Benoît XVI: les scandales de pédophilie s’expliquent par la révolution des années 60

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Le pape Benoît XVI lors de la messe du mercredi des cendres au Vatican, le 13 février 2013

AFP/Archives – GABRIEL BOUYS, GABRIEL BOUYS

Le pape émérite Benoît XVI explique les scandales de pédophilie du clergé par la révolution sexuelle des années 60, des idées théologiques nouvelles, ainsi que l’effondrement en Occident de la foi, dans une analyse rendue publique jeudi.

« La révolution de 1968 s’est battue pour une complète liberté sexuelle, qui n’admettait plus de normes », souligne le pape émérite allemand dans un texte touffu de 18 pages publié dans « Klerusblatt », mensuel bavarois destiné au clergé.

« La pédophilie a alors également été diagnostiquée comme permise et appropriée », ajoute-t-il, dans cette lettre publiée par des sites catholiques américains.

Benoît XVI, qui vit reclus dans un petit monastère de la Cité du Vatican, s’exprime très rarement depuis sa démission voici six ans. Et son texte qui le ramène sous les projecteurs a fait l’effet d’une petite bombe jeudi chez certains théologiens ou pour des victimes d’abus sexuels.

José Andres Murillo, un Chilien victime d’abus du clergé, a estimé jeudi que « le narcissisme théologique » de Benoît XVI avait « fait partie du problème de la culture d’abus et de silence de l’Eglise ».

Le théologien américain Brian Flanagan juge par exemple dans un tweet que le lien que Benoît XVI fait avec les années 60 constitue « une explication fausse et embarrassante ».

-« l’absence de Dieu »-

Dans son texte, le pape émérite allemand décrit « l’effondrement de grande ampleur » des vocations de prêtres après la révolution sexuelle des années 60.

Puisant des exemples dans son Allemagne natale, il raconte aussi comment « le radicalisme sans précédent des années 1960 » a fait souffler une « modernité » dans toutes les strates de la société y compris dans les séminaires formant des prêtres.

« Des cliques homosexuelles se sont développées dans différents séminaires », sans trop se cacher, relève-t-il de manière surprenante pour illustrer son propos sur une certaine « dissolution de l’enseignement morale de l’Eglise ». Et un évêque avait par exemple décidé de montrer des films pornographiques aux séminaristes « avec l’idée de les rendre plus résistants à des comportements contraires à la foi », affirme-t-il.

Le pape émérite dresse en outre un constat assez amer d’une « société occidentale où Dieu a disparu de l’espace public » et où l’Eglise est perçue aujourd’hui comme « une sorte d’appareil politique ».

« Pourquoi la pédophilie a-t-elle pris de telles proportions? Au final cela s’explique par l’absence de Dieu », devenu une « préoccupation d’ordre privé d’une minorité » de croyants, écrit-il.

Avant de devenir pape, Joseph Ratzinger dirigea la Congrégation pour la doctrine de la foi (héritière de l’Inquisition), où il fit la chasse durant 24 ans à toutes les dérives liturgiques ou sociales. Ce département du Vatican est également chargé d’étudier les dossiers d’abus sexuels du clergé parvenant au Vatican.

Ce professeur bavarois élu pape en 2005 a vite été confronté à des révélations en cascade d’abus sexuels commis sur des enfants par des membres du clergé. Il a notamment demandé en 2011 que les prêtres soupçonnés d’abus soient déférés devant la justice du Vatican.

C’est dans la deuxième moitié des années 1980 que la question de la pédophilie est devenue d’actualité pour l’Eglise, notamment aux Etats-Unis, entraînant progressivement un réexamen de la loi pénale du droit canon, retrace-t-il dans son texte.

L’Eglise avait auparavant garanti de manière excessive la seule protection des accusés, difficilement condamnables, rappelle le pape allemand.

