Affaire Mila : la mauvaise foi de la patronne des Inrocks pour justifier son silence

les inrocks revue de gauche , des bobos et du politiquement correct , un peu gênée aux entournures , quand il faut trancher et choisir entre deux maux le silence assourdissant des faux culs…

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Pour justifier le silence de sa rédaction au sujet de l’affaire Mila, la rédactrice en chef des Inrocks a invoqué un changement de ligne éditoriale, “recentrée sur la culture”…

Les médias de gauche, d’ordinaire si volubiles, se font étrangement silencieux depuis l’éclatement de l’affaire Mila. La plupart d’entre eux (pour ne pas les citer : Le MondeTéléramaLes Inrocks, Mediapart, Libération…) ont fait le choix d’aborder le sujet avec parcimonie, n’y consacrant qu’un ou deux articles, comme le fait remarquer le site Arrêt sur images. Et pour justifier cette position, certains médias ont fait preuve d’une mauvaise foi certaine.

Une couverture sur Trump en janvier

C’est notamment le cas des Inrocks, dont la rédactrice en chef Marie Kirschen, a été contactée par le site. Sans complexe, elle l’assure : « On s’est vraiment recentrés sur la culture il y a un peu plus d’un an, il y a beaucoup moins de papiers sur des thématiques sociétales ou politiques ». Un rapide coup d’œil sur le site internet du magazine suffit à constater qu’il s’agit là d’une très mauvaise excuse. « Quand le coronavirus rime avec racisme anti-asiatique »« L’énorme coup de gueule de Ruffin contre LREM »« 10 preuves que la grève à la française a de la gueule » ou encore « A Calais, les migrants prennent le large par désespoir » : la plupart des articles de la rubrique « actu » parlent… de politique et de société.

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Valeurs Actuelles

Afrique : La 8e plaie d’Égypte

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Des essaims de milliards de criquets envahissent l’Afrique de l’Est

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Des essaims de criquets dévastent de larges zones d’Afrique de l’Est L’actu en vidéo / 1 min. / hier à 11:14
Des essaims de criquets d’une ampleur historique, totalisant plusieurs milliards d’insectes, dévastent depuis plusieurs semaines de larges zones d’Afrique de l’Est.

D’épais nuages de crickets affamés se sont répandus depuis l’Ethiopie et la Somalie jusqu’au Kenya, où l’Agence des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) a estimé qu’un seul de ces essaims couvrait une surface de 2400 km2, la taille du Luxembourg. L’Erythrée et Djibouti sont également touchés.

Un tel essaim contiendrait quelque 200 milliards de criquets – et chacun dévore chaque jour l’équivalent de son propre poids (deux grammes), soit un total de 400’000 tonnes de nourriture. Il est capable de parcourir 150 kilomètres par jour et de ravager les moyens d’existence des populations rurales dans leur course effrénée pour se nourrir et se reproduire.

L’Ethiopie et la Somalie n’avaient pas vu d’essaims de criquets pèlerins d’une telle ampleur depuis 25 ans, et le Kenya n’avait pas eu à affronter de menace acridienne d’une telle force depuis 70 ans, selon la FAO.

afp/cab

Publié hier à 12:53 Modifié hier à 14:18

Des essaims en extension

Si rien n’est fait, le nombre d’insectes ravageurs « pourrait être multiplié par 500 d’ici le mois de juin », envahissant le Soudan du Sud et l’Ouganda, dévastant les cultures sur son passage, dans des zones déjà très vulnérables, a mis en garde l’Agence des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO).

Les essaims géants sont entrés au Kenya en décembre, ravageant sur leur passage la prairie du nord et du centre du pays.

Les éleveurs sont le premiers menacés

Si les agriculteurs ont été relativement épargnés, leurs champs ayant déjà été moissonnés, les éleveurs sont frappés de plein fouet par une invasion qui détruit les moyens de subsistance de leurs animaux, déjà mis à rude épreuve par trois années de sécheresse.

Si la menace des criquets n’a pas été jugulée d’ici le début de la prochaine saison de semis, aux alentours de mars, les agriculteurs pourraient voir leurs champs anéantis.

L’Australie a expulsé près de 5.000 migrants violents

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Au cours de ces cinq dernières années, près de 5.000 migrants ont été expulsés d’Australie, dont le plus récent est un ressortissant américain qui a frappé son ex-petite amie enceinte à l’estomac, selon le Daily Mail. 

