Benoît XVI: les scandales de pédophilie s’expliquent par la révolution des années 60

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Le pape Benoît XVI lors de la messe du mercredi des cendres au Vatican, le 13 février 2013

AFP/Archives – GABRIEL BOUYS, GABRIEL BOUYS

Le pape émérite Benoît XVI explique les scandales de pédophilie du clergé par la révolution sexuelle des années 60, des idées théologiques nouvelles, ainsi que l’effondrement en Occident de la foi, dans une analyse rendue publique jeudi.

« La révolution de 1968 s’est battue pour une complète liberté sexuelle, qui n’admettait plus de normes », souligne le pape émérite allemand dans un texte touffu de 18 pages publié dans « Klerusblatt », mensuel bavarois destiné au clergé.

« La pédophilie a alors également été diagnostiquée comme permise et appropriée », ajoute-t-il, dans cette lettre publiée par des sites catholiques américains.

Benoît XVI, qui vit reclus dans un petit monastère de la Cité du Vatican, s’exprime très rarement depuis sa démission voici six ans. Et son texte qui le ramène sous les projecteurs a fait l’effet d’une petite bombe jeudi chez certains théologiens ou pour des victimes d’abus sexuels.

José Andres Murillo, un Chilien victime d’abus du clergé, a estimé jeudi que « le narcissisme théologique » de Benoît XVI avait « fait partie du problème de la culture d’abus et de silence de l’Eglise ».

Le théologien américain Brian Flanagan juge par exemple dans un tweet que le lien que Benoît XVI fait avec les années 60 constitue « une explication fausse et embarrassante ».

-« l’absence de Dieu »-

Dans son texte, le pape émérite allemand décrit « l’effondrement de grande ampleur » des vocations de prêtres après la révolution sexuelle des années 60.

Puisant des exemples dans son Allemagne natale, il raconte aussi comment « le radicalisme sans précédent des années 1960 » a fait souffler une « modernité » dans toutes les strates de la société y compris dans les séminaires formant des prêtres.

« Des cliques homosexuelles se sont développées dans différents séminaires », sans trop se cacher, relève-t-il de manière surprenante pour illustrer son propos sur une certaine « dissolution de l’enseignement morale de l’Eglise ». Et un évêque avait par exemple décidé de montrer des films pornographiques aux séminaristes « avec l’idée de les rendre plus résistants à des comportements contraires à la foi », affirme-t-il.

Le pape émérite dresse en outre un constat assez amer d’une « société occidentale où Dieu a disparu de l’espace public » et où l’Eglise est perçue aujourd’hui comme « une sorte d’appareil politique ».

« Pourquoi la pédophilie a-t-elle pris de telles proportions? Au final cela s’explique par l’absence de Dieu », devenu une « préoccupation d’ordre privé d’une minorité » de croyants, écrit-il.

Avant de devenir pape, Joseph Ratzinger dirigea la Congrégation pour la doctrine de la foi (héritière de l’Inquisition), où il fit la chasse durant 24 ans à toutes les dérives liturgiques ou sociales. Ce département du Vatican est également chargé d’étudier les dossiers d’abus sexuels du clergé parvenant au Vatican.

Ce professeur bavarois élu pape en 2005 a vite été confronté à des révélations en cascade d’abus sexuels commis sur des enfants par des membres du clergé. Il a notamment demandé en 2011 que les prêtres soupçonnés d’abus soient déférés devant la justice du Vatican.

C’est dans la deuxième moitié des années 1980 que la question de la pédophilie est devenue d’actualité pour l’Eglise, notamment aux Etats-Unis, entraînant progressivement un réexamen de la loi pénale du droit canon, retrace-t-il dans son texte.

L’Eglise avait auparavant garanti de manière excessive la seule protection des accusés, difficilement condamnables, rappelle le pape allemand.

Les réflexions du pape émérite viennent à la suite d’un sommet de l’Eglise organisé en février par le pape François portant sur les abus sexuels sur mineurs par le clergé.