Les réflexions du pape émérite viennent à la suite d’un sommet de l’Eglise organisé en février par le pape François portant sur les abus sexuels sur mineurs par le clergé.

Source : AFP

Le RN combat la « transphobie » , LGBT RN +

D’aucuns pourraient se réjouir qu’un responsable département de l’ex-FN dénonce à nouveau l’immigration massive.
Mais c’est pour mieux combattre la « transphobie » (hostilité contre la « transexualité »)…
Nous sommes sommés de trouver normal le choix de leur sexe par les gens et de valider un prétendu « changement de sexe ».
La conformation du parti à « l’air du temps » est quasi-complète.

Screenshot_2020-08-14 Entraigay, Forum discussion et entraide Gay, Bi, Transgenre 2017    Screenshot_2020-08-14 Le RN combat la « transphobie » - Contre-Info

La Gaystapo a encore frappé, les homosexuels peuvent à nouveau donner leur sang sans restriction

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S’il en est un que le pouvoir macronien ne veut pas fâcher, bichonne, caresse, c’est bien le lobby arc -en-ciel qui veut tous les droits, et tant pis si ces droits-là sont la négation de ceux des autres.

L’été d’après confinement, les Français abrutis par des mois sans liberté et aux envies de soleil et de vacances, permet au gouvernement de Macron de faire passer certaines lois en catimini, en suivant servilement l’agenda du lobby Lgbtqi. On parle un peu, enfin à la droite de l’échiquier politique et parce que les mouvements attachés à la famille s’essayent de faire entendre leur voix dans un univers médiatique hostile, de la loi bio-éthique, anti-éthique, favorisant PMA et autres déviances contre-nature, qui sera en discussion à l’Assemblée nationale à partir du 27 juillet.

On n‘a guère parlé d’une nouvelle disposition concernant le don du sang, et pourtant elle s’inscrit dans cette révolution arc-en-ciel, nihiliste, dont le but est la mort de l’homme ancien pour créer un homme nouveau sans frontière, sans pays, nomade et sans famille, mais pratiquant de multiples nouvelles formes d’unions, sans enfants naturels mais en achetant par des biais monstrueux, sans civilisation, sauf la contre-civilisation colorée.

Le vote est passé presque inaperçu : le 1er juillet, des députés, principalement de gauche, ont voté en commission spéciale bioéthique la suppression de la période d’abstinence de quatre mois demandée aux hommes homosexuels avant de pouvoir donner leur sang, par le biais d’un amendement du co-rapporteur, le député socialiste Hervé Saulignac. « Les critères de sélection du donneur ne peuvent être fondés sur le sexe du ou des partenaires avec lesquels il aurait entretenu des relations sexuelles », écrivent les députés.

« Fier d’avoir cosigné et voté à l’instant en commission spéciale bioéthique l’amendement d’Hervé Saulignac visant à supprimer le délai d’abstinence sexuelle imposé aux homosexuels et bisexuels pour le don du sang », s’est félicité sur Twitter Matthieu Orphelin, député LREM et homosexuel notoire.

Comme le rappelle l’Association française de lutte contre le VIH (AIDES) et l’Association Française des hémophiles (AFH), la règle de la période d’abstinence des homosexuels, basée sur des données scientifiques, vise avant tout à protéger les receveurs.

Un homosexuel aurait en effet 200 fois plus de risques d’être exposé au sida qu’un hétérosexuel, rapporte le Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes (CRIPS) d’Île-de-France. « 40% des personnes qui découvrent, chaque année en France, leur infection au VIH, sont des hommes homosexuels », explique Marc Dixneuf, directeur général d’AIDES. « Ce qui nous étonne, c’est que cette dimension épidémiologique du VIH est souvent absente des discussions chez les gens qui parlent de discrimination. » « On sait qu’il y a un risque d’infection massive chez les HsH {homosexuels], insiste Marc Dixneuf. Le don du sang n’est pas un droit mais l’expression de la volonté du donneur. Au contraire, c’est le droit du receveur d’avoir un don absolument sûr ».

