nous adresse une photo pour nous montrer comment, lorsqu’il est obligé de porter le masque, il en fait un support pour dénoncer la dictature sanitaire imposée au nom de la lutte contre le Covid 19.

Dans le cas de la photo, il a voulu faire passer le message qu’il ne fallait pas faire confiance à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et qu’il refuserait le vaccin contre le coronavirus.

Ce lecteur invite ceux qui désapprouvent cette dictature sanitaire à faire de même et à se servir du masque, lorsqu’il n’est pas possible de ne pas le mettre, pour en faire un dazibao.

Le dazibao (mot chinois signifiant littéralement « journal à grands caractères ») est une affiche rédigée par un simple citoyen, traitant d’un sujet politique ou moral, et placardée pour être lue par le public.

Par extension, le mot est aujourd’hui employé pour désigner les publications non officielles des dissidents à un régime totalitaire.

Il vole une bombe lacrymogène à deux policiers de Paris et les asperge à bout portant – vidéo

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En voulant maîtriser un conducteur alcoolisé, deux policiers ont été agressés dans la nuit du 1er au 2 août dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Il leur a pris une bombe lacrymogène et l’a utilisée contre eux avant de prendre la fuite. Il a été interpellé plus tard.

 

Deux fonctionnaires de la Division régionale motocycliste (DRM) de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de Paris ont été agressés lors d’un contrôle routier dans la nuit du 1er au 2 août dans le XVIIIe arrondissement, rapporte Actu17.

L’agression a eu lieu vers 3 heures à hauteur de la porte de Clignancourt, lorsque les deux motards ont tenté de maîtriser un individu en état d’ébriété qui conduisait sa voiture à vive allure. Mais lors de cette interpellation il leur a volé une paire de menottes et une bombe lacrymogène.

​Comme le montre une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, le malfaiteur utilise ensuite cette bombe contre les policiers, aspergeant également un autre homme et une jeune femme qui s’interposaient.

Trois personnes interpellées

Après l’arrivée des renforts, l’agresseur, qui avait pris la fuite à pied, a été interpellé. Ses deux passagers ont été également placés en garde à vue sans que l’on sache s’il s’agit de l’homme et de la jeune femme présents sur la vidéo.

Légèrement blessés, les deux fonctionnaires ont porté plainte. Une enquête a été ouverte.

Toulouse. Un patient de l’hôpital entre par effraction dans l’aumônerie et boit le vin de messe

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Perturbé, un patient de l’hôpital de Rangueil à Toulouse est entré par effraction dans l’aumônerie de l’établissement en cassant la poignée de la porte, vers 19 heures, ce jeudi 30 juillet. Il s’est ensuite emparé de quelques médailles qui se trouvaient là et, sans doute assoiffé, a bu le vin de messe.

Il a continué son périple dans les étages de l’hôpital où il a dérobé de la nourriture et des boissons. Lorsqu’il a été surpris, il a été entendu par la police, puis conduit aux urgences.

Claire Lagadic

Au Maroc, des milliers de baigneurs défient le Covid-19 – photos

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Par Manal Zainabi

Au Maroc,1.046 cas de contamination au Covid-19 ont été enregistrés jeudi 30 juillet, en l’espace de 24h seulement. Un record. Pourtant, les plages du royaume, notamment celles de la côte casablancaise continuent, elles aussi, de battre des records de fréquentation. Les mesures sanitaires y sont rarement respectées. Reportage.

La pandémie du nouveau coronavirus n’est pas terminée au Maroc. C’est le message que ne cessent de ressasser les autorités marocaines, en menaçant de reconfiner les agglomérations où des foyers de contamination sont détectés. Ni ces menaces, ni le reconfinement de Tanger et encore moins la récente interdiction des déplacements de et vers huit villes marocaines ne découragent des milliers de baigneurs. Ceux-ci continuent à affluer en masse vers les plages en ces temps de grande chaleur. Le nombre de ces nageurs explose surtout les week-ends.

Dimanche 26 juillet à midi, le mercure affichait plus de 28 degrés Celsius dans le poumon économique du royaume. Le long des plages du quartier industriel d’Ain Sebaa, comme le long de la corniche d’Ain Diab ou un peu plus loin à Tamaris, sous une marée de parasols, c’est serviette contre serviette, transat contre transat et visages à l’air libre que les baigneurs bronzent… Tous semblent avoir tourné la page du Covid-19 depuis le 25 juin, quand les plages ont été rouvertes au public en vertu de la phase 2 du déconfinement.