Source : AFP

Le RN combat la « transphobie » , LGBT RN +

D’aucuns pourraient se réjouir qu’un responsable département de l’ex-FN dénonce à nouveau l’immigration massive.
Mais c’est pour mieux combattre la « transphobie » (hostilité contre la « transexualité »)…
Nous sommes sommés de trouver normal le choix de leur sexe par les gens et de valider un prétendu « changement de sexe ».
La conformation du parti à « l’air du temps » est quasi-complète.

Screenshot_2020-08-14 Entraigay, Forum discussion et entraide Gay, Bi, Transgenre 2017    Screenshot_2020-08-14 Le RN combat la « transphobie » - Contre-Info

Remarquable intervention du député Emmanuelle Ménard contre le terrible projet de loi bio-éthique

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Le député Emmanuelle Ménard, a déposé une motion de rejet du texte de loi bio-éthique qui passe en 2e lecture à l’Assemblée nationale ces jours-ci, en catimini, « sans que les Français puissent manifester ».

Remarquable intervention qui dénonce ce texte qui « va donner vie à des enfants volontairement programmés sans père… sans père ! »

« En réalité, ce qui se joue ici, insiste madame Ménard, c’est une rupture. Profonde. Anthropologique. »

Et de conclure :

« La motion de rejet que je défends pose cette question simple : est-ce juste ? Est-ce juste de priver, en l’espace d’un vote, des milliers d’enfants de leur père pour les générations à venir ?

J’en appelle à votre conscience. J’en appelle à votre courage. Oubliez les stratégies partisanes. Pensez à la profondeur des bouleversements d’une telle loi et résistez ! Résistez aux idéologies d’une poignée et osez répondre à cette question en votre âme et conscience : qui suis-je pour infliger cela à un enfant ?

Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte… »

“Monsieur le Président,

Monsieur le ministre,

Madame la Présidente de la Commission spéciale,

Monsieur le rapporteur,

Chers collègues,

Ce n’est donc pas un cauchemar. L’examen en deuxième lecture du projet de loi bioéthique démarre bien aujourd’hui, la dernière semaine de juillet très exactement, en plein cœur de l’été. C’est le tout nouveau Premier ministre lui-même, Jean Castex, qui a décidé, dès son entrée en fonction, d’allonger la session parlementaire dans cet objectif.

Curieuse décision. D’autant que le Sénat, qui sera en période électorale à la rentrée, ne siègera pas en septembre… Il n’y avait donc aucune urgence du côté de l’Assemblée nationale à examiner ce texte dans un hémicycle plus que clairsemé, et même quasiment désert côté majorité en début de séance, quand les Français, ou du moins ceux qui le peuvent, sont davantage préoccupés par leurs vacances que par les discussions du Palais Bourbon.

Curieuse décision encore lorsque le Premier ministre, toujours lui, prétend que sa première préoccupation est la crise, avec ses enjeux sanitaires et économiques. En phase pour cela avec les Français qui, selon une enquête Ifop publiée le 15 juin dernier, sont 71 % à considérer que ce projet de loi devrait être suspendu ou même retiré, afin que priorité soit donnée à la gestion des conséquences de la crise du Coronavirus. Mais il est tellement plus simple de céder sur la réforme des retraites quand on peut s’en prendre sans vergogne aux familles et aux plus petits d’entre nous : ces enfants, ces enfants que vous voulez priver de père !

Scandaleuse décision quand on se penche sur les conditions d’examen du texte lui-même : c’est en effet, comme en première lecture, le temps législatif programmé qui a été choisi. Une procédure qui permet de limiter la durée des débats de façon drastique !

Vous devez être bien peu sûrs de votre fait pour tenter, par tous les moyens, de brider, de contrôler, d’entraver les débats et de limiter la parole. 30 minutes, j’ai bien dit 30 minutes sont en effet « gracieusement » accordées à l’ensemble des députés non inscrits pour défendre leurs convictions en matière de bioéthique… 30 minutes, c’est-à-dire rien du tout… Moins de 8 secondes par amendement déposé en ce qui me concerne. Mais la majorité En Marche osera nous expliquer, une fois encore, qu’elle souhaite un « débat serein et apaisé »…

Dans le fond, cette décision d’imposer au plus vite ce prétendu « engagement de campagne » n’est pas surprenante. Car finalement, Emmanuel Macron aura failli sur toutes ses promesses. Que pourra-t-il revendiquer dans 600 jours lorsque l’heure du bilan aura sonné ? Une économie en berne : la France fait partie du peloton de queue de l’Union européenne, avec un PIB qui devrait chuter de 10,6 % en 2020. Des crises sociales à répétition : gilets jaunes, réforme des retraites finalement pitoyablement repoussée après avoir mis notre pays à genoux, un personnel de santé exsangue, des forces de l’ordre au bord de l’explosion, etc.