« Cette sécurité n’est pas négociable, s’indigne Nicolas Giraud, président de l’Association française des hémophiles, que ce soit pour notre communauté d’hémophiles ou pour une femme qui va recevoir une transfusion sanguine après une hémorragie post-partum, et qui sortirait avec une maladie ! »

Ce vote nie « la prévalence du VIH chez les gays, prouvée dans toutes les données de veille sanitaire » souligne Marc Dixneuf.

Mais leurs arguments sensés n’ont pas eu gain de cause, cette revendication d’associations LGBT qui voyaient dans cette mesure une discrimination à l’encontre des homosexuels est passée, presque comme une lettre à la poste.

Et tant pis si les receveurs ne sont plus protégés, les désirs égocentriques de la minorité arc-en-ciel passent avant la santé des malades. Aux oubliettes la triste affaire du sang contaminé et le tristement célèbre « responsable mais pas coupable » des ministres socialistes Dufoix et Fabius, scandale sanitaire, politique et financier des années Mitterrand.

En pleine hystérie coronavirus, et à l’obligation macronienne d’être bâillonné par un masque « pour notre santé à tous » pérore-t-il, ce vote est un comble d’hypocrisie : on voit bien par-là que le pouvoir se moque en réalité des Français et de leur santé. Ce qu’il cultive et recherche, c’est le vote des minorités et le silence de ses contestataires.

Francesca de Villasmundo

Gabriel Attal, le nouveau porte-parole du gouvernement est le “compagnon” homosexuel de l’eurodéputé Stéphane Séjourné

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Dans les colonnes de Libération, Gabriel Attal s’est confié sur relation homosexuelle avec le député européen Stéphane Séjourné (LREM). Les deux hommes sont liés par un PACS. Et Gabriel Attal espère pouvoir compter sur la GPA pour avoir des enfants.

“Au moins la couleur est annoncée”, comme l’écrivait Agnès Thill.

France : Le vote écolo de gauche (EELV), c’est aussi l’immigrationnisme de masse

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Le vote écologiste de gauche qui a remporté plusieurs municipalités hier soir (EELV renforcé du PCF, de LFI et parfois du PS) ne doit pas seulement être considéré seulement comme un vote de citadins aisés  adeptes de l’écologie punitive. C’est vrai mais pas suffisant.

Yannick Jadot, pour s’en défendre, citait ce matin l’exemple de Colombes en région parisienne comme étant une grande ville de banlieue où ce sont les “quartiers populaires” (lire les quartiers d’origine immigrée) qui ont soutenu et voté EELV. Voici la vidéo de jeunes écologistes tant préoccupés par la défense de la biodiversité et la fin du nucléaire :

Que personne ne soit dupe. Le vote écolo de gauche (EELV/PCF/LFI), ce sont les bobos écolo de gauche des grandes villes mais aussi les indigénistes, les anticolonialistes, les anti esclavagistes, les islamo-gauchistes, les partisans d’une régularisation massive des clandestins. Et comme EELV promeut également les “droits” LGBT, il y aura un jour ou l’autre des tensions internes.

Black Lives Matter soutient l’avortement, l’homosexualité et l’agenda anti-familial…

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Beaucoup sont surpris de découvrir le manifeste anti-famille de Black Lives Matter.

Alors que Black Lives Matter nous est présenté par les médias du système comme une organisation de justice sociale qui vise à promouvoir les droits des Afro-Américains – et maintenant des Afro-Européens -, beaucoup sont surpris de découvrir que cette nébuleuse a un programme pro-avortement, promeut l’homosexualité et l’idéologie du genre et tient un discours anti-famille.

Dans leur manifeste en ligne intitulé « What We Believe », les organisateurs de Black Lives Matter Patrisse Khan-Cullors, Alicia Garza et Opal Tometi disent qu’eux et leurs partisans « perturbent » la famille « prescrite par l’Occident ». Ils disent également qu’ils se sont libérés de la «pensée hétéronormative» et exigent «la justice reproductive».