Le soleil fait oublier le Covid-19

Pourtant, au niveau des entrées principales de chaque plage, de grandes pancartes sont plantées, bien en vue, pour leur rappeler les règles de distanciation physique. Il y est indiqué, illustrations à l’appui, qu’il faut porter un masque et respecter un mètre de distance entre deux personnes et six mètres entre deux groupes. Sauf qu’en se rapprochant du grand bleu, rares sont les têtes qui se lèvent pour lire les consignes «anti-Covid».

Manal Zainabi
Des vues des plages de Ain Sebaa, Ain Diab et Tamaris à Casablanca

Badr fait partie de cette majorité qui ne veut rien savoir. Allongé sur sa serviette de bain sur le sable brûlant de la plage Nahla, près d’Ain Sebaa, il dit ne pas être préoccupé par le virus. Cet élève ingénieur casablancais est venu avec une dizaine d’amis profiter du beau temps pour se rafraîchir.

«Si on le pouvait, on resterait sur la plage jusqu’à la tombée de la nuit. C’est dire à quel point ce plaisir nous a manqués pendant les mois de confinement total» du 20 mars au 11 juin 2020, confie-t-il à Sputnik.

Badr et ses amis doivent quitter les lieux dans trois heures. C’est le règlement établi depuis le déconfinement partiel, décrété notamment à Casablanca, où l’accès à la plage n’est autorisé que de 8h à 18h.

Les mesures sanitaires noyées dans la foule

Comme la plupart des baigneurs, personne dans le groupe des jeunes amis ne porte de masque ni ne respecte les six mètres rappelés sur les pancartes. «Il fait beaucoup trop chaud, si on met nos masques on va étouffer», se défausse Badr.

«Si personne ne respecte la distanciation, c’est parce qu’il y a trop de monde, on n’y peut rien. C’est l’été et on doit en profiter […] Il ne faut pas vivre dans l’angoisse et la peur à cause de ce maudit virus, la vie doit continuer», poursuit le jeune homme avant d’aller piquer une tête.

C’est cet état d’esprit qui semble régner le long de la côte casablancaise. Une quinzaine de kilomètres plus loin de la plage Nahla, au niveau de celle de Ain Diab, la foule est encore plus dense. Chaque été, cette plage bat tous les records d’affluence et cette année ne fait pas exception. Malgré le Covid-19, elle est noire de monde, même plus que d’habitude.

Au milieu de la cohue, lunettes sur le nez et chapeau de paille sur la tête, Aya, la vingtaine, profite du soleil sans masque. «C’est un vrai plaisir de retrouver le soleil, la planche de surf, la liberté. Je n’ai jamais vu autant de monde ici, on a l’impression que le corona n’est plus qu’un lointain souvenir», lance-t-elle à Sputnik avec un grand sourire.

Avec ses deux cousines, la jeune surfeuse est venue échapper à la canicule, et pas seulement.

«J’avais hâte de retrouver enfin la planche de surf et heureusement que le Covid ne survit pas, semble-t-il, dans l’eau de mer», ironise Aya.

Elle n’est pas la seule à faire allusion aux conclusions de certaines études scientifiques, comme celles menées par l’Institut spécialiste des recherches marines en France (IFREMER) ou encore par le Haut Conseil français de la santé publique (HCSP), évoquant des risques faibles de contamination dans l’eau de mer.

L’eau de mer, geste barrière suprême?

Sauf que même ces études insistent sur le strict respect des gestes barrières sur le sable. Une mesure primordiale que Badr, Aya et leurs amis semblent avoir oubliée, à l’heure où les contaminations au Covid-19 repartent à la hausse dans le royaume. Avec Tanger qui compte 22,86 % des cas, Casablanca est l’une des villes les plus touchées, totalisant 25,77 % jeudi 30 juillet. Journée qui a connu 1.046 nouveaux cas positifs au Maroc, dont 265 nouveaux cas dans la seule région de Casa-Settat.

«Depuis le début de la troisième phase de la levée du confinement, nous avons constaté qu’il y a eu un relâchement dans le respect des mesures d’hygiène et barrières», avait regretté Khalid Ait Taleb, ministre de la Santé, en commentant la hausse des cas de Covid-19 dans le royaume.