Mais, avec la loi bioéthique, Emmanuel Macron tient enfin l’occasion de satisfaire son camp. À quel prix ? Celui de l’avenir de nos enfants… Des enfants – je l’ai dit et je le redirai sans cesse – que vous vous apprêtez à faire naître sans père… Que l’un d’entre vous ose, oui ose nous dire qu’un enfant n’a pas besoin de père ! Qu’il ose.

Mais c’est vrai que vous osez tout : le bébé médicament, l’embryon transgénique, les chimères animal-homme, l’absence du consentement du conjoint sur le don de gamètes, l’élargissement du diagnostic préimplantatoire aux maladies non héréditaires, la suppression de l’équipe pluridisciplinaire pour préparer les couples à la procréation médicalement assistée. Oui, vous osez tout !

Et en plus, vous mentez ! Vous avez juré, main sur le cœur, que vous diriez non à la gestation pour autrui. C’est faux ! Votre nouveau texte lui ouvre la porte quand il prévoit une transcription quasi automatique à l’état civil de l’acte de naissance de l’enfant né de GPA désignant un parent d’intention. Comment empêcherez-vous, demain, au nom de votre sacro-sainte égalité, un couple d’hommes de pouvoir avoir des enfants en louant le ventre d’une femme quand vous autorisez aujourd’hui un couple de femmes à procréer ? Toutes vos dénégations n’y changeront rien.

Vous exigez la parité, sauf pour la filiation ! Vous exigez l’égalité, sauf pour les enfants dont certains connaîtront leur père et d’autres, de votre faute, qui ne le connaîtront pas. Vous qui invoquez à tout bout de champ le principe de précaution, vous l’oubliez quand il s’agit des enfants, de nos enfants ! J’aurais aimé pouvoir interroger le garde des Sceaux, lui qui aime les défis : les défendra-t-il ces enfants qui, dans 20 ans, attaqueront l’État français pour les avoir délibérément privés de pères ?

Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte…”

Francesca de Villasmundo

Canada : Quel est le lien entre les discours pro-islam et pro-LGBT de Justin Trudeau ?

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Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, vient une fois de plus de diffuser une vidéo pour souhaiter une bonne fête de l’Aïd aux musulmans. Son message a été relayé avec enthousiasme au sein de la communauté musulmane parmi laquelle il est très apprécié.

Les musulmans soutiennent d’autant plus Justin Trudeau qu’une vidéo a circulé il y a plusieurs années le montrant en prière à la mosquée.

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Pourtant, le même Justin Trudeau est également un soutien inconditionnel du lobby LGBT et participe avec enthousiasme à la gay pride annuelle.

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A priori, un tel positionnement -faire à la fois le jeu de l’islam et du lobby LGBT – semble incompatible.

Alors, quel est le lien entre les deux ?

Tout simplement d’affaiblir la civilisation chrétienne, bien sûr.

 

Pédophilie , Portugal : La police confirme la découverte d’un «supermarché pour enfants» utilisé par l’élite

A child supermarket where elite pedophiles buy children has been discovered by police in Portugal, implicating international elites.

Des politiciens d’élite européens et internationaux, des juges et des célébrités sont des pédophiles qui achètent des enfants dans un «supermarché pour enfants» déguisé en orphelinat au Portugal, selon un ancien gardien de l’orphelinat.

Le gardien, connu uniquement sous le nom de Bibi, s’est présenté pour exposer les pratiques écœurantes de la Casa Pia (Maison des Pieux) et affirme avoir vu des enfants «livrés» à des politiciens et diplomates de haut niveau, ainsi qu’à des Européens et des internationaux célébrités et membres de la magistrature.