«Nous perturbons l’exigence de structure de la famille nucléaire prescrite par l’Occident en soutenant mutuellement les familles élargies et «villages» qui s’occupent collectivement les uns des autres, en particulier nos enfants, dans la mesure où les mères, les parents et les enfants sont à l’aise», ont- ils écrit .

«Nous favorisons un réseau d’affirmation queer. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise étroite de la pensée hétéronormative, ou plutôt, de la croyance que tous dans le monde sont hétérosexuels (à moins qu’ils ne divulguent le contraire) », ont-ils poursuivi.

«Nous méritons et donc nous exigeons une justice reproductive [ndlr : c’est-à-dire l’avortement] qui nous donne l’autonomie sur notre corps et notre identité tout en garantissant que nos enfants et nos familles sont soutenus, sûrs et capables de s’épanouir.»

Des fondatrices lesbiennes et/ou transgenres

Bien qu’ils aient perturbé la «famille nucléaire», les trois fondateurs de Black Lives Matter ont été élevés dans des familles intactes. Patrisse Khan-Cullors, 36 ans, est une militante LGBT qui a quitté la maison de ses parents mariés à l’âge de 16 ans après les avoir informés de son homosexualité. Alicia Garza, 39 ans, a également grandi avec ses deux parents à la maison et est maintenant «mariée» à une femme blanche qui s’identifie comme un «homme transgenre». Garza, elle aussi, se considère comme une militante LGBT. Opal Tometi, 35 ans, a grandi avec une mère et un père nigérians et deux frères en Arizona.

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Dans une interview accordée à MSNBC en 2015 , Khan-Cullors a souligné «l’identité queer» des fondatrices de Black Lives Matter.

« Même le hashtag [#BlackLivesMatter] a été créé par deux femmes homosexuelles noires, moi-même et Alicia, et une femme nigéro-américaine, Opal Tometi », a-t-elle déclaré.

Khan-Cullors a expliqué que «dès le début», il était important pour le mouvement de s’attaquer non seulement aux «meurtres de jeunes garçons noirs», mais à ceux de «toutes les vies noires», y compris celles des personnes transgenres. Khan-Cullors a laissé entendre que les dirigeants des droits civiques du passé n’étaient pas représentatifs de tous les Noirs.

« Le récit historique des Noirs se bat pour les hommes noirs cis-hétéro-chrétiens », a-t-elle déclaré.

Black Lives Matter a été accusé par certains experts d’avoir détourné le meurtre de George Floyd à des fins politiques.

Ryan Bomberger, un activiste pro-vie métisse, a déclaré que la focalisation de l’organisation Black Lives Matter sur l’idéologie LGBT est l’une des dix raisons pour lesquelles il ne rejoindra jamais le mouvement.

«Ils promeuvent fortement l’homosexualité et le transgenre», a écrit Bomberger le 5 juin pour Townhall .

« Je n’embrasse pas la confusion », a-t-il ajouté.

« Ils ignorent complètement la paternité », écrit-il également. «Chaque «village» qui a des familles sans père est un village qui subit des taux de criminalité plus élevés, une consommation de drogues plus élevée, des taux d’avortement plus élevés, des taux d’abandon plus élevés, des taux de pauvreté plus élevés, et bien plus encore. #DadsMatter. »

Bomberger a également noté que les plus jeunes vies noires ne semblent pas avoir d’importance pour les auteurs du manifeste Black Lives Matter.

«Les enfants avortés ne prospèrent pas. Les groupes BLM ont annoncé leur « solidarité » avec les groupes de «justice reproductive» en février 2015. Vous ne pouvez pas combattre simultanément la violence tout en la célébrant », a-t-il déclaré.