Certains baigneurs, préoccupés par cette hausse inquiétante des contaminations, tentent tant bien que mal de prendre des précautions. Soukaina et sa petite famille font partie de cette minorité «vigilante». Jouant sur le sable de la plage de Tamaris (à 10 km de Ain Diab) avec sa petite fille de quatre ans, elle garde son masque bien en place et ne laisse pas sa petite toucher le sien.

«On a beaucoup hésité avant de venir à cause du virus, mais notre petite a tellement insisté qu’on n’a pas pu lui dire non […] Elle était tellement excitée à l’idée de venir à la plage ce matin qu’elle s’est réveillée à l’aube», confie Soukaina à Sputnik.

À Tamaris, il y a certes moins de monde qu’à Ain Diab ou à Ain Sebaa, mais les masques y sont ici aussi quasi inexistants.

Les autorités dépassées

De même, la distanciation est très peu respectée. Pour protéger son enfant, Soukaina a délimité elle-même sur le sable sa «safe zone», comme elle l’appelle.

«Les voisins ne respectent pas la distance de sécurité, donc je fais avec les moyens du bord pour protéger ma petite», murmure-t-elle. Sur les réseaux sociaux, l’imprudence des baigneurs ne semble étonner que de rares internautes. Elle intrigue surtout les étrangers.

Cet Algérien s’étonne de voir autant de baigneurs sur la plage de Saidia (dans l’extrême Est du Maroc), alors que c’est le désert quelques centaines de mètres plus loin sur la plage algérienne voisine. «Ici il y a corona, au Maroc il n’y a pas de corona», ironise-t-il.

Le ministère de l’Intérieur a prévenu –en vain– que les autorités «n’hésiteraient pas à appliquer les sanctions prévues par la loi», en cas de «relâchement» dans le port du masque, obligatoire dans le pays. Les peines vont jusqu’à trois mois de prison et/ou jusqu’à 1300 dirhams d’amende (115 euros). Les baigneurs ne jurent pourtant que par la baignade et le bronzage, dans leur écrasante majorité sans la moindre protection. Face à ces foules, les forces de l’ordre jouent les figurants. Certains patrouilleurs se déplacent à cheval à Ain Diab. Ils parlent de temps à autre aux plus imprudents et passent leur chemin.

source:https://fr.sputniknews.com/maghreb/202007301044179881-maroc–des-milliers-de-baigneurs-defient-le-covid-19-/

Colombes : le maire compare les forces de l’ordre à la police de Vichy, Darmanin veut porter plainte

L’élu des Hauts-de-Seine a évoqué les policiers qui selon lui « avec le même zèle » que ceux de l’époque « traquent les migrants, les sans-papiers, les déboutés des droits humains », provoquant la réaction courroucée du ministre de l’Intérieur.

Joseph Darnand, secrétaire général au maintien de l'ordre, et le sous-préfet de Vichy, pendant la minute de silence lors de la prise d'armes au monument aux morts à Vichy, vers 1940.

Le discours a quelques jours mais la polémique est montée dimanche. Le ministre de l’Intérieur a annoncé vouloir porter plainte contre le nouveau maire EELV de Colombes (Hauts-de-Seine), après que celui-ci a dressé une filiation entre les forces de l’ordre actuelles et celles de Vichy.

« Les policiers français, les gendarmes français qui ont obéi aux ordres de leurs supérieurs en mettant en œuvre la rafle du Vel d’Hiv, et d’autres rafles encore après et ailleurs, sont les ancêtres de ceux qui aujourd’hui, avec le même zèle, traquent les migrants, les sans-papiers, les déboutés des droits humains, ces êtres vivants qui essaient de survivre dans le dénuement », a déclaré Patrick Chaimovitch lors de la commémoration qui s’est déroulée dans la commune le 19 juillet.

VIDÉO. Colombes : le maire compare les forces de l’ordre à la police de Vichy

Un propos qu’il a confirmé le lendemain sur Twitter, voyant dans cette cérémonie « un moment émouvant au cours duquel j’ai tenu à faire le lien entre la rafle du Vel d’Hiv et d’une part tous les génocides avant et après le nazisme ; d’autre part les migrants pourchassés partout en Europe parce qu’ils sont différents ».

Mais son propos a fait le tour des réseaux sociaux dans la semaine et des syndicats de police ont demandé à leur ministre de réagir.