L’orphelinat est contrôlé par un médecin conducteur de Ferrari qui rend visite aux enfants pour décider lesquels seront vendus à des membres de haut rang de la société portugaise et internationale.

Daily Mail rapporte : Lorsque les enfants de l’orphelinat le plus célèbre du Portugal ont entendu la voiture de sport rugir dans l’allée, la peur a envahi les dortoirs.

Le bruit ne pouvait signifier qu’une seule chose: l’homme connu sous le nom de The Doctor venait appeler.

Pourtant, ce médecin n’avait aucune intention d’adhérer à l’ancien serment d’Hippocrate.

Au lieu de cela, en arrivant à la Casa Pia (Maison des Pieux), un orphelinat de Lisbonne du 17ème siècle où plus de 4000 enfants sont pris en charge chaque année derrière de hauts murs de pierre, le médecin convoquait des garçons et des filles sélectionnés de leurs lits pour des examens une nuit par semaine .

Dans la mesure du possible, il a choisi des sourds-muets.

Après avoir vérifié que les enfants ne souffraient d’aucune infection sexuelle, le médecin est rejoint par le gardien de l’orphelinat, connu sous le nom de Bibi, qui conduit les malheureux enfants à l’extérieur dans une camionnette en attente.

Avec le médecin dans sa Ferrari rouge, Bibi conduit la camionnette dans les maisons prestigieuses de certains des principaux membres de la société de Lisbonne – allant des ministres du gouvernement portugais et des diplomates de haut rang, aux célèbres stars de la télévision et aux membres de la magistrature.

Là, les enfants sont abusés sexuellement à plusieurs reprises. Certains sont drogués et d’autres rendus ivres pour les rendre soumis.

Cela a duré des années. Des agressions ont été filmées; des photos d’une attaque ont par la suite été trouvées au domicile d’un pédophile présumé à Paris.

Selon les dossiers médicaux, les blessures des victimes étaient horribles – et compatibles avec de graves agressions sexuelles et viols. Dans les déclarations des témoins, beaucoup ont pu décrire dans les moindres détails les maisons où ils ont été emmenés et identifier les marques sur les corps de leurs agresseurs.

L’existence de ce soi-disant «cercle magique» de l’establishment portugais, prétendument impliqué dans un réseau pédophile international utilisant des garçons et des filles de Casa Pia, a été comparée la semaine dernière à un tremblement de terre secouant le Portugal dans ses fondations.

De nouvelles allégations sur l’ampleur du réseau seront soumises au plus haut tribunal du pays dans les prochaines semaines.

Au milieu de rumeurs de liens avec d’autres gangs de pédophiles en Europe et aux États-Unis, des experts internationaux sur les délits sexuels et les meurtres d’enfants devraient comparaître devant le tribunal lors de la réouverture de l’affaire, quatre ans après qu’un groupe de victimes a rompu un silence de plus de 30 ans .

Cela prouve ce que les agences internationales de lutte contre le crime soupçonnent depuis longtemps: le Portugal est devenu un aimant pour les pédophiles prédateurs du monde entier, utilisant les lois laxistes du pays et s’attaquant au nombre élevé d’enfants pauvres et abandonnés.

Pedro Namora, un ancien orphelin de Casa Pia qui a été témoin de 11 viols sur des compagnons orphelins, au cours desquels ils ont été attachés à leurs lits, estime que des éléments de la force de sécurité ont conspiré pour réprimer les scandales, craignant de nuire à la réputation du pays.

«Le Portugal est un paradis pour les pédophiles», a déclaré M. Namora, désormais avocat, faisant campagne au nom des victimes de la Casa Pia. «Si tous les noms sortent, ce sera un tremblement de terre au Portugal. Il y a un réseau massif et sophistiqué en jeu ici – allant du gouvernement au pouvoir judiciaire et à la police. »

«Le réseau est énorme et extrêmement puissant. Il y a des magistrats, des ambassadeurs, des policiers, des politiciens – tous ont acheté des enfants à Casa Pia. Il est extrêmement difficile de décomposer cela. Ces gens se couvrent mutuellement parce que si l’un est arrêté, ils sont tous arrêtés. Ils ne veulent que personne ne le sache. »