Depuis 2014, les immigrants condamnés à 12 mois de prison voient en effet leur visa annulé automatiquement. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur australien, l’Australie a annulé près de trois visas par jour en moyenne depuis ce changement de loi.

Cette annulation stricte s’applique également à toute personne reconnue coupable de délits sexuels impliquant des enfants.

Parmi les personnes expulsées figurait notamment un ressortissant néo-zélandais reconnu coupable d’avoir torturé et agressé ses enfants, ou un Palestinien qui a sexuellement agressé une femme en menaçant de la tuer.

« Ma priorité absolue est de protéger notre communauté de ceux qui cherchent à nous faire du mal », a expliqué le ministre des Affaires intérieures, Peter Dutton.

« Si vous avez commis un crime, en particulier contre une femme ou un enfant, vous n’êtes pas le bienvenu en Australie. Je ne m’excuse pas de vous avoir enlevé votre droit de rester dans ce pays. »

La Grèce veut ériger une frontière flottante sur la mer pour limiter l’afflux de migrants

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Le ministère grec de la Défense a rendu public mercredi un appel d’offres pour faire installer un « système de protection flottant » en mer Égée. L’objectif : réduire les flux migratoires en provenance de la Turquie alors que la Grèce est redevenue en 2019 la première porte d’entrée des migrants en Europe.

C’est un appel d’offres surprenant qu’a diffusé, mercredi 29 janvier, le ministère grec de la Défense : une entreprise est actuellement recherchée pour procéder à l’installation d’un “système de protection flottant” en mer Égée. Cette frontière maritime qui pourra prendre la forme de « barrières » ou de « filets » doit servir « en cas d’urgence » à repousser les migrants en provenance de la Turquie voisine.

 

Selon le texte de l’appel d’offres, le barrage – d’une “longueur de 2,7 kilomètres” et d’une hauteur de 1,10 mètre dont 50 cm au dessus du niveau de la mer – sera mis en place par les forces armées grecques. Il devrait être agrémenté de feux clignotants pour une meilleure visibilité. Le budget total comprenant conception et installation annoncé par le gouvernement est de 500 000 euros.

“Au-delà de l’efficacité douteuse de ce choix, comme ne pas reconnaître la dimension humanitaire de la tragédie des réfugiés et la transformer en un jeu du chat et de la souris, il est amusant de noter la taille de la barrière et de la relier aux affirmations du gouvernement selon lesquelles cela pourrait arrêter les flux de réfugiés”, note le site d’information Chios News qui a tracé cette potentielle frontière maritime sur une carte à bonne échelle pour comparer les 2,7 kilomètres avec la taille de l’île de Lesbos.

“Sur cette photo, vous pouvez voir la taille réelle d’un barrage de 2 700 mètres par rapport à l’île de Lesbos”, écrit Chios News. Crédit : Google Maps / ChiosNews.com

La question des migrants et des réfugiés est gérée par le ministère de l’Immigration qui a fait récemment sa réapparition après avoir été fusionné avec un autre cabinet pendant six mois. Devant l’ampleur des flux migratoires que connaît la Grèce depuis 2015, le ministère de la Défense et l’armée offrent un soutien logistique au ministère de l’Immigration et de l’Asile.

Mais la situation continue de se corser pour la Grèce qui est redevenue en 2019 la première porte d’entrée des migrants et des réfugiés en Europe. Actuellement, plus de 40 000 demandeurs d’asile s’entassent dans des camps insalubres sur des îles grecques de la mer Égée, alors que leur capacité n’est que de 6 200 personnes.

 

Le nouveau Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, élu à l’été 2019, a fait de la lutte contre l’immigration clandestine l’une de ses priorités. Il a déjà notamment durci l’accès à la procédure de demande d’asile. Il compte également accélérer les rapatriements des personnes qui « n’ont pas besoin d’une protection internationale » ou des déboutés du droit d’asile, une mesure à laquelle s’opposent des ONG de défense des droits de l’Homme.

France : L’État incapable de réagir face à une démocratie malade de la violence

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La France veille à ce que les casseurs puissent tout casser dans une totale et entière sécurité !

Par Olivier Maurice.

On ne sait plus trop qui est dans la rue.