Khan-Cullors et Garza ont commencé le mouvement «Black Lives Matter» après que l’hispanique George Zimmerman a été acquitté en 2013 du meurtre au deuxième degré et de l’homicide involontaire d’un garçon noir de 17 ans nommé Trayvon Martin. Le nom du mouvement est désormais synonyme des manifestations qui ont balayé les États-Unis et bien d’autres pays occidentaux, dont la France, depuis que le criminel condamné George Floyd a été filmé en train de mourir sous le genou d’un policier blanc.

Commentaire : Les militants de Black Lives Matter – de l’aveu même d’une des cofondatrices du mouvement – sont des marxistes-post-nihlistes radicaux :
« Nous avons un cadre idéologique… nous avons été formés au marxisme », déclare Patrisse Cullors, cofondatrice de Black Lives Matter.

Par conséquent, rien d’étonnant à ce qu’un de leurs objecifs soit la destruction du modèle familial traditionnel, via la promotion de l’idéologie LGBT et l’éviction du père de la cellule familiale. Or comme le souligne Larry Elder, le plus grand problème auquel sont confrontés les Afro-Américains n’est pas le racisme prétendument systémique qui sévirait aux États-Unis, mais le fait qu’un pourcentage significatif d’enfants noirs sont élevés sans père – un facteur de risque majeur de la délinquance.

Toulouse : plusieurs agressions à coups de couteau : deux hommes grièvement blessés

Deux violentes rixes ont eu lieu dans la nuit du vendredi 19 à samedi 20 juin 2020, à Toulouse. Deux personnes ont été grièvement blessées. Les premiers éléments.

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Plusieurs agressions au couteau ont eu lieu dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 juin 2020, à Toulouse.

Coup de couteau en fin de nuit à la Daurade

La fin de nuit a été mouvementée sur les quais de La Daurade, en plein centre-ville. Aux alentours de 5h30, deux personnes ont été pris à partie par un groupe de quatre individus.

Un homme dont on ignore l’âge, a reçu un coup de couteau au niveau du sternum, indique une source policière . Grièvement blessé, il a été transporté par les secours en urgence absolue à l’hôpital de Rangueil.

D’après les premiers éléments, les quatre individus auraient voulu dérober le téléphone portable de la victime et de son ami, qui se seraient interposés. Pour le moment aucune interpellation n’a eu lieu suite à ce coup de couteau. Une enquête de police a été ouverte par la police.

Deux blessés dans une autre agression

Plus tôt dans la soirée, une autre rixe a éclaté dans le quartier des Minimes, aux alentours de 23 heures. D’après les informations recueillies par Actu Toulouse, une personne transgenre, qui était en compagnie de son petit ami, a assené plusieurs coups de couteau à un individu âgé de 45 ans, au niveau de la rue du professeur Jammes.

Son petit ami, qui était en béquille, à quant à lui porté plusieurs coups de béquilles à la victime, quand celle-ci se trouvait à terre. Grièvement blessée, la victime a été transportée en urgence absolue à l’hôpital de Rangueil. Son pronostic vital était engagé, hier soir. Au moment des faits, un jeune homme qui passait par là, âgé de 25 ans, a tenté de s’interposer et a également reçu un coup de couteau. Souffrant d’une blessure plus légère, il a été conduit par les secours au CHU de Purpan.

Le couple a quant à lui pris la fuite, avant d’être interpellé un peu plus tard par un équipage de la brigade anti-criminalité. Âgés de 38 et de 36 ans, les deux individus ont été placés en garde à vue.

Les causes de cette agression restent à éclaircir mais au cours de sa garde à vue, l’auteure des coups de couteau a déclaré aux policiers avoir agressé l’individu âgé de 45 ans car elle avait été violée par cet homme deux jours plus tôt.

Toujours hospitalisé, l’homme accusé de viol par son agresseur n’a pour le moment pas pu être entendu par les enquêteurs.