Aujourd’hui âgé de 54 ans, M. Namora a vu des amis sombrer dans l’alcoolisme, la toxicomanie et la mort après leurs expériences traumatisantes d’enfance à Casa Pia. « J’étais le seul à avoir réussi », a-t-il déclaré. « Que pouvais-je faire? Je ne pouvais pas garder le silence.  »

Il a reçu des menaces de mort et des avertissements sur ce qui arrivera à ses propres enfants, après avoir pris l’affaire lorsqu’un orphelin appelé «Joel» s’est approché de lui, affirmant que des pédophiles éminents utilisaient Casa Pia comme «supermarché pour enfants».

  1. Namora a été menacé après s’être battu au nom des enfants maltraités avec lesquels il a grandi. Après avoir été appelé par un inconnu lui proposant de rembourser son hypothèque, il a été informé des mouvements exacts de ses trois enfants et a averti qu’eux-mêmes et leur père finirait horriblement à moins qu’il ne se taise.

Homme ouvert et chaleureux, M. Namora est un théoricien du complot peu probable, mais il pense que l’affaire, qu’il a révélée en 2003, soulignera l’attrait croissant du Portugal pour les pédophiles, qui a vu six enfants disparaître ces dernières années.

L’une des raisons de cette attirance est que la loi a été assouplie tranquillement l’année dernière, avant le prochain procès, ce qui signifie que les récidives contre le même enfant ne mériteraient qu’une seule accusation – et une peine moins sévère.

L’enquête initiale a été mal gérée lorsque des allégations de mauvais traitements ont été faites pour la première fois à la Casa Pia en 1982. Carlos Silvino, l’homme connu sous le nom de Bibi, était lié à des viols et des agressions, mais la police a «perdu» des photos montrant d’éminents politiciens de Lisbonne avec lui et les enfants .

Il n’a été inculpé qu’après que des dizaines d’enfants se soient manifestés en 2003. Ils ont également accusé Jorge Ritto, ancien ambassadeur du Portugal, d’avoir maltraité des enfants.

Il est apparu que Ritto avait également été renvoyé chez lui en disgrâce suite à un détachement en Allemagne après un incident impliquant un jeune garçon dans un parc.

Le complot ne s’est pas arrêté là. Teresa Costa Macedo, ancienne secrétaire d’État à la famille, a révélé qu’elle était au courant des attentats du début des années 80 et qu’elle avait alerté le général Antonio Ramalho Eanes, alors président portugais, des allégations.

Mme Costa Macedo, qui est restée silencieuse pendant deux décennies après avoir été avertie qu’elle serait tuée si elle parlait, dit maintenant que le gardien «n’était qu’un élément d’un vaste réseau pédophile qui impliquait des personnes importantes dans notre pays. Ce n’était pas seulement lui [le gardien]. Il était un proxénète d’enfants pour des personnalités qui vont des diplomates et des politiciens aux personnes liées aux médias ».

Alors qu’il était encore ministre du gouvernement, Costa Macedo a remis à la police «des photographies, un récit des méthodes utilisées pour sortir les enfants de l’orphelinat et des témoignages d’un certain nombre d’enfants».

Beaucoup de photographies ont été retrouvées chez l’ex-ambassadeur Jorge Ritto. La police aurait trouvé quatre enfants enfermés qui avaient disparu de Casa Pia.

Sous garde armée dans un refuge la semaine dernière, Bibi pouvait se considérer comme un homme chanceux. Il était initialement accusé d’avoir agressé sexuellement plus de 600 enfants. Cela a depuis été réduit à 30.

Silvino a fait allusion au haut niveau du complot en disant: « Ils ne peuvent pas me toucher – il y a trop de gens impliqués. »

Après l’arrestation de Ritto, la police a interrogé Carloz Cruz, connu sous le nom de Télévision ”, et Joao Diniz, médecin de la haute société et conducteur de la Ferrari rouge. Le réseau serait allé plus loin. Paulo Pedroso, un ministre du gouvernement, a été arrêté et interrogé sur 15 cas d’abus sexuels sur des enfants.