Entre les Gilets jaunes, les syndicats, les black-blocs, les marches pour le climat, contre la PMA pour toutes, pour l’égalité, les rassemblements contre les violences faites aux femmes, les pompiers, les lycéens et les enseignants, les médecins et les infirmières, la manifestation hebdomadaire de la coordination parisienne des sans-papiers chaque vendredi à République ou l’association Nogozon qui réclame son local, on a l’impression que la France entière vit dans la rue.

Malgré l’État, rien ne va plus

La France entière, ou plutôt la France qui se tourne vers l’État dès que quelque chose va mal. C’est-à-dire la France entière en fin de compte, puisque l’État s’occupe de tout et que quasiment tout ce dont il s’occupe va mal.

Les policiers aussi sont dans la rue. Chaque samedi. Et vendredi aussi. Et puis aussi le jeudi, le mardi, le mercredi, le lundi, le dimanche. Les policiers sont dans la rue chaque jour, puisqu’il y a des manifestations tous les jours.

Y aurait-il comme un parfum de mécontentement dans ce pays ?

Dans le village France, quand un administré n’est pas content d’un service public, il file au bistrot ou à la mairie, les deux endroits où il est certain de trouver monsieur le Maire et il lui remonte les bretelles.

Dans la République France, quand un administré n’est pas content d’une décision des pouvoirs publics ou subit de plein fouet l’inefficacité et la paperasserie de l’administration tatillonne, le poids des impôts et des taxes, la lourdeur des règlements et des normes, les manques de moyens, la dégradation des infrastructures et l’absence totale d’alternative au monopole étatique, il n’a qu’une seule et unique alternative : se taire, subir et courber la tête.

Et donc fatalement, lorsque la frustration et le mécontentement finissent par faire déborder le vase, l’administré se retrouve dans la rue, face aux LBD et aux grenades de désencerclement.

La solution qui va tout changer

Une démocratie aussi malade, un régime aussi sourd, aussi replié sur ses certitudes et ses contradictions, se devait de faire amende honorable et de réagir à une situation qui ne fait qu’empirer.

Le ministre de l’Intérieur a donc trouvé une solution imparable qui rétablira enfin le dialogue entre le pouvoir et le petit peuple, qui recréera le lien entre les élites et les masses populaires : remplacer les GLI-F4 par des GM2L1 !

L’information est de taille et va considérablement changer la vie des Français.

Ils ne risqueront plus de se faire mutiler par des « armes intermédiaires de diversion et de dissuasion destinées au contrôle et à la neutralisation des forcenés » qui étaient « inadaptées aux nouveaux enjeux de sécurité publique et de maintien de l’ordre. »

En clair : les black-blocs, casseurs, pilleurs et autres professionnels du désordre urbain ou simple-citoyen-se-trouvant-là-par-hasard-je-vous-jure-monsieur-le-juge ne risqueront plus de se faire arracher la main en renvoyant les grenades lacrymogènes sur les forces de l’ordre. Dorénavant, ils risqueront juste de devenir sourds si celles-ci leur explosent à la figure.

Grace à l’État qui s’occupe de tout, les contribuables et usagers mécontents pourront dorénavant manifester en toute sécurité dans une joyeuse mixité sociale mêlant familles et groupuscules extrémistes prônant la révolution armée et le meurtre de masse ! Ils pourront se promener en hurlant et en vociférant, en invectivant et en insultant les forces de l’ordre en toute sécurité ! Ils pourront faire tout le bruit qu’ils veulent sans danger. Sans risque d’être blessés. Sans risque d’être entendus non plus d’ailleurs.

La polémique est close : la France n’est pas une dictature, elle fait attention à la santé de ses citoyens, elle n’abuse pas du pouvoir des autorités et de la puissance des forces de l’ordre. La France veille à ce qu’il n’y ait point de débordements, de bavures ou de violences policières, qu’il n’y ait point de manifestants blessés.

La France veille à ce que les casseurs puissent tout casser dans une totale et entière sécurité !

Nous vivons dans un pays formidable !

source:

  1. Les GM2L sont un nouveau modèle de grenades assourdissantes et à gaz incapacitant destinées à remplacer le modèle utilisé actuellement.

Toulouse : Ils forçaient des jeunes filles de moins de 16 ans en fugue à se prostituer

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Grâce à la vigilance d’un employé de la SNCF et à la réactivité des policiers, un gang de quatre proxénètes bien organisé a été neutralisé.

L’affaire a débuté dimanche, lorsqu’une adolescente s’est présentée à un guichet de la gare Matabiau, à Toulouse (Haute-Garonne). Elle souhaitait acheter un billet de train pour Lille, mais son comportement étrange a mis la puce à l’oreille de l’employé SNCF.