«Des centaines de bébés bloqués en Ukraine montrent l’indécence de la gestation pour autrui»

Pour qui ces pauvres bébés pour des pédophiles ? , des couples d’homos qui pourront les amener à la gay pride , à des lesbiennes névrosées , pour qui ces pauvres bébés vendus comme des savonnettes ?

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Pendant le confinement, les images de centaines de nourrissons nés par GPA et bloqués à Kiev en attendant de pouvoir être remis à leurs commanditaires ont suscité de vives réactions dans le pays et même au-delà, souligne Claire de la Hougue, juriste spécialiste des questions de bioéthique.

L’image de plusieurs dizaines de nouveau-nés attendant, dans un hôtel de Kiev, que leurs commanditaires puisse venir les chercher a dévoilé une réalité souvent méconnue: l’Ukraine, pays membre du Conseil de l’Europe, est un important centre du marché international de la reproduction. Les clients y trouvent des donneuses d’ovocytes et des mères porteuses de leur phénotype ou, pour le dire plus simplement, des femmes blanches, pour un prix beaucoup moins élevé qu’aux États-Unis. Même les cliniques d’Asie viennent se fournir en ovocytes «de type caucasien» en Ukraine.

Il existe théoriquement un cadre légal – parents mariés infertiles, lien génétique avec au moins un des deux commanditaires, pas de lien génétique entre la mère porteuse et l’enfant – mais certaines agences s’en affranchissent sans vergogne. La mère porteuse renonce à ses droits dans un contrat notarié passé avec les commanditaires qui sont directement inscrits sur l’acte de naissance de l’enfant ainsi obtenu. Cet acte est donc mensonger, puisqu’il indique comme mère une autre femme que celle qui a accouché, ce qu’on appelait naguère en France le crime de supposition d’enfant.

Cette image montre à quel point la « maternité de substitution  » est contraire à la plus élémentaire humanité.

Cette image choquante, publiée d’abord par une agence de gestation pour autrui afin de rassurer ses clients et tenter de forcer la main du gouvernement ukrainien pour faire ouvrir les frontières, aura eu le mérite d’attirer l’attention sur ces enfants conçus et mis au monde en exécution d’un contrat, arrachés à leur mère à la naissance et vendus. Elle montre à quel point la «maternité de substitution» est contraire à la plus élémentaire humanité. Elle a suscité de nombreuses réactions, en Ukraine comme à l’étranger.

C’est Lyudmyla Denisova, Commissaire aux droits de l’homme du Parlement ukrainien, qui a informé la presse que plus d’une centaine de nouveau-nés attendaient leurs commanditaires, bloqués par la fermeture des frontières liée au confinement. Elle a dénoncé l’industrie de masse de la maternité de substitution qui promeut les bébés comme des «produits de haute qualité». Constatant que cette situation prouve que l’État ne prend pas les mesures adéquates pour protéger les droits et la dignité des enfants, elle a appelé le Parlement à interdire la gestation par autrui au profit des étrangers, affirmant que les enfants en Ukraine ne devaient pas faire l’objet de traite des personnes.

Le fait que cette pratique soit légale empêche le développement et discrédite l’Ukraine aux yeux de la société européenne.

Mgr Sviatoslav Shevchuk, archevêque majeur de Kiev et de Galicie, chef de l’Église grecque-catholique d’Ukraine, et Mgr Mieczyslaw Mokrzycki, archevêque de Lvov et président de la conférence des évêques catholiques de rite latin, ont eux-aussi publié mi-mai une lettre commune condamnant fermement la pratique de la gestation pour autrui: une telle manifestation de mépris pour la personne humaine et sa dignité est inacceptable. Ils ont appelé le gouvernement à interdire la maternité de substitution. Ils ont ajouté que le fait que cette pratique soit légale empêche le développement et discrédite l’Ukraine aux yeux de la société européenne. Ils ont invité le gouvernement à adopter une politique familiale garantissant que les mères ukrainiennes n’aient plus besoin de faire commerce de leur corps et de leurs enfants pour leur propre survie et celle de leur famille. Ils ont affirmé que la maternité de substitution, même prétendument non lucrative, est intrinsèquement mauvaise moralement, source d’innombrables souffrances pour toutes les personnes impliquées, d’abord les enfants et les mères mais aussi les intermédiaires et les commanditaires. Lorsqu’elle est commerciale, elle doit être jugée encore plus sévèrement car s’y ajoute le fait d’acheter et de vendre les fonctions du corps de la femme et la personne même de l’enfant.