Au milieu des allégations selon lesquelles les réseaux pédophiles sont devenus endémiques au Portugal – la police européenne Interpol a désigné le pays comme l’un des pires contrevenants en Europe – il est à craindre que le scandale de la Casa Pia éclipse le tristement célèbre cas de Marc Dutroux en Belgique, dans lequel le l’arrestation d’un pédophile notoire et d’un meurtrier d’enfants a révélé une image sordide de la corruption judiciaire et politique.

La culture dans laquelle un tel réseau de maltraitance des enfants a été autorisé à fonctionner est la même culture qui imprègne tout le Portugal.

Est-ce cette attitude qui a mené à l’enquête initiale ratée dans l’affaire Madeleine McCann?

SOURCE :

https://newspunch.com/police-child-supermarket-pedo-ring/?fbclid=IwAR1dL2yQqOPf0oVSgsT91W5Gt2So5qtyvmmi3O0tcUckXpmMHLK3-JviHtM

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Hannibal GENSERIC

Jean-Marc Morandini sera jugé en correctionnelle pour «corruption de mineur de plus de 15 ans»

L’animateur de CNews et NRJ12 est soupçonné de « corruption de mineur » sur deux adolescents de 15 et 16 ans. Des faits qu’il conteste.

Screenshot_2020-08-01 Jean-Marc Morandini sera jugé en correctionnelle pour «corruption de mineur de plus de 15 ans»

Jean-Marc Morandi (ici en 2016) entend faire appel de cette ordonnance de renvoi. LP/Guillaume Georges

Le 3 avril, le parquet de Paris avait requis le renvoi en correctionnelle de Jean-Marc Morandini pour « corruption de mineur de plus de 15 ans ». Selon nos informations, le juge d’instruction chargé de l’affaire a suivi cet avis et un procès aura bel et bien lieu, à une date qui reste à fixer, sous réserve de nouveaux développements judiciaires.

L’animateur de CNews et NRJ12 est accusé par deux adolescents qui avaient 15 et 16 ans au moment des faits, en 2009 et 2013. Jean-Marc Morandini aurait, selon le premier, échangé des textos particulièrement crus. Au second, rencontré à l’occasion d’un casting pour un projet de film érotique, il aurait demandé de se déshabiller avant de demander de lui mimer une scène de masturbation. Pour sa défense, l’animateur a expliqué qu’il ne pouvait pas savoir que le plus jeune de ses accusateurs était mineur, et il nie totalement les faits reprochés dans le deuxième volet de l’affaire.

« Sans suspense »

« Le juge d’instruction a repris les réquisitions du parquet, malheureusement sans grand suspense, commente l’avocate du prévenu, Me Corinne Dreyfus-Schmidt, contactée jeudi soir. M. Morandini conteste depuis le début les faits qui lui sont reprochés. Il y avait deux plaignants, un a retiré sa plainte. Nous avions fait une demande d’actes, parce qu’il y avait une sélection de messages seulement dans le dossier, et pas leur intégralité. Cette demande a été refusée par le juge d’instruction en même temps qu’il renvoyait le dossier, nous allons donc faire appel de cette ordonnance de renvoi. »

Adama Traoré, délinquant , violeur homosexuel : les faits sont établis , tout sauf un héros…

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Les faits sont établis. Adama Traoré, l’idole des communautaristes noirs et des professionnels de l’anti-racisme, était aussi un violeur homosexuel… L’ancien co-détenu d’Adama Traoré qui a porté plainte contre lui pour des viols a été indemnisé par la commission d’indemnisation des victimes d’infraction (Civi). Les éléments de l’enquête auxquels la Civi a eu accès ont permis de déterminer, le 12 mars dernier, que « la matérialité des infractions d’agressions sexuelles dénoncées doit être considérée comme établie ».

L’ancien co-détenu d’Adama Traoré à la prison d’Osny était contraint, plusieurs fois par jour, de lui pratiquer des fellations alors qu’Adama Traoré le menaçait avec une fourchette.

Mais le calvaire du co-détenu ne s’arrête pas là. En février 2017, l’un des frères d’Adama Traoré accompagné d’un de ses amis l’a passé à tabac, lui fracturant notamment le nez. Le procureur avait qualifié les faits de « véritable guet-apens » et de « sauvage agression », et avait condamné le frère Traoré à 18 mois de prison ferme.