Il a fait intervenir le service de sécurité, et la jeune fille a craqué. Elle leur a confié être contrainte de se prostituer dans un appartement du centre-ville par plusieurs individus. Les policiers ont été alertés et l’adolescente conduite auprès des enquêteurs de la Sûreté départementale.

Un dispositif de surveillance mis en place

Vu la précision de ses déclarations, les enquêteurs ont pris son témoignage au sérieux et ont pu mettre en place un dispositif de surveillance discret. L’adolescente leur a indiqué le secteur de la Colombette, dans lequel elle était contrainte de vendre son corps, ainsi que le lieu où se reposaient ses proxénètes.

Au terme des surveillances, les enquêteurs de la Sûreté départementale épaulés par ceux de la brigade anticriminalité (BAC) ont mis en oeuvre un dispositif d’interpellation. Il s’est parfaitement déroulé et les quatre proxénètes ont été interpellés dans la rue puis dans un appartement.

Au moment de l’opération policière, un client s’affairait avec une mineure, dans le logement. Cette dernière apparaissait comme étant âgée de 20 ans sur le site internet de petites annonces dédiées.

La police judiciaire saisie de l’enquête

Le parquet a confié la suite des investigations à la Police judiciaire, relate La Dépêche. Les enquêteurs ont auditionné trois mineures, âgées de moins de 16 ans, asservies par les quatre hommes.

L’enquête a permis de démontrer que ces derniers se relayaient auprès des jeunes filles fugueuses pour gérer l’intendance, la location des logements, publier les petites annonces en ligne, surveiller les clients et… collecter l’argent des passes.

Des faits similaires à Marseille et Lyon

Ce type d’affaire n’est malheureusement pas rare. Deux des suspects interpellés avaient d’ailleurs échappé à un coup de filet de la police lyonnaise en fin d’année, pour une affaire similaire.

D’après un policier qui s’est confié au quotidien régional, le phénomène de la prostitution de mineures en fugue a connu un essor il y a quelques années en banlieue parisienne, avant de s’exporter à Lyon ou Marseille. « La semaine dernière dans la cité phocéenne, des arrestations ont ainsi eu lieu. Une fille de 16 ans et son copain de 21 ans obligeaient une fille de 13 ans à se prostituer ! » rapporte La Dépêche.

Toulon : Il poignarde un adolescent dans un bus et le blesse grièvement puis se poignarde lui-même

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L’adolescent âgé de 17 ans a été pris en charge par les secours avant d’être évacué à l’hôpital en état d’urgence absolue. Il a reçu trois coups de couteau.

INFO ACTU17. Il était environ 12h30 ce jeudi dans un bus de Toulon (Var) lorsqu’un adolescent de 17 ans a été poignardé à trois reprise par un autre passager.

Le bus s’est alors arrêté sur l’avenue du Maréchal Foch, à hauteur du carrefour Villevieille et les secours ont été rapidement alertés, tout comme la police. L’adolescent grièvement blessé a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et par le SAMU. Son agresseur présumé, un homme âgé de 40 ans, à lui aussi été pris en charge par les secours alors qu’il était blessé.

Il se poignarde au thorax

Selon les premiers éléments de l’enquête, une altercation dont le motif reste inconnu à ce stade aurait éclaté dans le bus entre la victime et son agresseur qui se connaitraient. La situation a ensuite dégénéré et la quadragénaire aurait poignardé l’adolescent de 17 ans, le blessant grièvement. L’homme aurait ensuite retourné l’arme contre lui et se serait poignardé au niveau du thorax.

La victime, touchée à l’artère fémorale, a été conduite à l’hôpital en état d’urgence absolue. L’agresseur présumé, déjà connu des services de police ainsi que pour ses troubles psychiatriques, a lui aussi été amené à l’hôpital en état d’urgence relative.

Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale.

Seine-Maritime : La jeune automobiliste n’avance pas assez vite, il la sort de sa voiture et la roue de coups

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L’agresseur a laissé sa victime sur le sol et a pris la fuite. La scène très violente s’est déroulée sous les yeux de plusieurs témoins.

Un conducteur qui trouvait que la jeune automobiliste devant lui n’avançait pas assez vite l’a passée à tabac, ce jeudi vers 17h15 à Harfleur, près du Havre (Seine-Maritime). L’homme a perdu ses nerfs alors qu’il se trouvait au volant derrière la jeune femme de 24 ans.