Le maire regrette que ses propos aient « pu porter à confusion »

Dimanche soir, Gérald Darmanin a donc répondu sur le réseau social : « si les propos scandaleux et insupportables envers la police et la gendarmerie de la République sont confirmés, je déposerai plainte envers le maire de Colombes qui a comparé les forces de l’ordre à la police de Vichy », a-t-il écrit dimanche dans la soirée.

« Confiance et soutien aux forces de l’ordre visées par des propos inacceptables », a poursuivi en fin de matinée ce lundi la préfecture de police de Paris, tandis que la préfecture des Hauts-de-Seine dénonçait également « l’amalgame inacceptable réalisé par le maire de Colombes entre la police de Vichy et la police et la gendarmerie républicaines ».

Dans un communiqué publié ce lundi midi, le maire dit « regretter que [s] on propos ait pu porter à confusion » et rappelle son « soutien aux policiers et aux gendarmes qui exercent la lourde responsabilité républicaine de sécurité dans des conditions extrêmement difficiles ».

« Il n’y a pour moi aucune comparaison possible entre police et gendarmerie d’un Etat démocratique d’une part, et police et gendarmerie de l’État pétainiste d’autre part », insiste Patrick Chaimovitch, réfutant tout parallèle entre « le sort des migrants » et celui « des Juifs promis à l’extermination ». En mairie de Colombes, on espère désormais que ce communiqué suffira à apaiser les esprits et éteindre la polémique.

« On ne peut pas comparer des choses qui ne sont pas comparables »

Il rétablit en tout cas une certaine nuance qui faisait défaut au discours initial, selon l’historien Jean-Marc Berlière. Pour l’auteur de « Polices des temps noirs » (éd. Perrin), spécialiste des forces de l’ordre sous Vichy, « on ne peut pas comparer des choses qui ne sont pas comparables. Ces propos, c’est n’importe quoi. »

Le professeur émérite de l’université de Bourgogne estime que « la police n’a pas fait preuve d’un zèle particulier » lors de la rafle du Vélodrome d’Hiver, la plus grande arrestation massive de Juifs réalisée en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Entre les 16 et 17 juillet 1942, 13 150 personnes, dont près d’un tiers d’enfants, sont arrêtées avant d’être déportées vers Auschwitz.

« Cette opération était exigée par les nazis, qui voulaient au moins 20 000 arrestations, reprend Jean-Marc Berlière. Ils avaient d’ailleurs estimé que la police française avait mal fait son travail, qu’elle aurait pu arrêter plus de monde. Alors oui, il y a eu des salauds, comme il y en a partout, mais c’est inexact de dépeindre tous les policiers de l’époque comme des bouffeurs de Juifs. »

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Résistance , santé : Le mouvement anti-masque est né

« À peine les groupes anti-masque étaient-ils constitués sur les réseaux sociaux (à l’exception de Twitter qui n’admet pas les groupes), que la chaîne franco-israélienne socialo-sioniste néolibérale de Patrick Drahi dénonçait les résistants à cette injonction venue de l’OMS et des réseaux mondialistes liés au Big Pharma. Logique !

Déjà, le titre, qui sent bon la Kommandantur, la collaboration, la chasse aux résistants :

Qui sont les Français réfractaires au port du masque obligatoire ?

Primo, ce n’est pas inscrit dans la loi, donc cela ne revêt pas un caractère obligatoire comme on l’entend d’une loi votée avec tous ses décrets. Secundo, s’il le faut, nous boycotterons les commerces qui nous obligent à nous museler, quitte à mourir de faim. Ce gouvernement illégitime peut aller se brosser avec ses masques et ses PV à 135 euros, avec tout ce qu’il pique aux Français depuis des années…

Car il s’agit bien du même gouvernement, ouvertement néolibéral, c’est-à-dire anti-services publics, antifrançais, antichrétien et antisocial, un même gouvernement dont seules les têtes changent. Machin remplace Bidule, qui a remplacé Truc, qui de toutes façons bossent pour le CAC40, la Banque et les réseaux de pouvoir en dessous. L’hydre peut continuer tranquille à berner les croyants en la démocratie.