Ce débat sur la GPA intervient alors que la situation démographique de l’Ukraine est désastreuse. Difficultés économiques, instabilité politique, pauvreté et corruption ont provoqué une forte émigration et une chute de la natalité. Le taux de fécondité est aujourd’hui inférieur à 1,4 enfants par femme. La population a baissé de plus de 10 millions d’habitants en 30 ans. L’Ukraine n’a plus d’enfants sinon pour l’exportation… Commanditaires et intermédiaires profitent du dénuement des femmes ukrainiennes pour les dépouiller même de ce qu’elles ont de plus intime et précieux, la maternité.

L’indignation devant ces enfants n’est pas restée cantonnée à l’Ukraine. La presse de nombreux pays s’en est fait l’écho et le député suédois Alexander Christiansson, membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a porté le sujet devant le Comité des ministres. Dans une question écrite soumise le 3 juin, il a rappelé que la Convention européenne sur le statut juridique des enfants nés hors mariage prévoit que «la filiation maternelle de tout enfant né hors mariage est établie du seul fait de sa naissance». Or, bien que l’Ukraine ait ratifié cette Convention, son code de la famille dispose à l’inverse que la filiation de l’enfant né grâce à une mère porteuse est établie directement avec les «futurs parents», même dans les cas où l’enfant a été conçu avec des ovules offertes par une tierce personne. La femme qui donne naissance à l’enfant n’apparaît donc pas dans la filiation de l’enfant, ce qui est contraire à la Convention.

La gestation par autrui est contraire à de nombreuses conventions internationales ratifiées par l’Ukraine.

Le Comité des ministres, qui rassemble les 47 ambassadeurs au Conseil de l’Europe, devra donc répondre et indiquer quelles actions il envisage de prendre à l’égard de l’Ukraine afin de lui faire respecter son engagement.

Plus généralement, la gestation pour autrui est contraire à de nombreuses conventions internationales ratifiées par l’Ukraine. Outre la Convention relative aux droits de l’enfant et son protocole additionnel sur la vente d’enfant, on peut mentionner notamment la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, ainsi que les conventions interdisant l’esclavage et la traite. Un État respectueux de ses engagements internationaux ne saurait admettre cette pratique sur son territoire ni l’entériner lorsque ses ressortissants y ont recours à l’étranger.

Ces enfants bloqués dans un hôtel de Kiev nous obligent à regarder en face la réalité: la maternité de substitution signifie la production d’enfants comme des marchandises pour satisfaire le désir d’adultes fortunés. Elle implique l’exploitation de femmes pauvres. Cruelle et destructrice pour les enfants et les mères, cette pratique doit être éradiquée.

Genderofolie : la France a son premier maire trans , la France LGBT , la France dite progressiste…

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Maintenant, il s’appelle Marie Cau et il est la première personne transsexuelle à devenir maire en France, à porter l’écharpe bleu-blanc-rouge. En fait, il a été élu premier citoyen à Tilloy-lez-Marchiennes, dans le nord-est de la France, le 24 mai dernier.

Le nouveau maire a déclaré:

« Les gens ne m’ont pas élu parce que j’étais ou non transgenre, ils ont élu un programme. »

Marlène Schiappa, ministre française de l’égalité des genres, a déclaré:

« La visibilité trans et la lutte contre la transphobie dépendent également de l’exercice des responsabilités politiques et publiques. Félicitations Marie Cau! »

Sera-ce la nouvelle normalité qui nous attend?