Après lui avoir fait plusieurs queues de poisson, le chauffard l’a physiquement agressée à hauteur d’un feu rouge de la rue René-Coty.

Il brise la vitre et extrait la jeune femme de sa voiture

Particulièrement violente et soudaine, l’agression a eu lieu sous les yeux de plusieurs témoins. L’homme s’est porté à la hauteur de la conductrice arrêtée devant lui au feu rouge. Il a ensuite brisé la vitre latérale avant de l’extraire de sa voiture, d’après un témoin qui s’est confié à 76actu.

L’agresseur a copieusement insulté la malheureuse et l’a rouée de coups. Il a ensuite pris la fuite en laissant la victime au sol. Les secours ont été alertés et l’ont prise en charge alors qu’elle présentait plusieurs hématomes et une suspicion de fracture du nez.

Avisés, les policiers n’ont pas eu de mal à identifier l’agresseur. Il a été interpellé chez lui à Gonfreville-l’Orcher vers 20 heures. Âgé de 38 ans, il a été placé en garde à vue.

Macron trouve ça drôle, que des Français des Citoyens des Gilets jaunes aient perdu un oeil à cause de lui ?

macron angouléme

Un « fauve » éborgné, LBD 2020… Salon de la Bande dessinée d’Angoulême

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Angoulême
Salon de la bande dessinée
30 janv. 2020

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La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l’infini.” Ernest Renan

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On appréciera à leur juste mesure les déclarations de Macron… 

« C’est aussi parce que nous sommes une société libre que le président de la République peut accepter de poser avec un tee-shirt où il y a quelque chose avec lequel il n’est pas d’accord », a affirmé Emmanuel Macron, en évoquant « une société dans laquelle on est en train d’exiger de chacun le respect et la civilité et où on peut dire que la violence est interdite ». Interrogé plus tard par la presse, le président s’est refusé à incriminer le dessinateur : « Jul a voulu dire que les auteurs avaient leur liberté et le droit de dire ce qu’ils veulent en dehors de [leurs] problèmes. »

« Néanmoins, de là où je suis, je dois défendre la créativité, la liberté d’expression, y compris l’insolence et y compris la création d’artistes qui disent des choses (…) avec lesquelles je ne suis pas en accord, mais qui sont là. (…) Ce t-shirt dit quelque chose de très profond, c’est que dans notre pays, la liberté d’expression est préservée et protégée, (…) et ça c’est un trésor », estime le chef de l’État.

Emmanuel Macron a par ailleurs réitéré sa promesse de faire en sorte que tout policier qui ne « respecte pas la déontologie » soit sanctionné. Il dit refuser « toute complaisance ». Mais selon lui, « le problème vient d’abord de nos concitoyens qui ont décidé de rentrer dans la violence, et il faut que tout le monde rentre dans le calme« .

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S’il faut retenir une seule image de la visite d’Emmanuel Macron au Festival international de la bande dessinée (FIBD) d’Angoulême, jeudi 30 janvier, ce sera donc elle : le président de la République tout sourire, tenant entre les mains un tee-shirt représentant la mascotte de la manifestation avec un sparadrap sur l’œil. Un intitulé accompagne le dessin : « LBD 2020 », double allusion au label « BD 2020 », placé sous l’égide du ministère de la culture, et au lanceur de balles de défense (LBD), arme de force intermédiaire ayant provoqué de nombreuses blessures graves pendant les manifestations des « gilets jaunes ».

Cédric Pietralunga@CPietralunga

Lors de son déjeuner avec des auteurs de BD ce midi à Angoulême, @EmmanuelMacron s’est vu offrir par @jul_auteur un tee-shirt avec le Fauve du @FIBDASSO éborgné, surmontant l’inscription « LBD 2020 »

Aux côtés du président, le dessinateur Jul sourit également, tout heureux d’avoir vu le chef de l’Etat accepter ce cadeau de fin de repas. La scène se déroule dans le restaurant de la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, où Emmanuel Macron déjeunait avec plusieurs auteurs et éditeurs, invités à évoquer la précarisation des professionnels du secteur. Rapidement diffusé sur les réseaux sociaux, le cliché n’est pas sans en évoquer un autre, pris lors d’un séjour aux Antilles en septembre 2018, où le président posait avec deux jeunes de l’île de Saint-Martin, dont l’un faisait un doigt d’honneur. L’image avait déclenché une polémique en métropole.