La démocratie n’existe pas, tout est occulte dans notre pays, et le parlementarisme est une farce. Heureusement pour la bande Gates-Tedros-Véran-Castex-Buzyn-Lévy-Cymes-Delfraissy, il reste assez de gogos et de terrorisés pour obéir à l’une des mesures les plus bêtes et les plus dangereuses du monde. Car si les Français acceptent cette humiliation, la suivante sera encore plus dure, plus violente, plus profonde. C’est comme ça avec la dominance actuelle, le moindre genou à terre et hop !, c’est une pierre de plus sur la nuque. Mais il semble qu’on ait sous-estimé le degré de masochisme dont notre pauvre peuple est capable. Mais aussi le degré de résistance…

Et si l’OMS demandait aux Français de se mettre un masque sur les yeux ?

Ceci étant dit, on résiste, comme Pasqua avec sa Sten en 40, sans armes, bien sûr, mais avec détermination. On écoute maintenant le texte délirant du « journaliste » (ou du journalopiste, sans guillemets mais en italiques) de service (oligarchique) à BFM TV :

« Pourtant, malgré son efficacité prouvée et son usage appuyé par les autorités sanitaires dont l’Académie de médecine, l’idée même du port du masque dans ces lieux, dont la liste a été diffusée par le ministre de la Santé Olivier Véran, a du mal à être acceptée par une partie de la population française. Selon un sondage BVA réalisé ces derniers jours pour RTL et Orange, ils sont 15 % a être opposés à cette mesure, et même 22 % chez les 18-34 ans. »

Ah, de bons signes de résistance en perspective ! Espérons que cette mesure vexatoire réveille notre bon vieil instinct anti-domination, anti-Romains ou anti-escrocs. L’article de Hugo Septier est un modèle dans le genre courroie de transmission oligarchique sans une once de réflexion : le pouvoir a dit, on relaye, pas la peine de penser. Penser par exemple que la pandémie serait terminée chez nous, que le virus serait résiduel et que cette nouvelle injonction masquante soit plus une décision politique contre la résistance sociale qu’une décision médicale de prophylaxie publique.

Et quand on sait que le pouvoir médical est aussi cynique que le pouvoir politique…

En réalité, ces réfractaires au port du masque sont divisibles en deux groupes assez distincts. Dans un premier temps, il y a les réfractaires qui y voient une contrainte, une gêne dans leur quotidien, mais qui ne semblent pas vouloir remettre en doute l’existence même de la maladie. […]

Pourtant, selon certains récents travaux de professionnels de la santé, la transmission du coronavirus par aérosol, comprendre à travers un nuage de particules virales en suspension durable dans l’air non renouvelé, est une hypothèse qui prend de plus en plus de poids. Le port du masque devient ainsi la principale arme contre ce type de contamination. »

On aime bien le « certains travaux », une piste qui finit toujours chez Tedros, le menteur qui danse à moitié à poil, ou chez Bill Gates, le copain d’Epstein, dont l’épouse vient de réapparaître. Attention, la suite est encore meilleure, avec les Français « bien plus virulents ». Hugo va lâcher ses coups, vous allez voir.

« Puis viennent les Français qui se disent « anti-masques », bien plus virulents, et qui selon une enquête publiée dans Le Parisien, se définissent comme des « éveillés. » De fait, à l’observation de plusieurs groupes sur Facebook nommés « Regroupement contre le port du masque obligatoire » ou encore « anti-masque obligatoire », plusieurs de leurs membres, ils sont quelques milliers, utilisent les termes « lucidité » et « dictature » dans leur argumentaire. »

Mais, mais, comment parler de « dictature » quand des gens aussi éveillés que Gates, Tedros, Véran, Lévy, Buzyn, Hirsch, Salomon et consorts s’occupent de notre santé pour notre bien ? Quelle drôle d’idée. Pour Hugo, les choses se gâtent. Le mouvement antimasque pourrait bien devenir une fronde mondiale, à l’image du mouvement des Gilets jaunes, qui a été arrêté de justesse grâce à une grippe saisonnière montée en épingle.