La Gay stapo LGBT : Le chantage de la Commission européenne pour imposer l’idéologie LGBT en Pologne

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De notre correspondant permanent à Varsovie. – « Si nous sommes conscients que, aujourd’hui, répondre à la menace du Covid-19 en Europe est notre première priorité, nous devons aussi nous assurer de ne pas négliger les autres questions importantes. [Or] […] plusieurs collectivités locales [en Pologne] ont adopté des déclarations ou résolutions contre les personnes LGBT alors que, en même temps, elles utilisent des fonds européens. »

Ce court extrait provient d’une lettre datée du 27 mai et adressée par deux directions générales de la Commission européenne – celle de la politique régionale et urbaine et celle de l’emploi, des affaires sociales et de l’inclusion – à cinq voïvodies (régions) polonaises qui ont adopté entre 2019 et 2020 des déclarations relatives à leur refus de l’idéologie LGBT ou bien, dans le cas d’une de ces cinq voïvodies, une Charte des collectivités locales pour les droits des familles. Une charte qui, soit dit en passant, ne mentionne aucunement les questions d’orientation sexuelle et où le sigle « LGBT » n’apparaît sous aucune de ses déclinaisons. Visiblement, pour la Commission, qu’une région d’un pays de l’UE s’engage à promouvoir des politiques favorables aux familles porte forcément en soi le risque de discriminations à l’encontre des personnes s’identifiant à une « communauté LGBT ». Quant aux déclarations contre l’idéologie LGBT, il s’agit de résolutions adoptées par des dizaines de collectivités locales (voïvodies, communes, etc.) depuis l’année dernière en Pologne, après que plusieurs grandes villes dirigées par les libéraux, et notamment la capitale Varsovie, eurent adopté des chartes LGBT+ qui, elles, s’accompagnent bien de discriminations et de violations du droit européen. Ainsi, à Varsovie, la ville a fait savoir qu’elle ne travaillerait qu’avec les entreprises qui accepteraient de promouvoir les personnes et attitudes LGBT. Le maire, dans sa « Déclaration LGBT+ » signée en février 2019, s’est aussi engagé à imposer dans toutes les écoles de la ville une éducation sexuelle sensibilisant les enfants aux questions d’orientation sexuelle et d’identité sexuelle, avec présence obligatoire dans les écoles d’un « référent LGBT » délégué par une association du lobby LGBT.

La Charte des droits fondamentaux de l’UE garantit le « droit des parents d’assurer l’éducation et l’enseignement de leurs enfants conformément à leurs convictions religieuses, philosophiques et pédagogiques ». Ici pourtant, la Commission n’intervient pas. Elle intervient contre les collectivités locales polonaises qui revendiquent leur volonté de respecter la volonté des parents en matière d’éducation, la liberté de pensée et d’expression et le refus de faire entrer dans les écoles des militants associatifs. Pour justifier son chantage aux fonds européens qu’elle menace de suspendre dans sa lettre du 27 mai, la Commission européenne affirme qu’il n’y a pas d’idéologie LGBT et sous-entend que tout refus d’une idéologie LGBT inexistante est un rejet des personnes s’identifiant à ce sigle de par leur orientation sexuelle.

C’est donc désormais officiel : pour la Commission européenne, l’idéologie LGBT est obligatoire et le droit européen ne s’applique que dans la mesure où il va dans le sens des revendications du lobby LGBT. Toutes les autres missions de Bruxelles, comme, par exemple, le programme de lutte contre les effets de la pandémie de Covid-19, passent après ce combat idéologique. •

Cet article Le chantage de la Commission européenne pour imposer l’idéologie LGBT en Pologne est apparu en premier sur Présent.

 

Extrait de: Source et auteur

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