Le chat de Trondheim éborgné

Tout, ici, est parti d’une « blague », lancée par le même Jul, le 18 décembre 2019, lors de la conférence de présentation de l’année de la bande dessinée, au ministère de la culture. Parrain de la programmation, le caricaturiste avait pris la parole pour dire que, si 2020 serait l’année de la BD, 2019 avait été celle du LBD. Sur Internet, un collectif de dessinateurs avait ensuite détourné la mascotte du Festival d’Angoulême – un petit chat, créé par Lewis Trondheim – en l’éborgnant.

 

Peu s’en fallut, jeudi, pour que Jul n’accède pas au déjeuner présidentiel avec son tee-shirt imprimé du fauve mutilé. Un policier lui confisqua en effet l’« objet, considéré comme séditieux », raconte-t-il : « J’ai dû gueuler pour le récupérer. » Lors du repas, Jul s’écarta du débat central portant sur le statut des auteurs pour jouer son rôle de trublion et rappeler « que la bande dessinée est aussi une caisse de résonance du monde qui l’entoure ». Reprochant à M. Macron de ne pas « être au rendez-vous de l’histoire » et des promesses de changement que laissait entrevoir son élection, l’ancien caricaturiste de presse a notamment évoqué l’impuissance des pouvoirs politiques face aux enjeux environnementaux et la recrudescence des violences policières. « Vous êtes sûr de faire la photo ? », a-t-il demandé au chef de l’Etat après lui avoir offert son présent – juste avant d’alimenter son compte Twitter.

« Jul a voulu dire que les auteurs avaient leur liberté »

« C’est aussi parce que nous sommes une société libre que le président de la République peut accepter de poser avec un tee-shirt où il y a quelque chose avec lequel il n’est pas d’accord », a affirmé Emmanuel Macron, en évoquant « une société dans laquelle on est en train d’exiger de chacun le respect et la civilité et où on peut dire que la violence est interdite ». Interrogé plus tard par la presse, le président s’est refusé à incriminer le dessinateur : « Jul a voulu dire que les auteurs avaient leur liberté et le droit de dire ce qu’ils veulent en dehors de [leurs] problèmes. »

 

La visite s’est poursuivie comme si de rien n’était pour le chef de l’Etat. Aux deux expositions prévues à son agenda, il a ajouté une cérémonie de remise des prix, au théâtre de la ville, où étaient décernées les distinctions de la BD jeunesse. Son discours d’une vingtaine de minutes, célébrant la bande dessinée comme un « art majeur », a été vivement applaudi par l’assistance, composée principalement d’auteurs et d’éditeurs.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/01/30/a-angouleme-emmanuel-macron-pose-avec-un-tee-shirt-denoncant-les-violences-policieres_6027846_823448.html

Jusqu’où ira la soumission des Français ?

SOUMISSION

Ce n’est pas difficile, quand je lis la presse ou lorsque je regarde la télé, je me demande comment il est possible qu’on  puisse parler d’autre chose que du danger qui nous menace !

On discute de la voiture électrique. Du panier de la ménagère (important, mais on pourra peut-être s’en soucier APRES, car nous risquons bien, à court terme, de ne plus y trouver que du halal).

On lance de grandes phrases sur la transition écologique. Celle-là, elle m’intéressera à nouveau dès que le danger sera écarté. On s’inquiète de la reine d’Angleterre et de la douleur qu’elle doit ressentir suite au départ de son petit-fils au Canada !

Je n’y crois pas. C’est du délire. La France (et le reste de l’Europe, excusez-moi quand même) est en train de crever. De faire place à des sauvages, des primaires, des barbares qui n‘ont aucune culture et qui dégainent plus vite que leur ombre. Et on discute de la hausse des cours en bourse ?

De la culpabilité de Weinstiiiin ou d’Epstiiiin (le mec qui s’est fait suicider dans sa cellule pour que personne n’apprenne que des sommités faisaient partie de son club d’obsédés sexuels). Je n’y crois pas ! Mais ON S’EN FOUT, de Weinstiiin, on s’en tape de la détresse de la reine !

Désolée si je me répète, je vous préviens, je n’ai pas l’intention d’arrêter, je retranscris l’avis de Philippe Bilger, magistrat français, juge d’instruction, avocat général, resté au service de la justice pendant près de quarante ans, ancien responsable du service de la cour d’assises au sein de la cour d’appel de Paris. Auteur de nombreux ouvrages. Il ne s’agit donc pas ici d’un rappeur débile genre Booba, mais d’un érudit qui fait fonctionner ses méninges.