« Cette fronde populaire, qui selon le quotidien francilien semble venir directement du Québec, où des manifestations ont été organisées, est également un écho aux récents événements qui se sont déroulés aux États-Unis, où de nombreuses bagarres ont éclaté à l’entrée de magasins, et où le mouvement anti-masque semble également prendre de l’ampleur. »

Les peuples comprennent qu’on veut confisquer leur liberté

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Rappels :

Bas les masques, et vive la liberté (I.A. Shamir)

Un internaute démolit la propagande antiraciste autour de George Floyd, d’Adama Traoré et conséquences…

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Un internaute démolit la propagande antiraciste autour de George Floyd et conséquences…

RDZ se présente sur sa page Tipee comme « un homme blanc hétérosexuel cisgenre et carniste qui en a plein le cul de se faire marcher sur les pieds par les zélotes de la pensée unique « progressiste », autrement dit par les néoféministes misandres, les antiracistes anti-blancs, les LGBT hétérophobes et autres végans carencés »

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Gilles Le Gendre rentre dans le troupeau

va donc rendre son bâton de berger. À la rentrée, il ne sera plus le patron du troupeau des députés de La République en marche. Patron est un bien grand mot, semble-t-il. L’a-t-il jamais été, d’ailleurs ? La question se pose, même si, au fond, elle n’a pas grand intérêt. Il vient d’annoncer la nouvelle dans une lettre adressée à ses petits camarades.

On se souvient qu’il s’était rêvé un temps porte-parole du gouvernement, en remplacement de Sibeth Ndiaye. Patratas ! L’une sort mais l’autre n’entre pas au gouvernement, pour l’instant… Ce songe d’une nuit de printemps, il l’avait couché dans un petit coin d’une longue note à l’attention du Président, note dans laquelle il prodiguait ses bons conseils en matière de ressources humaines en vue de la confection du nouveau gouvernement. L’information avait fuité et cela avait été « la goutte d’eau de trop », d’autant qu’il ne voyait aucun mouton à cinq pattes dans le troupeau de députés capables de succéder à Édouard Philippe. Les moutons avaient moyennement apprécié. Le député de Paris est, à l’évidence, un champion en matière de ressources humaines. La preuve : son groupe a perdu une petite quinzaine de députés, dernièrement. Avec désormais 280 députés, il n’a plus la majorité absolue et doit compter sur l’apport des troupes supplétives, notamment le MoDem. Certes, doit-on imputer cette saignée au seul Gilles Le Gendre ? Sans doute pas. Il n’avait pas, à l’évidence, la carrure pour diriger un groupe aussi hétéroclite (entre des députés débarqués en politique en 2017 et d’anciens socialistes, voire d’anciens LR, ce n’était pas évident de faire de ce caravansérail une armée à la prussienne) et aussi important : probablement l’un des groupes les plus nombreux de toute la Ve République.

Avec ses airs de Pierrot lunaire habillé en costume trois pièces, cet ancien journaliste et communicant, natif de Neuilly-sur-Seine, détonne dans le paysage politique traditionnel. Giscardien à l’âge où l’on a son premier acné juvénile, il devint macronien à celui où, au plan carrière, généralement, on a un pied dans la tombe et l’autre sur une plaque d’égout. Son heure de gloire ? Avoir battu Nathalie Kosciuscko-Morizet aux élections législatives de 2017. Soudain, il s’était senti, comme qui dirait, l’homme du XXIe siècle. Pardi, battre cette peste de NKM, coqueluche du sarkozysme flamboyant et à qui l’on promettait, cinq ans plus tôt, un avenir élyséen quinze ans plus tard, il y avait de quoi, non ? N’avait pas réalisé, derrière ses lunettes rondes, qu’à l’époque, il suffisait de mettre sa bobine dans le passe-tête avec celle de Macron tout à côté pour s’offrir un triomphe romain. Pourtant, l’homme ne manque pas d’intelligence ni de subtilité. Effectivement. On se souvient de sa saillie magnifique, en décembre 2018, en plein mouvement des gilets jaunes : « Nous avons insuffisamment expliqué ce que nous faisons. Et une deuxième erreur a été faite : le fait d’avoir probablement été trop intelligent, trop subtil, trop technique dans les mesures de pouvoir d’achat. Nous avons saucissonné toutes les mesures. » Gilles Le Gendre entrait vivant et en bonne place dans le musée des bourdes en tout . Passons sur la nomination de son épouse à un poste important, en décembre 2019, à la Française des jeux, alors que – hasard du calendrier –, au même moment, était votée sa privatisation (de la FDJ, pas de l’épouse de Le Gendre) à l’Assemblée. Franchement, on n’est pas aidé !

Pour terminer, un extrait de sa lettre qui, sans être au niveau du légendaire char de l’État naviguant sur un volcan, n’est pas mal dans le genre monstrueux : ayant tracé un « nouveau chemin », comme chacun sait, Gilles Le Gendre estime qu’« un passage de relais s’impose qui apportera du sang neuf à la tête de notre groupe ». Relisez bien et imaginez-vous la scène. On a les métaphores qu’on mérite.