Malgré cela, un policier filmé en train de qualifier Adama Traoré de «violeur» en marge d’une manifestation, doit comparaître le 2 septembre prochain devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour diffamation et injure publique. On appelle cela la “justice”…

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ce pique nickeur a été un bide monumental réunissant une centaine de personnes , les gens ont compris qu’Adama est tout sauf un héros…

Quant à Assa Traoré, qui doit sentir le vent tourner, elle organise aujourd’hui une braderie des t-shirts du Comité Adama.

On attend maintenant les excuses des vedettes du style Omar Sy, Yannick Noah, Eric Cantona, Aïssa Maïga,…

 

La Gaystapo a encore frappé, les homosexuels peuvent à nouveau donner leur sang sans restriction

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S’il en est un que le pouvoir macronien ne veut pas fâcher, bichonne, caresse, c’est bien le lobby arc -en-ciel qui veut tous les droits, et tant pis si ces droits-là sont la négation de ceux des autres.

L’été d’après confinement, les Français abrutis par des mois sans liberté et aux envies de soleil et de vacances, permet au gouvernement de Macron de faire passer certaines lois en catimini, en suivant servilement l’agenda du lobby Lgbtqi. On parle un peu, enfin à la droite de l’échiquier politique et parce que les mouvements attachés à la famille s’essayent de faire entendre leur voix dans un univers médiatique hostile, de la loi bio-éthique, anti-éthique, favorisant PMA et autres déviances contre-nature, qui sera en discussion à l’Assemblée nationale à partir du 27 juillet.

On n‘a guère parlé d’une nouvelle disposition concernant le don du sang, et pourtant elle s’inscrit dans cette révolution arc-en-ciel, nihiliste, dont le but est la mort de l’homme ancien pour créer un homme nouveau sans frontière, sans pays, nomade et sans famille, mais pratiquant de multiples nouvelles formes d’unions, sans enfants naturels mais en achetant par des biais monstrueux, sans civilisation, sauf la contre-civilisation colorée.

Le vote est passé presque inaperçu : le 1er juillet, des députés, principalement de gauche, ont voté en commission spéciale bioéthique la suppression de la période d’abstinence de quatre mois demandée aux hommes homosexuels avant de pouvoir donner leur sang, par le biais d’un amendement du co-rapporteur, le député socialiste Hervé Saulignac. « Les critères de sélection du donneur ne peuvent être fondés sur le sexe du ou des partenaires avec lesquels il aurait entretenu des relations sexuelles », écrivent les députés.

« Fier d’avoir cosigné et voté à l’instant en commission spéciale bioéthique l’amendement d’Hervé Saulignac visant à supprimer le délai d’abstinence sexuelle imposé aux homosexuels et bisexuels pour le don du sang », s’est félicité sur Twitter Matthieu Orphelin, député LREM et homosexuel notoire.

Comme le rappelle l’Association française de lutte contre le VIH (AIDES) et l’Association Française des hémophiles (AFH), la règle de la période d’abstinence des homosexuels, basée sur des données scientifiques, vise avant tout à protéger les receveurs.

Un homosexuel aurait en effet 200 fois plus de risques d’être exposé au sida qu’un hétérosexuel, rapporte le Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes (CRIPS) d’Île-de-France. « 40% des personnes qui découvrent, chaque année en France, leur infection au VIH, sont des hommes homosexuels », explique Marc Dixneuf, directeur général d’AIDES. « Ce qui nous étonne, c’est que cette dimension épidémiologique du VIH est souvent absente des discussions chez les gens qui parlent de discrimination. » « On sait qu’il y a un risque d’infection massive chez les HsH {homosexuels], insiste Marc Dixneuf. Le don du sang n’est pas un droit mais l’expression de la volonté du donneur. Au contraire, c’est le droit du receveur d’avoir un don absolument sûr ».