Il faut dénoncer, vitupérer, condamner, ruer dans les brancards, n’avoir pas peur d’être traité de tous les noms ! Les insultes importent peu mais il ne faut surtout pas, par une lâche complaisance, s’habituer. Ne vous inquiétez pas, Monsieur Bilger, je ne compte pas m’habituer. Ce sont les autres ! J’accuse ! J’accuse les Français (les Belges, les Allemands, les Suédois, Danois et Britanniques et surtout les sardines italiennes) de confortablement s’accommoder de la situation.

Vous n’en avez pas encore assez ?

Après Charlie Hebdo, après l’Hyper-Cacher, l’évidence : la France est la cible du terrorisme islamique. Une immense manifestation à Paris, a réuni un million et demi de personnes, à laquelle se sont jointes des personnalités politiques (l’hypocrisie à son comble !) venues du monde entier. Pendant un moment, la France semblait être le pays où les gens voulaient défendre la liberté de parole, où le gouvernement voulait se battre pour les valeurs de la civilisation occidentale. Cette impression n’a pas survécu à la journée.

https://ripostelaique.com/france-vers-une-soumission-totale-a-lislam-et-la-destruction-de-la-liberte-dexpression.html

Que faire quand un peuple refuse de voir qu’il détruit l’avenir de ses propres enfants ?

Depuis des années, la liberté d’expression est en cours d’étouffement pour tout ce qui concerne l’islam. Celui qui ose critiquer l’islam fait l’objet de poursuites systématiques

Les attentats perpétrés en France en 2015 et en 2016 n’ont donné lieu à aucune manifestation, juste à de lamentables spectacles de fausse compassion, faisant immédiatement grimper le chiffre d’affaires des marchands de bougies et d’œillets.

Un lecteur notait la semaine dernière : Leur faudra-t-il subir une nouvelle attaque massive (qui ne saurait tarder) ? Ils la préparent c’est évident, mais où, quand ? Ils ont déjà réussi à créer un climat de peur sauf que les naïfs veulent se convaincre du contraire en criant « tu n’auras pas ma haine !

Dans ma famille, pour mes amis, mes voisins, je passe pour une excitée rebelle qui voit un jihadiste à chaque coin de rue (le dernier il a y 45 minutes exactement, à la caisse de mon supermarché. Pansu, barbu, inquiétant). Si le caissier n’est pas djihadiste, pouvez-vous me dire pour quelle raison il en revêt la tenue ? Tiens je reviens au prince Harry. Vous souvenez-vous de son déguisement en nazi et de l’indignation MONDIALE qu’il a provoqué ?

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Chez Carrefour, en revanche, des copies de djihadistes servent les clients sans provoquer la moindre inquiétude !

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Je suis une emmerdeuse et je me tais pour ne pas gâcher les soirées. Comme ce n’est pas tellement mon genre, je sors de moins en moins. Les non-concernés (lâches, hypocrites, autruches) me répondent : les violences, ça a toujours existé. Tu regardes trop les mauvaises nouvelles. Les services secrets sont au courant de tout. De toute façon, c’est trop stressant, je n’ai pas le temps, je préfère ne pas savoir sinon on ne vit plus.

Des millions de français ne se sentent pas concernés. Il faut le croire ! PAS CONCERNÉS. On leur souhaiterait presque d’être rapidement concernés. Comme Patrick Jardin, par exemple. Qui lui, ne se gêne pas pour le dire, et se fait sanctionner pour cette raison !! (Pour ceux qui ne connaitraient pas : Patrick est le papa d’une jeune fille sauvagement assassinée au Bataclan. On lui interdit d’en parler. Croyez-le-vous ? Il ose écrire, il est fiché S !) Pendant que Booba et ses copains débiles répandent leur haine en toute liberté.

Vont-ils encore me traiter d’excitée ? Ou alors, me radoter qu’ils connaissent une famille musulmane, qui habite à deux pas de chez eux. Des gens charmants. Calmes, serviables, pas du tout comme je crois. Je leur réponds, moi, à ces tartufes, qu’en 40, il y avait AUSSI des allemands charmants. Et que pourtant, 6 millions de juifs ont été, gazés ! Les Fischer (*) par exemple, Burgenstrasse 45 à Alzembergen. Gentils, empressés, de bons voisins, n’auraient pas voulu blesser un Juif, même en rêve ! Et les Schmidt, dans la Ringstrasse, mais jamais ils n’auraient fait de mal à une mouche !