Quand l’extrême gauche s’en prend au Café Joyeux, cela donne tout sauf un papier vraiment sérieux !

« Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. » Il est donc fort probable que les associations sachent gré à ce blog d’extrême gauche de se faire traiter d’« idéologiques » en raison de leur combat en faveur de l’inclusion des personnes handicapées et, avant cela, pour leur droit de naître. En cause, donc, le blog Bastamag qui publie, le 13 juillet, un papier intitulé « Derrière le Café Joyeux, la galaxie catholique réactionnaire ». Mis au pilori, des associations soutenues par le Fonds de dotation Émeraude Solidaire : Enfants du Mékong, la fondation Jérôme-Lejeune, la fondation Espérance Banlieues. Et c’est là que cela devient drôle de la part de ceux qui se battent contre les amalgames, on y lit que certains seraient même « proches » de la Manif pour Tous ou d’Alliance VITA… Or, « l’expression “proche de” n’explicite pas le rapport de proximité, c’est un mécanisme de diabolisation facile» nous enseigne la spécialiste du langage médiatique Ingrid Riocreux.

« La question spécifique du handicap n’est pas neutre chez les catholiques conservateurs », lit-on dans l’article. Le choix des mots non plus en écriture journalistique. La dignité de toute vie humaine est défendue par l’Église. L’usage du mot « conservateur » est tellement usuel lorsque l’on veut jeter l’opprobre sur son adversaire que cela en manquerait presque d’inventivité. Si cette journaliste semble devenue incollable sur les dangereux catholiques réactionnaires, peut-être aurait-elle pu pousser son enquête jusqu’à interroger des sages-femmes ou des obstétriciens ? Elle aurait sans doute appris que les couples refusant d’avorter un enfant porteur de handicap sont effectivement souvent animés de convictions religieuses, mais pas uniquement catholiques ! Dans le Coran, Allah demande de respecter la vie et précise que les enfants sont une bénédiction et que tout ce qui existe provient d’une volonté divine. Mais cela, l’islamo-gauchisme ne s’en vante pas. S’agit-il donc, pour Bastamag, de mener un vrai travail d’investigation journalistique ou de rédiger un papier à charge contre ceux dont il est tellement médiatiquement correct de critiquer les valeurs ?

Pourquoi cette journaliste écoféministe (l’écologie est tendance, sauf quand elle est intégrale, manifestement), ex-zadiste à Notre-Dame-des-Landes et qui se définit elle-même comme une « femme cisgenre blanche, éduquée et valide » pour marquer ses positions de domination, s’attaque-t-elle si farouchement aux catholiques en général et au en particulier ? Est-ce parce que Ouest-France titrait, à son sujet, « Un message de tolérance et de vivre ensemble » ? Est-ce là que le bât blesse ? L’extrême gauche aurait-elle peur que ses militants tombent sous le charme d’une belle initiative, mais pas portée par elle ?

En creusant un peu, l’on découvre que derrière cette dite enquête se cache le Collectif lutte et handicaps pour l’égalité et l’émancipation (CLHEE), à l’origine de ce sujet. Ce même collectif avertit « avant d’être en pâmoison devant ce d’initiatives et de donner notre argent à ces individus qui s’en servent ensuite pour communiquer et militer leur sexisme, leur racisme, leur homophobie, et autres valeurs réactionnaires crades ». L’on cherchera donc l’honnêteté intellectuelle de ces gens pour qui défendre la personne porteuse de handicap n’est pas compatible avec le combat en faveur des personnes les plus fragiles, lorsqu’il s’agit de dénoncer la traque des embryons anormaux ou la marchandisation du corps de la femme. S’opposer aux pratiques de gestation pour autrui étant assimilé à de l’homophobie, cela devient compliqué pour eux, on veut bien les croire !

Enfin, et c’est intéressant, le CLHEE revendique l’inscription de son militantisme dans l’ensemble des luttes d’émancipation : « Notre combat est par conséquent et nécessairement féministe, antiraciste, anticapitaliste, anti-impérialiste, anticolonialiste et internationaliste. »

Dites-donc, les amis, face à autant « d’anti », on vous le sert comment, votre café ? Joyeux ?