« Cette sécurité n’est pas négociable, s’indigne Nicolas Giraud, président de l’Association française des hémophiles, que ce soit pour notre communauté d’hémophiles ou pour une femme qui va recevoir une transfusion sanguine après une hémorragie post-partum, et qui sortirait avec une maladie ! »

Ce vote nie « la prévalence du VIH chez les gays, prouvée dans toutes les données de veille sanitaire » souligne Marc Dixneuf.

Mais leurs arguments sensés n’ont pas eu gain de cause, cette revendication d’associations LGBT qui voyaient dans cette mesure une discrimination à l’encontre des homosexuels est passée, presque comme une lettre à la poste.

Et tant pis si les receveurs ne sont plus protégés, les désirs égocentriques de la minorité arc-en-ciel passent avant la santé des malades. Aux oubliettes la triste affaire du sang contaminé et le tristement célèbre « responsable mais pas coupable » des ministres socialistes Dufoix et Fabius, scandale sanitaire, politique et financier des années Mitterrand.

En pleine hystérie coronavirus, et à l’obligation macronienne d’être bâillonné par un masque « pour notre santé à tous » pérore-t-il, ce vote est un comble d’hypocrisie : on voit bien par-là que le pouvoir se moque en réalité des Français et de leur santé. Ce qu’il cultive et recherche, c’est le vote des minorités et le silence de ses contestataires.

Francesca de Villasmundo

Alice Coffin, élue EELV : “Ne pas avoir un mari, ça m’expose à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée” (vidéo)

Le féminisme est une maladie mentale , l’immense majorité des hommes blancs occidentaux ne violent , ni ne tuent ni ne tabassent leurs Femmes…

Alice Coffin

Alice coffin féministe gaystapiste , salops d’hommes ,salops de maris , salops de papas…

Depuis la démission de Christophe Girard, une vidéo d’Alice Coffin est devenu virale. La féministe avait estimé en 2018 que “ne pas avoir un mari” pourrait éviter de “ne pas être violée, tuée et tabassée”.

Ses propos de féministe « revancharde » refont surface… Depuis que l’élue EELV Alice Coffin a poussé Christophe Girard à la démission, une vidéo datant de 2018 est devenue virale sur les réseaux sociaux. La militante féministe était invitée sur le plateau de RT France en septembre 2018 pour débattre sur la loi bioéthique dans l’Hexagone. Mais rapidement Alice Coffin avait complètement dérapé… « Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée », avait-t-elle déclaré en direct à la télévision. La conseillère de Paris du 12ème arrondissement avait poursuivi : « Et cela évite que mes enfants le soient aussi. » L’élue EELV avait jugé important de « rappeler quelques chiffres sur les pères », sans en mentionner aucun. « C’est dramatique que l’on brandisse cette référence paternel sans savoir ce qu’est la réalité de la paternité dans le monde actuel », avait-t-elle déploré.

Vendredi 24 juillet dans l’après-midi, le Conseil de Paris s’était tenu dans une ambiance particulièrement tendue… Le préfet de police de Paris Didier Lallement avait adressé un « salut républicain à Monsieur Christophe Girard qui (lui) a donné hier une grande leçon de dignité ». Après cette déclaration, plusieurs élus se sont levés dans la salle poussant à une entière standing ovation. Mais Alice Coffin n’a pas hésité à crier « honte à vous » durant les applaudissements. Comme en atteste la vidéo, le son aurait été baissé avant d’être complètement coupé « à cet instant précis », d’après le tweet du journaliste Simon Louvet.

Selon une journaliste du Figaro, Rémi Féraud, « qui préside le groupe Paris en commun et PS », aurait déclaré que la maire « ne considère plus que les deux élues à l’origine de la manifestation anti-Girard, Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu, font partie de la majorité ». Anne Hidalgo (Parti socialiste), a notamment annoncé, vendredi 24 juillet, saisir la justice pour « les graves injures publiques » prononcées contre la mairie, au lendemain d’une manifestation qualifiant l’Hôtel de Ville de « Pédoland ».

Christianophobie : Sur le site de la Mairie de Paris, le jour férié du 15 août correspond à la fête des chats

Le 15 août, grande fête religieuse et aussi fête nationale française, est victime de la mairie gauchiste, avec sa table rase du passé et ses préoccupations débiles.
Post-civilisation.

Source : Paris.fr
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