6 millions !!

Jusqu’où ira la soumission des Français ? Vous n’en avez pas encore assez ?

Depuis l’élection de macronescu, la situation ne cesse de se détériorer. En juin 2017, à la fin d’un dîner avec des dirigeants musulmans, l’arrogant a déclaré qu’ « affirmer que l’islam cautionne le meurtre et la terreur » doit être condamné. La plupart des critiques de l’Islam ont compris et la ferment.

Les attaques antimusulmanes sont la plupart sans gravité et rares, conduisent toutes à de lourdes condamnations : en janvier 2016, un homme a fait tomber des lardons devant une mosquée, et a été immédiatement envoyé en prison. Les attaques contre le Christianisme sont innombrables, en revanche. Elles ne mènent presque jamais à la moindre incrimination par la justice.

Macron souhaite « réorganiser l’islam de France « mais manie la capitulation. Il désire créer le poste de « Grand Imam de France », sorte de chef spirituel de l’Islam en France. Il aimerait voir construire de grandes « mosquées cathédrales » dans toutes les grandes villes. Il veut aussi que l’arabe soit enseigné dans toutes les écoles secondaires. Il promet une lutte résolue contre « ceux qui attaquent l’islam ». 

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Ceux qui attaquent ? Parlons-en donc :

Depuis des mois, les agressions à l’arme blanche se multiplient en France dans le silence pesant du pouvoir et les tentatives de fabulation des médias.

Quelques « faits-divers » :

Mai 2018, passant tué et quatre personnes blessées dans le quartier de l’Opéra par un homme armé d’un couteau qui avait crié « Allah Akbar », attaque revendiquée par l’EI.

23 août à Trappes, un homme armé d’un couteau a tué sa mère et sa sœur et blessé grièvement une troisième personne. Les autorités évoquent l’acte d’un « déséquilibré », malgré une revendication de l’EI.

Juin à Tours, un homme qui menaçait des passants avec un couteau sur un pont piétonnier avait été interpellé.

En juin, une femme voilée blesse deux personnes au cutter dans un supermarché près de Toulon, en criant «Allah Akbar».

Vous n’en avez pas encore assez ? Qu’est-ce qu’il vous faut, encore ? Un Trade Center ? 2.750 morts ?

Abattu par une rafale de kalachnikov ou par balles, tué d’un coup de couteau, blessé grièvement de plusieurs coups de couteau, violée, agressé, frappé, volé, oui, on n’entend plus que ça. Les commissariats sont attaqués, des policiers assassinés, des pompiers poignardés, des voyous agressent, incendient, vandalisent, volent, mais on laisse agir en toute impunité.

Nancy, un homme âgé de 37 ans égorgé à l’arme blanche et abandonné dans une mare de sang.

Villeneuve-Saint-Georges, un homme de 34 ans, d’origine moldave, tué de deux balles dans la poitrine.

Grenoble, 3 blessés, dont deux gravement, par des tirs d’arme à feu, et une quatrième victime poignardée au thorax, pronostic vital engagé. Tous d’origine tchétchène.

Dans les Yvelines, une jeune femme de 28 ans a vécu avec une lame dans sa gorge durant deux semaines, poignardée par son compagnon.

Aubervilliers, un migrant soudanais poignardé au foyer Adoma, par d’autres migrants.

Olonzac, Antoni Gally, (équipe de rugby de l’AS Olonzac-Minervois), violemment agressé par une bande de 7 voyous et 2 chiens d’attaque. Hospitalisé avec de nombreuses plaies et morsures (!!) , une oreille arrachée et partiellement défiguré.

Banlieue de Lyon : assassinat volontaire, à l’aide d’un fourgon, du policier Franck Labois.

Ça ira comme ça, ou je vous en mets encore une tranche ?

https://ripostelaique.com/rafales-de-kalach-coups-de-couteau-de-tous-cotes-on-nentend-plus-que-ca.html

Pardon, j’oubliais, on est méchants avec eux, on les méprise, ils sont tellement frustrés qu’ils appellent la maréchaussée pour un lardon !

Anne Schubert

P.S : les noms et les lieux sont le seul fruit de mon imagination